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quand on est deux, on est pas qu'un.

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#1
Quand on est deux : on est pas qu’un.

Je regardais, tranquillement, le vent touché un rayon blanc.
Je suis resté, émerveillé, devant ce geste venu naturellement.
Et soudain c’est arrivé, devant moi, des gens, évidemment.
Purée mazette, j’ai horreur d’être gêné, dans mes atermoiements.

J’ai beau me concentré, essayer de capter, rien à faire, parasites.
J’y mets toute ma volonté, enfin la vraie, qui en ce moment s’agite.
Pourtant je me tais, pour écouter, pour entendre, mais ça va trop vite.
Déjà je comprends le premier, que le second en crie pour trouver l’exit.

Mais pourquoi je ne comprend pas, arrêtez de tous parler en même temps.
Tu disais quoi déjà ? Oui, c’est vrai, le vent mauvais et le manque d’argent.
Quoi ? Comment ? Pffff, je n’ai encore pas écouté, il s’en va, en maugréant.
Me maudissant, pourtant, je vois que je comprends les codes en les appliquant.

Quelle est la cause de ces changements ? Si courtois deux minutes avant, pan.
D’un revers du mouvement, du tronc, du cou et de la tête, me met dans le vent.
Je ne fais de mal à personne, même si je ne comprends pas toujours, les grands.
Et la cloche sonne, le cours reprend, je laisse en suspend, ce curieux moment.
 
#2
La classe
J'adore ce style particulier (un peu désinvolte surtout au passage avec pfff , c'est intéressant)
Je ne déplore que les rimes plates en continu...