Soit je crains ou écrin de soie (Fétish photo et clin d'oeil au poème de Valérie : la clef)
Le mercredi, Maîtresse Valérie dicte ses exigences
Elle donne l’orientation de la prochaine séance
Je prépare avec soin accessoires et habits
Pour que rien ne manque le samedi
Le thème choisi et le fétichisme des pieds
Je l’attends, assis, nu sur le tabouret
Elle se présente face à moi
Jambes gainées dans un écrin de soie
Elle prend place sur son trône, cravache à la main
Je me prosterne devant elle pour baiser ses escarpins,
Qui renferment deux objets, oh combien précieux
Que je m’empresserai de lécher, tel un soumis vertueux
De la pointe du pied elle m’intime l’ordre de m’allongé
Piétinement du corps ; sous sa semelle, ma langue écrasée
Mon corps meurtri par ses talons aciers, elle m’ordonne de me relever
Je reçois l’autorisation de la déchausser, l’adoration va commencer
Je m’empare de ses joyaux, ôte délicatement ce voile de soie couleur vison
Je hume, je lèche avidement la pointe des pieds, les orteils, le talon
Maîtresse Valérie m’accorde le privilège de pouvoir les manucurer
Je m’empresse de les vernir, de les carminés, de les bichonner.
Maîtresse Valérie vous êtes le LA, le chef d'orchestre qui dirige la partition.
Nouvelle appellation lyrique pour une virtuose de la Domination.
Je suis ne suis qu'une clef, celle qui commande le barillet de nos jeux interdits.
Nouvelle appellation artisanale pour le serrurier de tes caprices, de tes envies.
Je t'aime
Le mercredi, Maîtresse Valérie dicte ses exigences
Elle donne l’orientation de la prochaine séance
Je prépare avec soin accessoires et habits
Pour que rien ne manque le samedi
Le thème choisi et le fétichisme des pieds
Je l’attends, assis, nu sur le tabouret
Elle se présente face à moi
Jambes gainées dans un écrin de soie
Elle prend place sur son trône, cravache à la main
Je me prosterne devant elle pour baiser ses escarpins,
Qui renferment deux objets, oh combien précieux
Que je m’empresserai de lécher, tel un soumis vertueux
De la pointe du pied elle m’intime l’ordre de m’allongé
Piétinement du corps ; sous sa semelle, ma langue écrasée
Mon corps meurtri par ses talons aciers, elle m’ordonne de me relever
Je reçois l’autorisation de la déchausser, l’adoration va commencer
Je m’empare de ses joyaux, ôte délicatement ce voile de soie couleur vison
Je hume, je lèche avidement la pointe des pieds, les orteils, le talon
Maîtresse Valérie m’accorde le privilège de pouvoir les manucurer
Je m’empresse de les vernir, de les carminés, de les bichonner.
Maîtresse Valérie vous êtes le LA, le chef d'orchestre qui dirige la partition.
Nouvelle appellation lyrique pour une virtuose de la Domination.
Je suis ne suis qu'une clef, celle qui commande le barillet de nos jeux interdits.
Nouvelle appellation artisanale pour le serrurier de tes caprices, de tes envies.
Je t'aime