À l'instant où elle ouvrait la porte un courant d'air passa par la porte pour s'engouffrer dans le trou du plafond. Le déplacement d'air poussait la porte dans son dos et la femme tombait au sol.
L'air entra dans la gaine aspirant le Pépère qui se balançait comme un yo-yo.
Le Pépère fut surélevé et la sangle du chat-ventre se décrocha.
Il fut aspiré dans la gaine et se retrouva le long du mur derrière le magasin.
Momo avait écouté cette agitation et partait en courant voir ce qui se passait.
Comment cela allait-il encore se terminer ?
Le boucher n'en revenait pas, le chat avait disparu et la caissière était entre les deux pièces. Elle avait la main sur la poignée de la porte et ne savait plus comment faire. De la poussière tombait du plafond et il craquait de partout. La porte tremblait et elle se mit à se cintrer la femme de peur la poussait pour passer et le plafond finissait de s'écrouler dans la rôtissoire et dans la boucherie.
Heureusement, personne ne fut blessé et un nuage de poussière s'échappait dans tout le magasin.
Les extracteurs de fumée s'étaient mis en route et la poussière était aspirée.
Lolo qui arrivait vers les autres. Il vit Ettesion arriver sur lui couverte de poussière et il la questionnait du regard.
- Vous n'avez pas vu mon papa ?
- Non mais que s'est-il passé ?
- Hé bien, j'étais dans les conduits d'aération avec mon papa. Nous chassions un rat là-dedans. Oui une aberration génétique un monstre de cent kilos.
La gaine a cédé et mon papa était accroché au plafond et il a disparu d'un coup.
Moi, j'étais juste en dessous je guettais le monstre, nous devions le terrasser avec mon papa.
Puis le plafond est descendu d'un coup alors j'ai eu peur et me voilà.
- Mais rassure moi, le plafond ne va pas s'écraser de partout dans le magasin ?
- Normalement non, mais ne sait-on jamais, soit prudent surtout Lolo.
Ne sais-tu pas où sont les autres ?
- Écoute, je vais les rechercher de mon côté et si je les vois je te smesse, j'y vais.
Ettesion n'eut même pas le temps de lui répondre que Lolo avait déjà disparu en répétant plusieurs fois, maman moi peur, maman moi peur.
- Quel, pleutre, à tous les coups, il s'est enfui dehors, c'est insensé.
Lolo, effectivement d'un naturel peureux, partait à pattes rabattues vers la sortie. Il comptait appeler Loulou Lecurieux pour ce scoop avant que qui que ce soit n'arrive sur place pour un reportage.
Il partait derrière le magasin et se cachait derrière le tas de pierres du local que sœur Mathilde avait elle-même ravagé.
Momo de son côté arrivait au même moment devant la boucherie et il n'en revenait pas.
Il regardait la boucherie qui était ruinée et n'en revenait pas.
Inconcevable inventaire des destructions de bien, de la grivèlerie, une sœur alcoolique qui démolit tout et au milieu de tout ça, un pion central, ce butor à quatre pattes.
Rêvons-nous éveillé où est-ce la réalité. Quiconque qu'il en soie il nous faut faire preuve de courage mon cher Momo. Dussé-je me plier en quatre que je le fis pour y procéder. Si je ne me fourvoie pas, nous devons nous méfier de savoir si ce plafond ne va point nous atterrir sur les moustaches.
C'est effrayant comme situation, tout de même.
Je me doutais bien que ce gougnafier fît des siennes, mais là, il dépasse de loin mon étonnement. Il nous a écroulé la moitié de cet économat.
Le pire dans tous les cas, fut que le butor a fui et peut-être est-il en train de narrer ses exploits à Fripouillet son fils illégitime.
Nous sommes tous en danger avec cette tornade sur patte.
Un enfant est aussi en danger, Fripouillet, déjà d'être entraîné dans de malsaines histoires par ce godelureau de Pépère. S'il fut l'enfant de Pépère et que ces bandits en aient après lui, ce petit court aussi la menace d'être inquiété par la maréchaussée ceci n'émet aucun doute.
Hélons ce sacripant en allant, peut-être viendrait-il à nous, s'il eut un peu de raison, ce dont je doute connaissant le géniteur de ce rejeton.
Pépère, êtes-vous mécréant ho ho, m'écoutez-vous, Casanova des campagnes sortez prestement de cette gaine si vous y êtes toujours.
Ce butor à une tête de bois comme sœur Mathilde cela semble être indubitablement et il est assurément déjà parti vers une autre tâche malsaine.
Derrière le magasin pendant ce temps-là, Pépère s'apprêtait à manger son poulet.
Sans le savoir, il était à quelques mètres de Lolo qui téléphone en patte appelait déjà Loulou Lecurieux.
Comment cela allait-il encore se terminer ?
La suite demain
L'air entra dans la gaine aspirant le Pépère qui se balançait comme un yo-yo.
Le Pépère fut surélevé et la sangle du chat-ventre se décrocha.
Il fut aspiré dans la gaine et se retrouva le long du mur derrière le magasin.
Momo avait écouté cette agitation et partait en courant voir ce qui se passait.
Comment cela allait-il encore se terminer ?
Le boucher n'en revenait pas, le chat avait disparu et la caissière était entre les deux pièces. Elle avait la main sur la poignée de la porte et ne savait plus comment faire. De la poussière tombait du plafond et il craquait de partout. La porte tremblait et elle se mit à se cintrer la femme de peur la poussait pour passer et le plafond finissait de s'écrouler dans la rôtissoire et dans la boucherie.
Heureusement, personne ne fut blessé et un nuage de poussière s'échappait dans tout le magasin.
Les extracteurs de fumée s'étaient mis en route et la poussière était aspirée.
Lolo qui arrivait vers les autres. Il vit Ettesion arriver sur lui couverte de poussière et il la questionnait du regard.
- Vous n'avez pas vu mon papa ?
- Non mais que s'est-il passé ?
- Hé bien, j'étais dans les conduits d'aération avec mon papa. Nous chassions un rat là-dedans. Oui une aberration génétique un monstre de cent kilos.
La gaine a cédé et mon papa était accroché au plafond et il a disparu d'un coup.
Moi, j'étais juste en dessous je guettais le monstre, nous devions le terrasser avec mon papa.
Puis le plafond est descendu d'un coup alors j'ai eu peur et me voilà.
- Mais rassure moi, le plafond ne va pas s'écraser de partout dans le magasin ?
- Normalement non, mais ne sait-on jamais, soit prudent surtout Lolo.
Ne sais-tu pas où sont les autres ?
- Écoute, je vais les rechercher de mon côté et si je les vois je te smesse, j'y vais.
Ettesion n'eut même pas le temps de lui répondre que Lolo avait déjà disparu en répétant plusieurs fois, maman moi peur, maman moi peur.
- Quel, pleutre, à tous les coups, il s'est enfui dehors, c'est insensé.
Lolo, effectivement d'un naturel peureux, partait à pattes rabattues vers la sortie. Il comptait appeler Loulou Lecurieux pour ce scoop avant que qui que ce soit n'arrive sur place pour un reportage.
Il partait derrière le magasin et se cachait derrière le tas de pierres du local que sœur Mathilde avait elle-même ravagé.
Momo de son côté arrivait au même moment devant la boucherie et il n'en revenait pas.
Il regardait la boucherie qui était ruinée et n'en revenait pas.
Inconcevable inventaire des destructions de bien, de la grivèlerie, une sœur alcoolique qui démolit tout et au milieu de tout ça, un pion central, ce butor à quatre pattes.
Rêvons-nous éveillé où est-ce la réalité. Quiconque qu'il en soie il nous faut faire preuve de courage mon cher Momo. Dussé-je me plier en quatre que je le fis pour y procéder. Si je ne me fourvoie pas, nous devons nous méfier de savoir si ce plafond ne va point nous atterrir sur les moustaches.
C'est effrayant comme situation, tout de même.
Je me doutais bien que ce gougnafier fît des siennes, mais là, il dépasse de loin mon étonnement. Il nous a écroulé la moitié de cet économat.
Le pire dans tous les cas, fut que le butor a fui et peut-être est-il en train de narrer ses exploits à Fripouillet son fils illégitime.
Nous sommes tous en danger avec cette tornade sur patte.
Un enfant est aussi en danger, Fripouillet, déjà d'être entraîné dans de malsaines histoires par ce godelureau de Pépère. S'il fut l'enfant de Pépère et que ces bandits en aient après lui, ce petit court aussi la menace d'être inquiété par la maréchaussée ceci n'émet aucun doute.
Hélons ce sacripant en allant, peut-être viendrait-il à nous, s'il eut un peu de raison, ce dont je doute connaissant le géniteur de ce rejeton.
Pépère, êtes-vous mécréant ho ho, m'écoutez-vous, Casanova des campagnes sortez prestement de cette gaine si vous y êtes toujours.
Ce butor à une tête de bois comme sœur Mathilde cela semble être indubitablement et il est assurément déjà parti vers une autre tâche malsaine.
Derrière le magasin pendant ce temps-là, Pépère s'apprêtait à manger son poulet.
Sans le savoir, il était à quelques mètres de Lolo qui téléphone en patte appelait déjà Loulou Lecurieux.
Comment cela allait-il encore se terminer ?
La suite demain