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Pépère le chat du poète, suite.

#1
La pauvre continuait de gonfler et se précipitait ici pour se faire soigner.
Par mesure de sécurité, elle commençait par envoyé un message à Amédée l'araignée pour lui dire qu'elle évite elle aussi d'en boire.
Puis elle demandait à monsieur Google les premiers secours qu'elle puisse se prodiguer.
Celui-ci lui répondait qu'il était très occupé avec Léonne Muscle.
Ils regardaient ensemble le célèbre Alambic Park de Seven Golberg.
Tu es bien gentille, manouche, lui répondait-il, mais nous sans sommes à la fameuse partie de poker entre Alex le T-rex et Marcus le tyrannosaurus alors tes problèmes d'aérophagie nous verrons plus tard.
Désespérée, elle contactait alors mon frère Saturne qui lui donnait les indications pour se rendre ici.
La pauvre avait tellement gonflé qu'elle avait un mal fou à voler.
Elle suivait la route nationale avec peine et arrivait enfin ici.
Désespérée, elle se ruait sur la sonnette.
La pauvre continuait de gonfler et il lui était de plus en plus difficile de sonner.
Elle s'était précipitée ici pour se faire soigner et personne n'était là.
Bien qu'elle sonnait personne ne répondait et elle eut à peine la force de prendre un antidépresseur pour calmer son stress et réfléchir.
Ce fut là qu'elle vit à côté de la porte la fameuse roue.
Elle en profitait tout de même pour se présenter à celle-ci qui lui disait en gros ce qu'elle faisait ici.
Manouche était bouleversée par l'histoire de la roue, mais elle devait malgré tout faire quelque chose pour survivre.
Bien qu'elle sut que la roue risquait une indigestion caoutchouteuse de la chambre à air à cause du gaz de schiste
Elle profitait de celle-ci pour vider le gaz de son ventre dans la chambre à air.
Oui, monsieur Google lui avait dit de ne pas recracher le gaz à l'air libre sous peine qu'il s'enflamme elle qu'elle finisse comme sosie officiel de Sanchez la merguez.
Bien qu'il fut occupé avec Léonne Muscle, il avait pris cinq minutes sur son temps.
Malheureusement, c'est gonflant le pneu qui était déjà plein que celui-ci éclatait et que manouche la mouche périssait.
Voyez, c'est d'une banalité stupéfiante.
Ettesion était sidérée par l'histoire de son père.
- Non, d'une explosion nucléaire, Pépère, cette histoire est bouleversante.
Mais que faites-vous déjà ici, à ce propos ?
- Hé bien, étant donné que manouche avait appelé mon frère Saturne, nous étions venus ici accompagner de ma fille, Divine et Chatdore pour prendre de ses nouvelles.
Hé bien, que se passe-t-il, mon bon présidence premier, vous avez le rhum d'Alain.
- Non d'un obus chinois, le rhum d'Alain, qu'est-ce que c'est que ça.
- Hé bien, c'est un rhum de saison dont est régulièrement victime un acteur très célèbre.
Par déformation à son nom, nous disons communément le rhum d'Alain pour parler du rhum de loin.
Oui, vous aviez compris qu'il s'agissait d'Alain Deloin.
Vous avez le nez qui coule et l'œil rouge mon bon loi premier, c'est pour ça que je dis ça.
- Hé bien, mon chère Pépère, c'est que cette histoire est émouvante.
Oui, l'amour de ce vétérinaire et sa femme pour cette roue est exceptionnel. Heureusement qu'ils avaient fait un album photos en souvenir. J'imagine la tristesse de ces pauvres gens quand ils sauront qu'elle est décédée.
Surtout, la peine de l'homme qui n'était pas là pour secourir manouche la mouche.
Il n'a pas fini d'y repenser le pauvre.
Et puis toutes ces péripéties et cette explosion me rappellent celle de mon collège par des terroristes à cause de mon cheveu.
- Non d'une mitraillette pour nain, encore une histoire palpitante.
- Hé bien, mon général, oui et non, écoutez mon récit.
Voilà l'histoire, Pépère, écoutez bien. Un jour en cours de math, je fus injustement traité de tricherie à cause de mon cheveu. Voilà, en copiant ma leçon, j'avais mis ma tête trop prête de la table. À cause de ma bigloucherie et de mes lunettes de plongée, mon nez suivait les lettres. Ce fut ainsi que je gravais ma leçon sur mon pupitre avec mon cheveu qui suivait les lignes. Mon professeur m'avait donc puni d'une retenue. Le soir, je faisais donc deux heures de colle et je fus oublié dans la classe. Je partais dans le noir et me cognant partout que je perçais un compteur électrique alors que je pensais que c'était une porte de sortie. Très vite, je partais en courant chez moi et le lendemain, j'apprenais que mon collège avait été victime d'un attentat et qu'il n'y avait plus rien.
- Oui, mais quel rapport avec l'attentat et votre retenue ?


La suite demain


- J'y viens mon général, voilà, juste à côté de mon collège, il y avait un commissariat de police et c'était lui qui était visé. Les terroristes avaient pour consigne, un bâtiment dans le noir avec des lumières rouges à l'intérieur. En perçant le coffre électrique avec mon cheveu en partant, j'avais provoqué un court-circuit qui avait allumé tous les voyants rouges d'incendie et provoqué une panne sur le réseau dans la rue et éteint le commissariat. Voilà comment par ma faute, le collège fut confondu avec le commissariat.
- Quel, aventure, c'est, en effet, très émouvant mon bon bleu premier.




La suite demain...



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