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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le président qui a une énorme affectation pour notre héros national se serait peut-être énervé à cause de ça.
Ici Loulou Lecurieux pour Voichat, dès que nous en saurons un peu plus, nous reviendrons vous en parler.
Loulou Lecurieux pour Voichat, le seul journal à vous fournir la vérité vraie.
- Hé bien, tout est faux, je m'en doutais. Brigadier Tatouvu, j'espère que vous prendrez ma plainte pour savoir qui a été raconter ce mensonge à ce journaliste de bas étage.
Et Pépère, pendant ce temps, que faisait-il au magasin ?
Le Pépère lui pendant ces futiles bavardages et ces rhétoriques stupides de vaines joutes oratoires, allait à pas mesurés sur un sol encore bien glissant.
Ettesion le suivait de près avec Chatdore Lolo et Coin-coin.
Le pauvre Saturne lui après avoir été malmené par Robert le cerf était retourné vers le magasin et ne s'attendait pas à les retrouver.
De son côté, Momo était parti chercher Pépère vers le magasin pour lui dire de ramener à manger pour leur nouvel ami, Draner.
François, lui, après avoir erré un long moment dans le bois était aussi arrivé derrière le magasin au moment où Pépère était reparti avec ses amis.
Il fit le tour de celui-ci et Saturne l'aperçut de loin. Il se dépêcha de partir à la recherche de Pépère.
Momo arrivait lui de son côté vers le parking et quel ne fut pas sa surprise de retrouver François planté devant le magasin en train de vérifier les papiers et les caddies des clients.
Il s'approcha et se mit à le regarder.
- Salut Momo, je ne suis plus sur tes terres, ici, c'est un domaine privé. Je fais une enquête pour le compte de la gendarmerie. Oui, je recherche le coupable de tous ces dégâts. Le toit de la réserve, le transformateur et l'inondation sont le fruit du même coupable. Je m'y connais en enquête, j'ai été gendarme. Je m'y connais en vol et c'est pour ça que j'étais gendarme. Oui, un homme politique m'avait dérobé le projet Vulcania. Il est milliardaire depuis et je cherche le coupable. Oui, celui qui a fait ces dégâts ici doit être un complice de mon voleur. Ce n'est pas tout, pour cette mission, je vais être décoré de la Légion d'honneur par Manu en personne. Il me l'a dit l'autre jour, oui, je regardais les informations sur la TV et il l'a formellement annoncé. Il a dit, j'engage tous les gendarmes, réservistes à mener des enquêtes et ceux-ci seront décorés de la Légion d'honneur. Puis il a fait un clin d'œil à maman pour confirmer que c'était pour François. Oui, je ne suis pas fou tout de même. J'ai été enfermé chez les dingues et accusé de terrorisme international à la solde de Ben Laden pour me faire taire. Mais je ne suis pas fou et je ne connais même pas ce fabriquant de machine à laver.
Momo avait écouté son monologue avec intérêt et il était très énervé de sa présence en ce lieu.
- Mais que fîtes-vous donc ici espèce de godelureau, c'est inimaginable, vous dérailler ouvertement, votre raison se fourvoie dans les contrées de la folie.
- Je viens de te le dire Momo, je même une enquête.
- Mais non, taisez vous butor, sous quel édit agissez vous ainsi à venir troubler l'ordre public.
- Je t'assure, Momo, c'est Manu qui...
- Allez vous vous taire, manant, ici, c'est moi qui assure les choses. Que je disse à notre bon roi vos agissements, et même si vous fûtes son bouffon, vous devriez vous affranchir d'une forte dîme.
Oui, butor, le dol est inadmissible, de quelle maréchaussée fîtes vous donc partie. Aucune à ma connaissance je puis l'assurer sur la tête du roi.
Je ne sais le sort que vous réserverait notre seigneur, mais vous serez par mes soins châtié comme vous le devez.
Déjà que vous chassez sur mes terres alors que je ne vous en eusse pas donné pouvoir, maintenant vous contrôlez mes sujets. S'en est trop monsieur, la blessure est trop importante et je ne cicatriserais que lorsque vous aurez été ébouillanté d'huile.
Je préviens ma cour de suite et vous donne comme salut de ne point jamais vous revoir à l'œuvre de ces basses actions. Souvenez-vous que je n'aurais qu'un luxe d'options pour vous corriger butor, alors filez prestement avant que je ne brandisse le fouet, le gourdin ou le fléau.
François était sidéré par la réponse de Momo et il eut assez peur.
Il ne demanda pas son reste et partait en courant.
Saturne arrivait derrière Momo et lui lançait, bien envoyé, Momo, c'est vrai qu'est qu'il est embêtant celui-ci.
Momo rentra dans le magasin suivi de Saturne.
Allaient-ils retrouver Pépère pour ramener de quoi manger à Draner.

La suite demain..

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