Suis je né pour souffrir
Waly depuis ta naissance tu ne connais que la souffrance
Amené à la vie sans ton accord ta confiance n’est plus aisance
L’aide de l’humanité entière ne saurait être une allégeance ni une alternance
Yeux du monde entier soyaient témoin de cette souffrance sans délivrance
Waly, waly, waly, écoute l’appel d’une voix forte et muette à la fois
Aller lève toi quelque chose en moi me dit qu’il est bon de garder la foi
La confiance et l’effort sont l’arme du fort, du solide, du vaillant roi
Y l’avant dernière lettre de l’alphabet a aussi bien que les autres son octroi
Waly la vie est belle et triste, bonne et mauvaise, c’est là ou le bas blesse
Aimer, haïr, sont un éternel chemin incontournable de ce monde bassesse
L’ignominie des hommes est à l’apogée, soit fort, preux, honnête avec adresse
Yen du monde entier n’est rien face à ton ambition de vouloir être poétesse
Waly : je dédie ce poème à tous les hommes qui souffrent
Waly depuis ta naissance tu ne connais que la souffrance
Amené à la vie sans ton accord ta confiance n’est plus aisance
L’aide de l’humanité entière ne saurait être une allégeance ni une alternance
Yeux du monde entier soyaient témoin de cette souffrance sans délivrance
Waly, waly, waly, écoute l’appel d’une voix forte et muette à la fois
Aller lève toi quelque chose en moi me dit qu’il est bon de garder la foi
La confiance et l’effort sont l’arme du fort, du solide, du vaillant roi
Y l’avant dernière lettre de l’alphabet a aussi bien que les autres son octroi
Waly la vie est belle et triste, bonne et mauvaise, c’est là ou le bas blesse
Aimer, haïr, sont un éternel chemin incontournable de ce monde bassesse
L’ignominie des hommes est à l’apogée, soit fort, preux, honnête avec adresse
Yen du monde entier n’est rien face à ton ambition de vouloir être poétesse
Waly : je dédie ce poème à tous les hommes qui souffrent