J'attends peu à peu que ta lumière s'allume. J'ai rêvé de ta peau toute la nuit.
Je m'enivre à la bulle tandis que mon esprit s'embrume,
je ne m'appartiens plus, je suis une pute soumise et consentante, adoucie,
à l'âme dechirée, à la boulimie des sens,
je veux que tu me serres, que tu me bouscules,
être à toi un laps de temps la nuit en dehors de mes propres contrées sauvages,
ton animal de compagnie, ingénu,
ta petite putain bien sage qui t'attendrait nue,
enchainée au pied de ton lit,
j'aimerais être , mon ami, l'objet de tous tes fantasmes,
t'attendre,
si tendre,
le long de ces minutes égrainées par le desir et le viol inconstants de mes mots et poèmes
que je te reciterais au creux de l'oreille en te hurlant je t'aime.
Je m'enivre à la bulle tandis que mon esprit s'embrume,
je ne m'appartiens plus, je suis une pute soumise et consentante, adoucie,
à l'âme dechirée, à la boulimie des sens,
je veux que tu me serres, que tu me bouscules,
être à toi un laps de temps la nuit en dehors de mes propres contrées sauvages,
ton animal de compagnie, ingénu,
ta petite putain bien sage qui t'attendrait nue,
enchainée au pied de ton lit,
j'aimerais être , mon ami, l'objet de tous tes fantasmes,
t'attendre,
si tendre,
le long de ces minutes égrainées par le desir et le viol inconstants de mes mots et poèmes
que je te reciterais au creux de l'oreille en te hurlant je t'aime.
Ma sueur s' égare dans le flot de mes draps noués,
autour de mes cuisses enchainées,
de creux et de bosses tendres, de rivières de songes, et de souvenirs d'amants,
que l'on hue,
alors,
autour de mes cuisses enchainées,
de creux et de bosses tendres, de rivières de songes, et de souvenirs d'amants,
que l'on hue,
alors,
je sentirais tellement ton odeur sur mon coeur, je sens tellement , déjà, mourir mon corps,
je me sens comme un taureau , qu'en arène , amor, à mort,
on tue,
oh matador.
on tue,
oh matador.
Je concluerais par pff, dans cet autre univers,
laisse moi de baisers couvrir ton corps de bière,
tu penses, qu' impromptus sont mes textes et je pense moi,
que tu as peur.
J'ai faim.
Je meurs.
laisse moi de baisers couvrir ton corps de bière,
tu penses, qu' impromptus sont mes textes et je pense moi,
que tu as peur.
J'ai faim.
Je meurs.