Hé bien, je les vois devant la porte du local à poubelles qui est à côté de la boucherie, il y a Momo avec eux et il regarde le plafond.
- Hé bien, c'est qu'il fait une inspection le bougre, il se croit dans son château.
Va leur dire que je suis en mission avec ma fille pour le compte de jambe vacheuse, le directeur. Nous devons inspecter les conduits d'aération, il paraît qu'il y a un rat là-dedans gros comme une vache.
Maman moi peur, noooonnnnn, furent les derniers mots que Lolo entendait.
Et si Pépère avait été attaqué et que cette histoire était vrai. Il fallait vite avertir les autres.
En fait, il avait vu une souris et il était parti comme une flèche. Il se promenait juste au-dessus de la boucherie.
Dans l'agitation Ettesion avait glissé en avant dans la gaine. Elle était tombée juste derrière les jambes du boucher et n'eut que le temps de se cacher derrière des caisses au fond de l'étal.
Le boucher qui était en train de servir une cliente se demandait quel était ce bruit étrange au plafond.
Il pensait à un rat qui serait dans les combles en train de fureter.
Le Pépère avançait doucement, mais sûrement. Il sentait l'odeur du poulet.
Visiblement le conduit où il était, menait à la rôtissoire derrière la boucherie.
- Bon plus que quelques mètres visiblement et René sera sous mes moustaches.
Il ne pouvait pas mieux dire, car le dernier mètre se fit tout seul. Le tuyau descendait à pic et il fut surpris autant que sa fille qui elle était tombée de l'autre côté.
De derrière la vitrine qui séparait, les deux pièces le boucher qui était en train de préparer une commande crut halluciner.
À travers la vitre de la porte, il lui semblait voir un énorme chat gris à pattes blanches qui se promenait regardant les poulets dans la rôtissoire.
- Hé bien, à force de penser au mal tout le temps, je le vois, des chats partout en train de manger ma viande disait il.
En fait, c'était bien réel et le Pépère était en administration devant ces poulets rôtis.
- Mon bon René, vous excuserez ma tenue. Le chemin fut long pour arriver sur vous. Encore un passage en enfer et vous pourrez faire une révérence à mes crocs.
Mais vous n'avez pas vu ma fille Ettesion ?
Que dites vous, vous devez passer chez le yeutiste, ha oui, hé bien tant pi.
Le Pépère repartit avec René entre ses dents.
Le poids du poulet et le sien propre, l'empêchaient d'avancer et le coinçait dans la gaine.
Arrivé juste au-dessus de la boucherie là où était le boucher, il ne pouvait plus avancer à cause d'un étranglement sur le conduit. Il posa le poulet devant lui et le poussait des pattes arrières.
La gaine se déboîtait et le Pépère se retrouva sur le faux plafond.
Sa fille était en dessous et comprenait que son père avait dû arrivé à son but. Elle était très inquiète, car le plafond craquait très fort.
Le poulet resté sur l'autre partie glissait à cause de la graisse.
Le Pépère le reçut sur le nez.
C'est à ce moment-là que l'homme levait les yeux avec précipitation. Juste au-dessus de sa tête, il lui semblait qu'un troupeau d'éléphants faisait la fête.
Il ramassa des debrit sur le nez et le plafond descendit.
Le Pépère resta accroché par la lanière du chat-ventre dans le vide.
Son poids était tel que tout le plafond tremblait de toutes parts.
Le Pépère agitait les pattes dans le vide et se débattait de toutes ses forces.
Si bien qu'à force, son corps se retrouvait à osciller comme s'il fut sur un ressort.
Sa fille était folle d'inquiétude, car le boucher avait saisi un balai juste derrière lui.
Il se mit à appeler de l'aide auprès de son responsable.
- À l'aide, Monsieur, le Directeur, venez vite un bouboule est accroché au faux plafond. Vite, il pèse le poids d'une baleine, qu'on le décroche, le toit va s'écrouler.
Dans la rôtissoire une des caissières était derrière la porte et elle entendait que l'on s'agitait de l'autre côté elle se précipita dans la boucherie.
À l'instant où elle ouvrait la porte un courant d'air passa par la porte pour s'engouffrer dans le trou du plafond. Le déplacement d'air poussait la porte dans son dos et la femme tombait au sol.
L'air entra dans la gaine aspirant le plafond qui se balançait comme un yo-yo.
Le Pépère fut surélevé et la sangle du chat-ventre se décrocha.
Il fut aspiré dans la gaine et se retrouva le long du mur derrière le magasin.
Momo avait écouté cette agitation et partait en courant voir ce qui se passait.
Comment cela allait-il encore se terminer...
La suite demain.
- Hé bien, c'est qu'il fait une inspection le bougre, il se croit dans son château.
Va leur dire que je suis en mission avec ma fille pour le compte de jambe vacheuse, le directeur. Nous devons inspecter les conduits d'aération, il paraît qu'il y a un rat là-dedans gros comme une vache.
Maman moi peur, noooonnnnn, furent les derniers mots que Lolo entendait.
Et si Pépère avait été attaqué et que cette histoire était vrai. Il fallait vite avertir les autres.
En fait, il avait vu une souris et il était parti comme une flèche. Il se promenait juste au-dessus de la boucherie.
Dans l'agitation Ettesion avait glissé en avant dans la gaine. Elle était tombée juste derrière les jambes du boucher et n'eut que le temps de se cacher derrière des caisses au fond de l'étal.
Le boucher qui était en train de servir une cliente se demandait quel était ce bruit étrange au plafond.
Il pensait à un rat qui serait dans les combles en train de fureter.
Le Pépère avançait doucement, mais sûrement. Il sentait l'odeur du poulet.
Visiblement le conduit où il était, menait à la rôtissoire derrière la boucherie.
- Bon plus que quelques mètres visiblement et René sera sous mes moustaches.
Il ne pouvait pas mieux dire, car le dernier mètre se fit tout seul. Le tuyau descendait à pic et il fut surpris autant que sa fille qui elle était tombée de l'autre côté.
De derrière la vitrine qui séparait, les deux pièces le boucher qui était en train de préparer une commande crut halluciner.
À travers la vitre de la porte, il lui semblait voir un énorme chat gris à pattes blanches qui se promenait regardant les poulets dans la rôtissoire.
- Hé bien, à force de penser au mal tout le temps, je le vois, des chats partout en train de manger ma viande disait il.
En fait, c'était bien réel et le Pépère était en administration devant ces poulets rôtis.
- Mon bon René, vous excuserez ma tenue. Le chemin fut long pour arriver sur vous. Encore un passage en enfer et vous pourrez faire une révérence à mes crocs.
Mais vous n'avez pas vu ma fille Ettesion ?
Que dites vous, vous devez passer chez le yeutiste, ha oui, hé bien tant pi.
Le Pépère repartit avec René entre ses dents.
Le poids du poulet et le sien propre, l'empêchaient d'avancer et le coinçait dans la gaine.
Arrivé juste au-dessus de la boucherie là où était le boucher, il ne pouvait plus avancer à cause d'un étranglement sur le conduit. Il posa le poulet devant lui et le poussait des pattes arrières.
La gaine se déboîtait et le Pépère se retrouva sur le faux plafond.
Sa fille était en dessous et comprenait que son père avait dû arrivé à son but. Elle était très inquiète, car le plafond craquait très fort.
Le poulet resté sur l'autre partie glissait à cause de la graisse.
Le Pépère le reçut sur le nez.
C'est à ce moment-là que l'homme levait les yeux avec précipitation. Juste au-dessus de sa tête, il lui semblait qu'un troupeau d'éléphants faisait la fête.
Il ramassa des debrit sur le nez et le plafond descendit.
Le Pépère resta accroché par la lanière du chat-ventre dans le vide.
Son poids était tel que tout le plafond tremblait de toutes parts.
Le Pépère agitait les pattes dans le vide et se débattait de toutes ses forces.
Si bien qu'à force, son corps se retrouvait à osciller comme s'il fut sur un ressort.
Sa fille était folle d'inquiétude, car le boucher avait saisi un balai juste derrière lui.
Il se mit à appeler de l'aide auprès de son responsable.
- À l'aide, Monsieur, le Directeur, venez vite un bouboule est accroché au faux plafond. Vite, il pèse le poids d'une baleine, qu'on le décroche, le toit va s'écrouler.
Dans la rôtissoire une des caissières était derrière la porte et elle entendait que l'on s'agitait de l'autre côté elle se précipita dans la boucherie.
À l'instant où elle ouvrait la porte un courant d'air passa par la porte pour s'engouffrer dans le trou du plafond. Le déplacement d'air poussait la porte dans son dos et la femme tombait au sol.
L'air entra dans la gaine aspirant le plafond qui se balançait comme un yo-yo.
Le Pépère fut surélevé et la sangle du chat-ventre se décrocha.
Il fut aspiré dans la gaine et se retrouva le long du mur derrière le magasin.
Momo avait écouté cette agitation et partait en courant voir ce qui se passait.
Comment cela allait-il encore se terminer...
La suite demain.