Donc le directeur en chef des ossologues s'écriait, l'heureux cas comme disait Hamède, j'ai trouvé la solution.
Et voilà comment il pensait à mon sapajou néerlandais élevé aux épinards sibériens cultivé par des communistes chauves les trente février de chaque année bi textile.
Et ce fut ainsi qu'on le branchait sur le réseau pour se décharger.
L'ossologue était heureux, car en fait, il n'aurait pas su comment faire pour soigner son drôle de patient, chat chat chat.
Bon, ce n'est pas tout ça, Lolo, tu nous retardes à parler, allons dans le magasin.
Mais qu'allait-il encore faire à l'intérieur.
Il partait de patte ferme suivi de Coin-coin, Pêcheur, Lolo, Ettesion et Chatdore.
Pendant ce temps-là, le président était tranquille vers l'estrade, il regardait les informations nécessaires à sa convenance concernant la dernière grève des agriculteurs.
Il était un peu inquiet que ceux-ci ne soient pas assez fournis en Glyphosate.
Il rêvait éveillé et voyait le président de la FNSEA un verre de Glyphosate en main dire à la tienne à des écolos en le buvant après.
Il en était à ses rêveries quand d'un seul coup le général Picolle vint le voir d'un air contrarié.
- Alors, ça, c'est trop fort, alors monsieur bleu premier, comme ça l'on vole un appareil militaire et on décapite des maisons.
Attendez que je fasse mon rapport à la maison blanche peint en bleu par des peaux-rouges. Je peux vous garantir que vous n'être pas près de l'approcher une seconde fois l'hélicoptère à Pépère.
- Mais de quoi parlez-vous mon général ?
- Hé bien de l'article très sérieux paru dans Voitchat.
Le brigadier Tatouvu qui était proche se mêla à la conversation.
- Hé bien, monsieur cordon bleu premier, on revient à ses amours de jeunesse en faisant des tours pas pendables.
Le président perdait son calme et s'approcha des deux hommes.
- Alors les deux frères siamois du cirque Pinders, ça va vous tenir longtemps. Qu'est-ce que c'est que cette histoire de Loulou Lecurieux, vous ne savez toujours pas que ce journal est un torchon.
D'abord, lisez moi donc ce torchon que j'en juge la teneur.
- Oui, écoutez ça, non d'un bouton rouge.
La cuisse légère et le président aérien.
Encore Loulou qui vous revient avec une nouvelle sensationnelle.
Nous ne savons pas encore pourquoi, mais le président a voulu essayer l'hélicoptère à Pépère.
D'après certaines sources non-officielle, il devait escorter un convoi exceptionnel de Glyphosate suite à son engagement d'empoisonner son bon peuple.
Ou bien voulut-il vivre la vie d'aventurier et de débauche de notre célèbre agent.
Il aurait déclaré vouloir contrôler les passagers agricoles du convoi et tous les engins sillonnant dans le secteur.
Nous ne savons pas si cette information est réelle, car d'autres voix affirment que cette histoire était partie d'un pari avec sœur Mathilde.
Quoi qu'il en soit et bien que l'homme affirmait être un pilote émérite, il perdit le contrôle de l'hélicoptère.
Ce que nous savons, c'est que l'une des pales s'est détachée et que celle-ci a frôlé les toitures sur la moitié de la commune de Sancoins.
Plus de mille maisons sont endommagées. Il semble que le président se soit énervé après le décollage et qu'il ait mis son hélice à la puissance maximum, comme sur un coup de colère.
Il venait à peine de quitter la maîtresse du fameux agent love gendarme, cité ainsi dans les milieux autorisés.
Il était avec elle pour le contrôle des papiers des agriculteurs, notamment une congrégation le long du canal pour le barbecue de ce soir.
Les tontons pinard, de leur état étaient donc contrôlés.
Nous savons d'ailleurs qu'elle lui ait demandé si elle pouvait mettre sa brigade au travail pour faire souffler les bougres dans l'éthylomètre avant leur départ le lendemain matin.
L'homme d'Etat lui a affirmé qu'il ne pouvait pas lui refuser ça étant donné qu'elle était son amie et que Pépère allait travailler pour lui.
C'est peut-être un peu avant de monter dans l'hélicoptère que sa maîtresse lui ait mal parlé de Pépère en le nommant, je cite, le crasseux.
Le président qui a une énorme affectation pour notre héros national se serait peut-être énervé à cause de ça.
Ici Loulou Lecurieux pour Voichat, dès que nous en saurons un peu plus, nous reviendrons vous en parler.
Loulou Lecurieux pour Voichat, le seul journal à vous fournir la vérité vraie.
- Hé bien, tout est faux, je m'en doutais. Brigadier Tatouvu, j'espère que vous prendrez ma plainte pour savoir qui a été raconter ce mensonge à ce journaliste de bas étage.
Et Pépère, pendant ce temps, que faisait-il au magasin ?
La suite demain...
Et voilà comment il pensait à mon sapajou néerlandais élevé aux épinards sibériens cultivé par des communistes chauves les trente février de chaque année bi textile.
Et ce fut ainsi qu'on le branchait sur le réseau pour se décharger.
L'ossologue était heureux, car en fait, il n'aurait pas su comment faire pour soigner son drôle de patient, chat chat chat.
Bon, ce n'est pas tout ça, Lolo, tu nous retardes à parler, allons dans le magasin.
Mais qu'allait-il encore faire à l'intérieur.
Il partait de patte ferme suivi de Coin-coin, Pêcheur, Lolo, Ettesion et Chatdore.
Pendant ce temps-là, le président était tranquille vers l'estrade, il regardait les informations nécessaires à sa convenance concernant la dernière grève des agriculteurs.
Il était un peu inquiet que ceux-ci ne soient pas assez fournis en Glyphosate.
Il rêvait éveillé et voyait le président de la FNSEA un verre de Glyphosate en main dire à la tienne à des écolos en le buvant après.
Il en était à ses rêveries quand d'un seul coup le général Picolle vint le voir d'un air contrarié.
- Alors, ça, c'est trop fort, alors monsieur bleu premier, comme ça l'on vole un appareil militaire et on décapite des maisons.
Attendez que je fasse mon rapport à la maison blanche peint en bleu par des peaux-rouges. Je peux vous garantir que vous n'être pas près de l'approcher une seconde fois l'hélicoptère à Pépère.
- Mais de quoi parlez-vous mon général ?
- Hé bien de l'article très sérieux paru dans Voitchat.
Le brigadier Tatouvu qui était proche se mêla à la conversation.
- Hé bien, monsieur cordon bleu premier, on revient à ses amours de jeunesse en faisant des tours pas pendables.
Le président perdait son calme et s'approcha des deux hommes.
- Alors les deux frères siamois du cirque Pinders, ça va vous tenir longtemps. Qu'est-ce que c'est que cette histoire de Loulou Lecurieux, vous ne savez toujours pas que ce journal est un torchon.
D'abord, lisez moi donc ce torchon que j'en juge la teneur.
- Oui, écoutez ça, non d'un bouton rouge.
La cuisse légère et le président aérien.
Encore Loulou qui vous revient avec une nouvelle sensationnelle.
Nous ne savons pas encore pourquoi, mais le président a voulu essayer l'hélicoptère à Pépère.
D'après certaines sources non-officielle, il devait escorter un convoi exceptionnel de Glyphosate suite à son engagement d'empoisonner son bon peuple.
Ou bien voulut-il vivre la vie d'aventurier et de débauche de notre célèbre agent.
Il aurait déclaré vouloir contrôler les passagers agricoles du convoi et tous les engins sillonnant dans le secteur.
Nous ne savons pas si cette information est réelle, car d'autres voix affirment que cette histoire était partie d'un pari avec sœur Mathilde.
Quoi qu'il en soit et bien que l'homme affirmait être un pilote émérite, il perdit le contrôle de l'hélicoptère.
Ce que nous savons, c'est que l'une des pales s'est détachée et que celle-ci a frôlé les toitures sur la moitié de la commune de Sancoins.
Plus de mille maisons sont endommagées. Il semble que le président se soit énervé après le décollage et qu'il ait mis son hélice à la puissance maximum, comme sur un coup de colère.
Il venait à peine de quitter la maîtresse du fameux agent love gendarme, cité ainsi dans les milieux autorisés.
Il était avec elle pour le contrôle des papiers des agriculteurs, notamment une congrégation le long du canal pour le barbecue de ce soir.
Les tontons pinard, de leur état étaient donc contrôlés.
Nous savons d'ailleurs qu'elle lui ait demandé si elle pouvait mettre sa brigade au travail pour faire souffler les bougres dans l'éthylomètre avant leur départ le lendemain matin.
L'homme d'Etat lui a affirmé qu'il ne pouvait pas lui refuser ça étant donné qu'elle était son amie et que Pépère allait travailler pour lui.
C'est peut-être un peu avant de monter dans l'hélicoptère que sa maîtresse lui ait mal parlé de Pépère en le nommant, je cite, le crasseux.
Le président qui a une énorme affectation pour notre héros national se serait peut-être énervé à cause de ça.
Ici Loulou Lecurieux pour Voichat, dès que nous en saurons un peu plus, nous reviendrons vous en parler.
Loulou Lecurieux pour Voichat, le seul journal à vous fournir la vérité vraie.
- Hé bien, tout est faux, je m'en doutais. Brigadier Tatouvu, j'espère que vous prendrez ma plainte pour savoir qui a été raconter ce mensonge à ce journaliste de bas étage.
Et Pépère, pendant ce temps, que faisait-il au magasin ?
La suite demain...