Poète prisonnier de ce miroir passé,
Les lanternes ont soudain cessait d’éclairer…
Quelques verres pour oublier le morceau joué,
A travers les cinglantes années d’un destin brisé…
Passage d’une vie sans l’autre, chaque fois se relever,
Comme un immense SOS caché au fond d’une bouteille…
Véhiculant un espoir à double face, petite touche vermeil,
D’une réalité bien trop joueuse, pour encore s’y lâcher, s’y jeter…
Le silence oblique peignait une nature desséchée,
Les anges écorchaient ma douleur…
Comme le goût amer d’une conserve extrêmement dépassée,
Les démons dévoraient mon antre, mon seul et fragile bonheur…
Mon sang, mon papa… ma plus grande souffrance,
Une plume en retour, caressant l’écarlate de mes veines...
Comme une virgule déposée, sans la suite, sans l’espérance,
Quelques images, qui ne savent même plus apaiser ma peine…
Les lanternes ont soudain cessait d’éclairer…
Quelques verres pour oublier le morceau joué,
A travers les cinglantes années d’un destin brisé…
Passage d’une vie sans l’autre, chaque fois se relever,
Comme un immense SOS caché au fond d’une bouteille…
Véhiculant un espoir à double face, petite touche vermeil,
D’une réalité bien trop joueuse, pour encore s’y lâcher, s’y jeter…
Le silence oblique peignait une nature desséchée,
Les anges écorchaient ma douleur…
Comme le goût amer d’une conserve extrêmement dépassée,
Les démons dévoraient mon antre, mon seul et fragile bonheur…
Mon sang, mon papa… ma plus grande souffrance,
Une plume en retour, caressant l’écarlate de mes veines...
Comme une virgule déposée, sans la suite, sans l’espérance,
Quelques images, qui ne savent même plus apaiser ma peine…