Mon cœur est seul à sa chair qui bat dans le cortex de ses souvenirs
À la lumière de ma mémoire meurt l’oxygène de ma solitude
Dans les gaz de mes nuages coule la pluie des temps gris qui mouille la peine de vie
Je suis une enveloppe aux mots de fautes, et le texte en contient la correction de ma peine
À l’inconnue de mon âme, invisible des peurs, prend l’ombre de mon destin,
Que je sois chemin d’un senti, au frisson je serai sentiment de toi
Dans mes vaines se trouve le virus de ton amour,
Et son anti corps est la larme qui en guide sa main
Assis comme un itinérant dans la mer eau au miroir de mon canal
Mon toit est trottoir de mon hasard au dos des jugements je deviens maladie
Quand je m’endors au ciel de mon parc, je vois une étoile qui porte ma liberté,
Dans son horizon pleure le mal de mon être, car le ban de mon lit est seul sans toi
Aux doigts de mes ongles je grave dans le bois de mon évasion le souvenir de t’avoir aimé
A mon réveil tu en seras sang de ma peau dans la blessure je pleure ton nom
Au cadre de mon destin, tu en resteras couleurs de mes rêves, à l’art tu es mon imaginaire
Humain de croix au pas de mon père deviens saint de ma mère que je sois être d’un Amour
À la lumière de ma mémoire meurt l’oxygène de ma solitude
Dans les gaz de mes nuages coule la pluie des temps gris qui mouille la peine de vie
Je suis une enveloppe aux mots de fautes, et le texte en contient la correction de ma peine
À l’inconnue de mon âme, invisible des peurs, prend l’ombre de mon destin,
Que je sois chemin d’un senti, au frisson je serai sentiment de toi
Dans mes vaines se trouve le virus de ton amour,
Et son anti corps est la larme qui en guide sa main
Assis comme un itinérant dans la mer eau au miroir de mon canal
Mon toit est trottoir de mon hasard au dos des jugements je deviens maladie
Quand je m’endors au ciel de mon parc, je vois une étoile qui porte ma liberté,
Dans son horizon pleure le mal de mon être, car le ban de mon lit est seul sans toi
Aux doigts de mes ongles je grave dans le bois de mon évasion le souvenir de t’avoir aimé
A mon réveil tu en seras sang de ma peau dans la blessure je pleure ton nom
Au cadre de mon destin, tu en resteras couleurs de mes rêves, à l’art tu es mon imaginaire
Humain de croix au pas de mon père deviens saint de ma mère que je sois être d’un Amour
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 8/8/2008 1 h 37 min 14 s
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