Un vieux sage africain à qui l’on demandait quel était le message qu’il avait à apporter à l’homme blanc répondit : « Laissez couler vos larmes. »
Il faisait remarquer à quel point les Occidentaux, les hommes surtout, étaient d’immenses réservoirs de larmes non versées.
Il soulignait fort judicieusement que ces larmes se transmettaient à la génération suivante et que, tôt ou tard, elles devraient être versées.
Fuyez-vous toutes les situations qui pourraient faire monter à vos yeux des larmes libératrices ?
Avez-vous peur que votre peine soit sans fond, que vos larmes ne se tarissent jamais ?
Avez-vous peur de paraître faible ?
C’est faire preuve de courage que d’accepter de se laisser aller à pleurer.
Si vous avez peur de perdre le contrôle, fixez-vous une limite. Vous pouvez vous autoriser une demi-heure ou une heure de larmes et passer ensuite à autre chose. La tristesse n’est pas là pour rien, et vos larmes en sont l’expression.
"Les larmes précèdent la joie. Si j’ai de la difficulté à accepter la présence des larmes chez moi ou chez les autres, je prends le temps de méditer là-dessus. C’est important."Il faisait remarquer à quel point les Occidentaux, les hommes surtout, étaient d’immenses réservoirs de larmes non versées.
Il soulignait fort judicieusement que ces larmes se transmettaient à la génération suivante et que, tôt ou tard, elles devraient être versées.
Fuyez-vous toutes les situations qui pourraient faire monter à vos yeux des larmes libératrices ?
Avez-vous peur que votre peine soit sans fond, que vos larmes ne se tarissent jamais ?
Avez-vous peur de paraître faible ?
C’est faire preuve de courage que d’accepter de se laisser aller à pleurer.
Si vous avez peur de perdre le contrôle, fixez-vous une limite. Vous pouvez vous autoriser une demi-heure ou une heure de larmes et passer ensuite à autre chose. La tristesse n’est pas là pour rien, et vos larmes en sont l’expression.