Peut-être ?
Tu m’as dis que tu ne pourrais pas venir
Mais aujourd’hui, te rater serait bien pire
Que de t’attendre une heure pour rien
Je suis donc là, sur ton chemin
Bientôt une heure que j’attends dans mon auto
Sur ce parking en écoutant l’auto-radio
Liszt, Beethoven, Albinoni sont mes amis et me rappelle
Que tu aimes leur musique, que tu la trouves belle.
Je t’attends en écoutant « rêve d’Amour »
Avec Liszt je rêve de toi, de ton retour
Albinoni et son Adagio me tiennent compagnie
Avec eux je suis bien, car ils sont nos amis
Peut-être viendras-tu, je peux l’espérer
Déjà, alors que, comme ce soir je t’attendais
Mon téléphone à sonné dans ma main
C’était toi qui vers moi étais en chemin
Il est sept heure et tu n’es pas là
Je pense que tu ne viendras pas
Je ne suis pas triste car je sais bien
Que tu pense à moi, j’en suis certain.
Peut-être pendant de longs jours
Nous serons séparés mon amour
Alors, pendant tout ce temps
Je rêverai que je suis ton amant
Rêver de toi, de tes yeux de ton corps
Rêver de te faire l’amour, encore et encore
De te sentir chaude et humide sous moi
De faire aller et venir mon sexe en toi.
Toutes ces nuits loin de toi ou je rêve
Que nos ébats ne connaissent pas de trêve
Plus dans la nuit les heures avancent
Et plus a faire des folies avec toi, je pense
Il n’y a pas de limites à nos désirs
Il n’y en a pas non plus à nos plaisirs
De mes ordres tu es l’esclave consentante
Du moindre de tes désirs, je suis dans l’attente
Demande moi ce que tu veux
Je veux voir le bonheur dans tes yeux
Te sentir sur moi, plantée sur mon sexe
Me transcende, fait bouillir mon cortex.
Je te vois malgré mes yeux fermés
Dans ma tête ton image est imprimée
Pourtant j’aimerai avoir des photos de toi
Des photos ou tu fais l’amour avec moi.
Encore plus fort, grâce à elles, sur toi je fantasmerai
Quand mon désir de toi ne pourrait plus être différé
Donne moi ton corps, même quand tu n’es pas là
J’en ferai un usage que tu ne condamneras pas
Même sans elles je passe des heures à t’aimer
Tellement fort que je dois sans toi me calmer
Je n’éprouve ni honte ni remords à me satisfaire
C’est mon envie de toi qui m’oblige à le faire.
Dans mes rêves fous endormis ou éveillés
Ton corps et mon corps sans limite se sont donnés
Les mots ne peuvent exprimer ce que nous faisions
Dans un lit très doux nous le ferons avec passion
Viens vite me rejoindre ma petite poupée d’amour
Avec toi, comme un fou, j’ai envie de jouer toujours
J’ai envie de te prendre, de te posséder, de t’épuiser si fort
Qu’aussi inerte que celui d’une vrais poupée je laisse ton corps
Bientôt enfin nous allons pouvoir nous aimer
Comme toujours a cette idée je suis excité
Tu viens de m’écouter, maintenant, c’est mon tour.
Dis moi que tu as très envie de me faire l’amour
Tu n’es pas venue, tu n’as pas pu
Je suis seul, je repars vers l’inconnu.
Une autre fois, un autre jour
Je t’attendrai des jours et des jours.
Tu m’as dis que tu ne pourrais pas venir
Mais aujourd’hui, te rater serait bien pire
Que de t’attendre une heure pour rien
Je suis donc là, sur ton chemin
Bientôt une heure que j’attends dans mon auto
Sur ce parking en écoutant l’auto-radio
Liszt, Beethoven, Albinoni sont mes amis et me rappelle
Que tu aimes leur musique, que tu la trouves belle.
Je t’attends en écoutant « rêve d’Amour »
Avec Liszt je rêve de toi, de ton retour
Albinoni et son Adagio me tiennent compagnie
Avec eux je suis bien, car ils sont nos amis
Peut-être viendras-tu, je peux l’espérer
Déjà, alors que, comme ce soir je t’attendais
Mon téléphone à sonné dans ma main
C’était toi qui vers moi étais en chemin
Il est sept heure et tu n’es pas là
Je pense que tu ne viendras pas
Je ne suis pas triste car je sais bien
Que tu pense à moi, j’en suis certain.
Peut-être pendant de longs jours
Nous serons séparés mon amour
Alors, pendant tout ce temps
Je rêverai que je suis ton amant
Rêver de toi, de tes yeux de ton corps
Rêver de te faire l’amour, encore et encore
De te sentir chaude et humide sous moi
De faire aller et venir mon sexe en toi.
Toutes ces nuits loin de toi ou je rêve
Que nos ébats ne connaissent pas de trêve
Plus dans la nuit les heures avancent
Et plus a faire des folies avec toi, je pense
Il n’y a pas de limites à nos désirs
Il n’y en a pas non plus à nos plaisirs
De mes ordres tu es l’esclave consentante
Du moindre de tes désirs, je suis dans l’attente
Demande moi ce que tu veux
Je veux voir le bonheur dans tes yeux
Te sentir sur moi, plantée sur mon sexe
Me transcende, fait bouillir mon cortex.
Je te vois malgré mes yeux fermés
Dans ma tête ton image est imprimée
Pourtant j’aimerai avoir des photos de toi
Des photos ou tu fais l’amour avec moi.
Encore plus fort, grâce à elles, sur toi je fantasmerai
Quand mon désir de toi ne pourrait plus être différé
Donne moi ton corps, même quand tu n’es pas là
J’en ferai un usage que tu ne condamneras pas
Même sans elles je passe des heures à t’aimer
Tellement fort que je dois sans toi me calmer
Je n’éprouve ni honte ni remords à me satisfaire
C’est mon envie de toi qui m’oblige à le faire.
Dans mes rêves fous endormis ou éveillés
Ton corps et mon corps sans limite se sont donnés
Les mots ne peuvent exprimer ce que nous faisions
Dans un lit très doux nous le ferons avec passion
Viens vite me rejoindre ma petite poupée d’amour
Avec toi, comme un fou, j’ai envie de jouer toujours
J’ai envie de te prendre, de te posséder, de t’épuiser si fort
Qu’aussi inerte que celui d’une vrais poupée je laisse ton corps
Bientôt enfin nous allons pouvoir nous aimer
Comme toujours a cette idée je suis excité
Tu viens de m’écouter, maintenant, c’est mon tour.
Dis moi que tu as très envie de me faire l’amour
Tu n’es pas venue, tu n’as pas pu
Je suis seul, je repars vers l’inconnu.
Une autre fois, un autre jour
Je t’attendrai des jours et des jours.
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