Au soir sombre que satinent tes mains sur ma peau nue
A l'or de ton regard qui découvre mon corps
A mes cris déchirant ton silence
Je me souviens si fort de la première fois...
De la caresse douce de ta voix sur mes maux
Du cristal de mes larmes à l'émeraude de mes yeux
Et comment je t'ai dit : "Viens chez moi si tu veux."
Aujourd'hui ou jamais je serai à toi seul !
La musique ruisselle entre nos corps blessés
Comme le lit profond d'une rivière pourpre
Où ton sang et le mien se mêlent enfin
En une même union de velour et de roses.
Contre toi j'ai pleuré mes victoires futiles
Mes trains déraillés, mes rêves écrasés
Contre toi j'ai prié
Pour que ce soir d'hiver demeure le premier.
La fenêtre entrouverte sur l'ombre de mon cœur
L'alerte rouge au bout d'une cigarette
Le froid où tu t'en vas
Notre plaisir et notre peine, notre amour déjà...
Ce soir je retrouverai l'or de tes yeux profonds
Dénudant mon corps et mon âme
Ce soir mes cris te répondent toujours
Ce soir c'est encore la première fois...
A l'or de ton regard qui découvre mon corps
A mes cris déchirant ton silence
Je me souviens si fort de la première fois...
De la caresse douce de ta voix sur mes maux
Du cristal de mes larmes à l'émeraude de mes yeux
Et comment je t'ai dit : "Viens chez moi si tu veux."
Aujourd'hui ou jamais je serai à toi seul !
La musique ruisselle entre nos corps blessés
Comme le lit profond d'une rivière pourpre
Où ton sang et le mien se mêlent enfin
En une même union de velour et de roses.
Contre toi j'ai pleuré mes victoires futiles
Mes trains déraillés, mes rêves écrasés
Contre toi j'ai prié
Pour que ce soir d'hiver demeure le premier.
La fenêtre entrouverte sur l'ombre de mon cœur
L'alerte rouge au bout d'une cigarette
Le froid où tu t'en vas
Notre plaisir et notre peine, notre amour déjà...
Ce soir je retrouverai l'or de tes yeux profonds
Dénudant mon corps et mon âme
Ce soir mes cris te répondent toujours
Ce soir c'est encore la première fois...
