Dis papa, dis écoute moi
Te rappelles tu encore d'autrefois
Lorsque nous vivions toujours à l'étroit
Dans cette maison à l'orée d'un bois
Nous étions très pauvres mais riches à la fois
Et la nourriture ne la jetions pas
Le bon pain pétri de ton tour de bras
Se mangeait comme une galette de roi
Au petit matin, lorsqu'il faisait froid
Pour nous réchauffer un bon chocolat
Son bon goût de lait que je n'oublie pas
Tu nous l'apportais cher petit papa
Nous vivions heureux, sans argent parfois
D'aucune richesse et foulard de soie
Chaussés de sabots et de nos gros bas
Relevant la tête et marchant tout droit
Les ans ont passés depuis ce temps là
De progrès présents nous ne manquons pas
Les bougies ne sortent que très peu de fois
Et les grandes routes n'en finissent pas
Dans toutes les villes, les gens se côtoient
De sur leur visage, jamais un éclat
De ce nouveau monde où chacun pour soi
Ainsi va la vie que je n'aime pas
Je repense encore presque malgré moi
A tous ces bonheurs, ces moments de joie
Nous vivions heureux à l'orée du bois
Comme au paradis où tu vis Papa...
Te rappelles tu encore d'autrefois
Lorsque nous vivions toujours à l'étroit
Dans cette maison à l'orée d'un bois
Nous étions très pauvres mais riches à la fois
Et la nourriture ne la jetions pas
Le bon pain pétri de ton tour de bras
Se mangeait comme une galette de roi
Au petit matin, lorsqu'il faisait froid
Pour nous réchauffer un bon chocolat
Son bon goût de lait que je n'oublie pas
Tu nous l'apportais cher petit papa
Nous vivions heureux, sans argent parfois
D'aucune richesse et foulard de soie
Chaussés de sabots et de nos gros bas
Relevant la tête et marchant tout droit
Les ans ont passés depuis ce temps là
De progrès présents nous ne manquons pas
Les bougies ne sortent que très peu de fois
Et les grandes routes n'en finissent pas
Dans toutes les villes, les gens se côtoient
De sur leur visage, jamais un éclat
De ce nouveau monde où chacun pour soi
Ainsi va la vie que je n'aime pas
Je repense encore presque malgré moi
A tous ces bonheurs, ces moments de joie
Nous vivions heureux à l'orée du bois
Comme au paradis où tu vis Papa...