Quand le vivant aperçoit la mort,
C' est par l' incendescance d' un corps,
A la parure hanté de l' immobile,
L' empaillé reste tranquille.
L' envie d' une mort sans sort,
Lui à valu un sensoriel avenir,
Qui enserrant pour toujours son âme
Lui dénie l' enfer.
Enfermé à jamais dans ses torts,
Moisissant dans l' imputrescible,
Le torturé s' amenuit de jour en jour,
Sans laisser le temps à l' âme de nuire.
Seuls ses paupières lançeront des regard,
Que la peau, hier encore, sentait sur elle éclore,
Terminées ces flammes et étincelles insolites,
Cire infiniment ternie.
Niant à jamais l' esprit,
Prisonnières de leurs épidermiques fourrures,
Ces créatures, d' un commun besoin conjurent,
Leur sépulture de rejoindre le cycle.
C' est par l' incendescance d' un corps,
A la parure hanté de l' immobile,
L' empaillé reste tranquille.
L' envie d' une mort sans sort,
Lui à valu un sensoriel avenir,
Qui enserrant pour toujours son âme
Lui dénie l' enfer.
Enfermé à jamais dans ses torts,
Moisissant dans l' imputrescible,
Le torturé s' amenuit de jour en jour,
Sans laisser le temps à l' âme de nuire.
Seuls ses paupières lançeront des regard,
Que la peau, hier encore, sentait sur elle éclore,
Terminées ces flammes et étincelles insolites,
Cire infiniment ternie.
Niant à jamais l' esprit,
Prisonnières de leurs épidermiques fourrures,
Ces créatures, d' un commun besoin conjurent,
Leur sépulture de rejoindre le cycle.