Elle reste figée, les yeux rivés
Rougis à force d’avoir trop pleurer
Le miroir lui renvoie son visage enfantin
Qui se met à vieillir soudain.
Il n’y aura plus de sourire maternel
Pour faire face au monde cruel
Ni de regards réconfortants
Pour veiller sur ses rêves d’enfant.
Pleure, petite fille, pleure
Laisse saigner ton cœur
Et les sanglots dus à son absence
Brisent le silence…
Les mots confus autour de toi
Tu ne les entends même pas
Et la foule massée ne peut masquer
Celle qui, désormais, va te manquer.
Pleure, petite fille, pleure
Laisse saigner ton cœur
Et tu sais, un jour lointain
Elle viendra te chercher enfin…
Rougis à force d’avoir trop pleurer
Le miroir lui renvoie son visage enfantin
Qui se met à vieillir soudain.
Il n’y aura plus de sourire maternel
Pour faire face au monde cruel
Ni de regards réconfortants
Pour veiller sur ses rêves d’enfant.
Pleure, petite fille, pleure
Laisse saigner ton cœur
Et les sanglots dus à son absence
Brisent le silence…
Les mots confus autour de toi
Tu ne les entends même pas
Et la foule massée ne peut masquer
Celle qui, désormais, va te manquer.
Pleure, petite fille, pleure
Laisse saigner ton cœur
Et tu sais, un jour lointain
Elle viendra te chercher enfin…