Au cours d’un repas avec un de mes frères
Celui-ci me proposa une partie de pêche, au grand air
En effet, nous avons la chance de résider près d’une rivière
Le rendez-vous était pris pour le dimanche suivant
Cela me laisse un peu de temps
Pour vérifier mon matériel « d’antan »
Pendant que je rêvassais à cette journée, qui m’attendait
Mon esprit vagabondait
Me remémorant des souvenirs lorsque j’était enfant
Je me rappelle d’une matinée de pêche
Accompagné de mon papa, de mon petit frère JP et de toi G
Pour l’anecdote, JP avait 5 ans, G 18 ans et moi 10 ans
J’en rigole rien que d’y repenser
Mon papa nous avait placé de manière à ce qu’il puisse intervenir au cas où…
JP était sous l’arche du pont, ensuite mon papa, moi et G
Mon papa nous répétait inlassablement
Il ne faut pas faire de bruit, les poissons viendront que si c’est calme
Je regardais mon bouchon, ne prêtant plus attention à l’environnement
Soudain JP gesticule frénétiquement
J’en ai un, j’en ai un… !!!!
Mon papa l’aidant, il était tout fier de sa première prise, un goujon
Le calme aurait dû revenir, normalement
Pour mon petit frère ce fut trop lui demander
Il venait nous voir toutes les cinq minutes
En courant, en riant, en se moquant…, il était agité
Les minutes passaient, s’égrainaient
Par un moment, quelqu’un sifflait
C’était mon grand frère, qui commençait à s’énerver
Et mon père qui lui disait, il faut du calme, si les poissons nous entendent
Ils ne vont pas se laisser prendre
Et G qui lui rétorque
De toute façon les poissons n’ont pas d’oreilles
Et vu qu’ils sont au fond de l’eau, je ne vois pas comment ils peuvent nous voir,
Surtout qu’au fond, il fait noir
Pendant que mon père expliquait à G, la façon dont les poissons nous repère
Nous entendîmes un « plouf »
En effet, mon petit frère en courant s’est pris le pied dans une canne
Et d’un vol plané a rejoint nos amis les poissons…
G et moi-même nous rigolions
Mais mon papa n’était pas content
(Ça se comprend)
Et nous sommes revenus à la maison, avec le goujon
Celui-ci me proposa une partie de pêche, au grand air
En effet, nous avons la chance de résider près d’une rivière
Le rendez-vous était pris pour le dimanche suivant
Cela me laisse un peu de temps
Pour vérifier mon matériel « d’antan »
Pendant que je rêvassais à cette journée, qui m’attendait
Mon esprit vagabondait
Me remémorant des souvenirs lorsque j’était enfant
Je me rappelle d’une matinée de pêche
Accompagné de mon papa, de mon petit frère JP et de toi G
Pour l’anecdote, JP avait 5 ans, G 18 ans et moi 10 ans
J’en rigole rien que d’y repenser
Mon papa nous avait placé de manière à ce qu’il puisse intervenir au cas où…
JP était sous l’arche du pont, ensuite mon papa, moi et G
Mon papa nous répétait inlassablement
Il ne faut pas faire de bruit, les poissons viendront que si c’est calme
Je regardais mon bouchon, ne prêtant plus attention à l’environnement
Soudain JP gesticule frénétiquement
J’en ai un, j’en ai un… !!!!
Mon papa l’aidant, il était tout fier de sa première prise, un goujon
Le calme aurait dû revenir, normalement
Pour mon petit frère ce fut trop lui demander
Il venait nous voir toutes les cinq minutes
En courant, en riant, en se moquant…, il était agité
Les minutes passaient, s’égrainaient
Par un moment, quelqu’un sifflait
C’était mon grand frère, qui commençait à s’énerver
Et mon père qui lui disait, il faut du calme, si les poissons nous entendent
Ils ne vont pas se laisser prendre
Et G qui lui rétorque
De toute façon les poissons n’ont pas d’oreilles
Et vu qu’ils sont au fond de l’eau, je ne vois pas comment ils peuvent nous voir,
Surtout qu’au fond, il fait noir
Pendant que mon père expliquait à G, la façon dont les poissons nous repère
Nous entendîmes un « plouf »
En effet, mon petit frère en courant s’est pris le pied dans une canne
Et d’un vol plané a rejoint nos amis les poissons…
G et moi-même nous rigolions
Mais mon papa n’était pas content
(Ça se comprend)
Et nous sommes revenus à la maison, avec le goujon