Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
Arrêtez les flashs et les caméras, oui, c'est Pépère, le boss pour les intimes.
Ceci est la dernière fois que j'écris mon histoire, mais je voulais finir ce récit.
Mais, avant de continuer laissez-moi vous raconter ce dont il m'est arrivé.
Donc, avant-hier, jeudi était le jour de la disparition de mon Dracula. Je fus missionné par love Armand pour le retrouver.
Donc, hier, je continuais l'histoire, mais ce que je ne savais pas, c'est que l'histoire de la veille avait connu un succès international.
Voilà, dans l'après-midi, madame Élisamêtre Borne qui me suit mes aventures sur Chattube, avait lu l'histoire et elle n'en revenait pas. Du coup, elle appela Pap Jecaille le ministre de l'Éducation nationale pour lui dire que je devais être décoré. En effet, je vais recevoir la palme académique des arts et des lettres pour ma façon de manier la langue de Moulinière.
En plus, ma biographie sera enseignée, ceci m'a été confirmé par le ministère de l'Éducation nationale.
Donc, hier matin, j'écrivais la suite devant le gourbi de mon astronaute chinois parti en mission sur les vignobles de la lune.
À peine fini, j'entendais un bruit de moteur. Étant donné que la messe n'était pas là, je me disais, ce n'est toujours pas mon imam breton élevé à la messe hindou. Effectivement, c'était un car de touristes japonais qui venaient visiter le phénomène. Hélas, Pap Jecaille n'avait pas su tenir ses doigts et avait Tweeté ma future décoration académique.
Du coup, j'attrapais une insolation à cause des flashs et ma queue se retrouvait brûlée aux vingtièmes degrés.
Autant vous dire que je dus inventer un onguent dans la journée pour calmer la douleur.
Ceci dit, j'étais content, car j'avais eu tout le soutien de love maîtresse. Elle m'a même informé m'avoir commandé une chatchatmobile 4x4 pour mes déplacements sur le terrain de mon brontosaure.
Donc, hier soir, je me couchais avec une température corporelle de soixante-sept degrés cinq. Je n'étais pas sûr de pouvoir venir continuer mon récit ce matin.
Mais vu mon extrême résistance, je vais parfaitement bien ce matin.
Donc, samedi soir pour en revenir à mon déjanté de la chopine.
Je me faisais donc déposer par la vilaine de la poste devant l'auberge des moines. Après quarante-cinq minutes d'idioties, je lui disais qu'elle pouvait repartir. Oui, cela fut très dur pour savoir si c'était bien lui qu'elle avait ramassé sur la route.
Ce fut alors qu'elle s'écriait, hé bien, salut love bouboule.
J'étais extrêmement vexé et je prétextais avoir oublié quelque chose dans la voiture. Je faisais un joli caca derrière son siège. Elle repartait les vitres ouvertes me demandant ce qu'était cette odeur. Je lui affirmais que les voitures électriques faisaient caca de l'azote de soleil et elle me répondait, merci, maintenant, je sais tout sur l'électrique.
J'étais chat mort de rire et bien content qu'elle s'en aille enfin.
Donc, j'arrivais vers l'auberge des moines et me dirigerais vers l'église.
Il y avait une office, j'étais très étonné de constater que love prière était en pleine répétition de messe.
Elle était contente de me voir et des fidèles la regardaient. Ce fut à ce moment qu'elle sortit la bouteille de vin de messe.
Je me suis dépêché d'aller chercher un film plastique transparent pour mettre devant l'autel. Les fidèles après la messe me remercièrent. Ils pensaient que c'était pour le cacao minus. Ils avaient en fait échappé à une brûlure de la rétine au seizième degré.
Ce fut là que love autel me disait que bout de gras pour sumotori anorexique était enfin réapparu. Il était parti sonner les cloches et avait de nouveau disparu.
Déjà, elle me faisait plein de bisous sur mes grosses joues. J'étais vraiment très content de là voir. Je t'aime ma love maîtresse, j'aime tes bisous. Je priais le saint covid et les saintes mesures sanitaires en remerciements. Oui, comprenez avec le masque, mes yeux ne craignaient rien. Donc, déjà, elle me disait, hé bien, Pépère, j'ai l'impression que tu as maigri. Oui, que je lui répondais, je viens de suer de milliers de litres d'intelligence, cela t'étonne.
Je lui racontais ma rencontre avec le laideron postal et l'accident de mon père tire-bouchon. Elle me disait alors, oui le harnais s'en est occupé. Ha, bon, il ne m'a pas prévenu. Oui, me disait-elle, il a perdu son portable.
Donc, ce fut là qu'elle m'annonçait qu'elle allait m'acheter une chatchatmobile 4x4 pour me remercier d'être venu.
Nous repartions ensemble à la recherche de mon épileptique de la langue de l'oreille du genou.
Nous arrivions dans le clocher et trouvions au sol des bouteilles vides à foison.
Hé bien, il n'y a pas été molo l'animal qu'elle me disait. Je me sentais vexé, car j'étais comparé à mon brontosaure carnassier mangeur de cuissot d'acacia. Oui, je suis un animal, mais le plus intelligent au monde, bref.
Je lui demandais comment il était habillé et elle me répondit, en soutane pourquoi.
Ce fut alors que je comprenais la chose. Avec ses trois cents grammes tout mouillés, il s'était envolé en sonnant les cloches.
Effectivement, c'était comme ça qu'il s'était retrouvé à la terrasse de l'auberge des moines. La soutane avait fait effet de parachute.
Le bougre pour s'en remettre s'était attablé devant une assiette de trente crêpes.
À ma demande, sa réponse fut, bas les pattes, quelle misère...

Screenshot_2022-05-23-08-45-16-60_a23b203fd3aafc6dcb84e438dda678b6.jpg téléchargement (3).jpeg téléchargement (2).jpeg