Puis, Cookie me disait alors que des vers de terre nucléaires étaient sortis de derrière la cabane.
Étant un bon ami, j'étais parti voir ce qui se passait et je ne m'étais pas méfié. L'autre était derrière moi avec le téléphone en main avec à l'autre bout love caviar. Ce fut alors que j'entendais l'insulte qu'il me lança, Pépère mange des vers de terre, vient là mon gaillard. Et ce fut comme ça que je me retrouvais prisonnier dans la cage.
J'ai passé la soirée devant le capharnaüm. J'étais dans la cage et j'attendais qu'il m'emmenât voir le nezal. Il avait bu autant que la mer a de sel et il avait failli m'oublier.
Puis nous sommes partis chez le pseudo-vétérinaire.
Arrivé là-bas après quinze minutes de route à zigzaguer, il a été à l'auberge des moines.
- Ce jour-là, il y avait toute la congrégation d'un monastère à Sancoins et mon père la chaise à trois pieds s'en donnait à cœur joie pendant que j'attendais dans la chatlauréane.
Ils avaient bien choisi l'endroit les moinillons, vous pouvez me croire.
Le bouge de tous les ivrognes de la région comme un heureux hasard. Et comme l'établissement fait crêperie le salopard qui s'était arrêté pour se remplir la panse en profitait pour chanter des cantiques avec les moinillons en buvant le vin de Jésus crit, encore une tournée patronne.
Moi pendant ce temps-là, je subissais la messe de l'autoradio à galène enfermé dans la cage.
Puis il m'a enfin emmené voir le vétérinaire. C'était un gros les joues toutes rouges avec une lampe greffée sur le front. Je pense que c'était pour mieux se repérer à cause de ses excès alcoolisés.
J'étais donc resté là-bas après qu'il ait déclaré à mon soûlard son diagnostic.
Je vois ce que c'est, il a le colza et les sinus sont plein de germes, je dois l'opérer qu'il disait le pseudo-spécialiste du trifouillage en sinus.
C'est comme ça que le lendemain, j'étais estropié du nez par ce docteur maboule, continue de remplir mon verre pour soigner ma schizophrénie.
Il me fit faire une greffe de sinus en isorel israélien et depuis, quand je marche un peu vite, je suis essoufflé.
J'ai beau avoir la ligne et être taillé comme un athlète rien n'y fait.
- Hé bien, Pépère, c'est une drôle d'histoire.
- Oui, mon frérot, mais ce n'est pas tout ça, tu nous retardes à parler encore une fois.
Oui, nous n'avançons pas assez vite à écouter tes histoires mon frérot.
Ettesion et Chatdore chat rigolaient des réflexions de Pépère envers son frère.
Divine appela Pépère qui stoppait sa marche.
- Oui, Divine, tu peux parler, j'ai mis le haut-parleur.
- Oui, Pépère, je suis en face de la pièce où est mon petit Fripouillet.
Le salopard l'a renfermé dans une cage et il est parti je ne sais où en voiture.
Je me suis approché de la fenêtre du bureau tout à l'heure, il avait laissé la fenêtre entrebâillée et je comptais entrer.
Malheureusement, le bougre était juste derrière, il était au téléphone avec ton maître, il lui demandait s'il ne voulait pas récupérer un chat roux.
Dépêchez-vous, vous autres, car le torturien va revenir et j'ai peur que ton maître arrive avant que vous ne soyez là.
- Hé bien, divine, nous arrivons, simplement mon frérot m'a retardé avec des bavardages des minutes entières alors qu'en parlant en moyenne compensée, il en aurait eu pour trois secondes.
- D'accord Pépère, je t'attends, à tout à l'heure.
Ettesion regardait son père avec étonnement par rapport à ses dernières paroles.
- Hé bien, raconter une histoire d'une heure en trois secondes, c'est exceptionnel cette affaire-là.
- Pas du tout ma fille en utilisant la moyenne compensée, c'est tout à fait possible écoute cette histoire.
Un jour, je fus contacté pour aller secourir un sous-marin qui va sous l'eau de ne pas être au-dessus.
Je devais assister les spécialistes qui étaient dans un bateau pour guider le sous-marin afin qu'il remonte en haut en partant du bas.
La suite demain...
Étant un bon ami, j'étais parti voir ce qui se passait et je ne m'étais pas méfié. L'autre était derrière moi avec le téléphone en main avec à l'autre bout love caviar. Ce fut alors que j'entendais l'insulte qu'il me lança, Pépère mange des vers de terre, vient là mon gaillard. Et ce fut comme ça que je me retrouvais prisonnier dans la cage.
J'ai passé la soirée devant le capharnaüm. J'étais dans la cage et j'attendais qu'il m'emmenât voir le nezal. Il avait bu autant que la mer a de sel et il avait failli m'oublier.
Puis nous sommes partis chez le pseudo-vétérinaire.
Arrivé là-bas après quinze minutes de route à zigzaguer, il a été à l'auberge des moines.
- Ce jour-là, il y avait toute la congrégation d'un monastère à Sancoins et mon père la chaise à trois pieds s'en donnait à cœur joie pendant que j'attendais dans la chatlauréane.
Ils avaient bien choisi l'endroit les moinillons, vous pouvez me croire.
Le bouge de tous les ivrognes de la région comme un heureux hasard. Et comme l'établissement fait crêperie le salopard qui s'était arrêté pour se remplir la panse en profitait pour chanter des cantiques avec les moinillons en buvant le vin de Jésus crit, encore une tournée patronne.
Moi pendant ce temps-là, je subissais la messe de l'autoradio à galène enfermé dans la cage.
Puis il m'a enfin emmené voir le vétérinaire. C'était un gros les joues toutes rouges avec une lampe greffée sur le front. Je pense que c'était pour mieux se repérer à cause de ses excès alcoolisés.
J'étais donc resté là-bas après qu'il ait déclaré à mon soûlard son diagnostic.
Je vois ce que c'est, il a le colza et les sinus sont plein de germes, je dois l'opérer qu'il disait le pseudo-spécialiste du trifouillage en sinus.
C'est comme ça que le lendemain, j'étais estropié du nez par ce docteur maboule, continue de remplir mon verre pour soigner ma schizophrénie.
Il me fit faire une greffe de sinus en isorel israélien et depuis, quand je marche un peu vite, je suis essoufflé.
J'ai beau avoir la ligne et être taillé comme un athlète rien n'y fait.
- Hé bien, Pépère, c'est une drôle d'histoire.
- Oui, mon frérot, mais ce n'est pas tout ça, tu nous retardes à parler encore une fois.
Oui, nous n'avançons pas assez vite à écouter tes histoires mon frérot.
Ettesion et Chatdore chat rigolaient des réflexions de Pépère envers son frère.
Divine appela Pépère qui stoppait sa marche.
- Oui, Divine, tu peux parler, j'ai mis le haut-parleur.
- Oui, Pépère, je suis en face de la pièce où est mon petit Fripouillet.
Le salopard l'a renfermé dans une cage et il est parti je ne sais où en voiture.
Je me suis approché de la fenêtre du bureau tout à l'heure, il avait laissé la fenêtre entrebâillée et je comptais entrer.
Malheureusement, le bougre était juste derrière, il était au téléphone avec ton maître, il lui demandait s'il ne voulait pas récupérer un chat roux.
Dépêchez-vous, vous autres, car le torturien va revenir et j'ai peur que ton maître arrive avant que vous ne soyez là.
- Hé bien, divine, nous arrivons, simplement mon frérot m'a retardé avec des bavardages des minutes entières alors qu'en parlant en moyenne compensée, il en aurait eu pour trois secondes.
- D'accord Pépère, je t'attends, à tout à l'heure.
Ettesion regardait son père avec étonnement par rapport à ses dernières paroles.
- Hé bien, raconter une histoire d'une heure en trois secondes, c'est exceptionnel cette affaire-là.
- Pas du tout ma fille en utilisant la moyenne compensée, c'est tout à fait possible écoute cette histoire.
Un jour, je fus contacté pour aller secourir un sous-marin qui va sous l'eau de ne pas être au-dessus.
Je devais assister les spécialistes qui étaient dans un bateau pour guider le sous-marin afin qu'il remonte en haut en partant du bas.
La suite demain...