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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Grenouille écoutait le Pépère lui raconter un tas d'histoire.
J'attends toujours, d'ailleurs, je pense qu'elle les a mangés avec grandes dents, car il m'a offert ça.
Disant cela, il sortit la ficelle de poulet et le croupion du chat-ventre.
- De qui parles-tu et qu'est-ce que c'est ?
- De mon aiguille à coudre Norvégienne pour tricot à bouteille de vin Croate.
- Que fais-tu avec ça dans ton chat-ventre ?
- Hé bien, c'est ma love maîtresse qui me l'a donné en cadeau. Elle m'a dit comme ça, ça te fera un pendentif poulet extraordinaire.
C'était pour me remercier pour ses pieds. Oui, c'est à cause de Diego le haricot. Remarque, c'est un très beau cadeau, mais j'aurais préféré l'original plutôt que la photocopie.
- Je ne comprends pas ton histoire de pieds et de haricots.
Mon chatmoureux, Petitmimi, me dit souvent que tes histoires sont des fois compliquées, je m'en rends compte.
- Pas du tout Diego le haricot est le fruit d'un labeur intense produit par un pauvre miséreux.
Oui, Grenouille et ce pauvre traîne savate n'est autre que celui que tu as en face de toi en la personne de Pépère.
- Ha, bon, c'est toi qui as été acheté les haricots ?
- Non, ma pauvre Grenouille, pire que ça, je les ai cultivés et crois moi que j'en ai bavé.
- C'est juste à les planter au printemps et les ramasser en été, ce n'est pas si dur que ça.
- Hé bien, parle pour toi, ma pauvre Grenouille. Écoute mon histoire qui commence, non pas au printemps, mais en plein hiver.
- Tu les as cultivés en hiver ?
- Non, laisse-moi te raconter cette histoire vraie authentique et pas fausse qui n'est pas un vrai mensonge qui serait une fausse vérité vraie.
Voilà, tout a démarré en automne un jour, il a décidé qu'il allait faire des haricots pour le printemps suivant.
Mon gentil minet qu'il me disait, tu me donneras un coup de main pour la terre.
Oui, et comme récompense, j'aurai un bol de cailloux, je connais déjà la fin sans avoir vu le début.
Cuve ta vinasse en attendant, car si tu attends le printemps le verre en main, tu risques de boire du vinaigre.
Le bougre ne s'attendait pas à la réponse et partit dans son capharnaüm écouter la messe avec le smartphone en main. Je compris plus tard qu'il était en ligne avec ma maîtresse, love soutane et qu'ils répétaient ensemble la messe de minuit pour le Noël prochain.
Puis deux jours plus tard par le plus grand des hasard, un accident se produisit sur la commune.
Un camion s'était couché dans le fossé à l'entrée de Mornay. Heureusement sans faire de blessé. Celui-ci transportait des haricots à semer.
Le soir, love képi qui avait été appelé pour régler la circulation en parle à mon comanche irlandais bourré de champagne lunaire.
Elle lui dit comme ça, quel gâchis plein de haricots sont tombé au sol et il en reste la moitié.
Le lendemain, il me disait, Pépère, prend ce vieux fut sous le hangar pour aller récupérer des haricots.
Je n'avais pas vu que ce fut contenait de l'uranium. Oui un vestige de sa centrale nucléaire achetée en kit sur Carjezone.
Je ne te précise pas que c'est moi qui aie ramassé les haricots pour les mettre dans le fut. Je ne te dis pas non plus qu'il me le fit ramener à dos de chat.
Puis je rangeais le tonneau dans un coin. Mon irradié du bouchon de liège avait oublié que le fut avait contenu de l'uranium et les grains de haricots se mirent à gonfler. Chaque grain faisait dix kilos et il me les fit sortir pour les mettre dans des sacs de toile.
Nous étions en octobre et c'est en plein mois de décembre par moins soixante-dix degrés en dessous de zéro qu'il eut l'idée de les mettre en terre.
Enfin, ce fut moi qui dus m'en occuper.
Le lendemain, il me fit réparer un marteau-piqueur qui me servit de bêche pour retourner la terre complètement gelée.
Je ne raconte pas que le soir, j'étais toujours pris de tremblements à cause de l'engin. Il me disait non bouboule tu restes dehors, croyant que je grattais la porte alors que c'était mon squelette qui tremblait.
Puis je dus, planter les haricots avec mon hélicoptère en les jetant de haut.
Il me disait comme ça, tu comprends mon gentil minet, l'uranium vas les protéger du gel et en les jetant de haut, ils seront profondément enterrés. Alors qui c'est le génie, mon gentil minet qu'il s'écria.
Puis les pauvres haricots se mirent à pousser deux jours plus tard. C'était l'effet des radiations. Si bien que quatre jours plus tard, les haricots faisaient dix mètres de hauteur.
Ce fut à l'aide d'un échafaudage que je dus les cueillir.
Puis love gendarme les cuisinait. Le problème fut qu'ils étaient plein de fils.
Étant donné qu'elle est frileuse des pieds elle me fit tricoter des chaussettes avec les fils des haricots.
Alors tu comprends, Grenouille l'histoire des haricots.


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GABY73

Maître Poète
#2
Grenouille écoutait le Pépère lui raconter un tas d'histoire.
J'attends toujours, d'ailleurs, je pense qu'elle les a mangés avec grandes dents, car il m'a offert ça.
Disant cela, il sortit la ficelle de poulet et le croupion du chat-ventre.
- De qui parles-tu et qu'est-ce que c'est ?
- De mon aiguille à coudre Norvégienne pour tricot à bouteille de vin Croate.
- Que fais-tu avec ça dans ton chat-ventre ?
- Hé bien, c'est ma love maîtresse qui me l'a donné en cadeau. Elle m'a dit comme ça, ça te fera un pendentif poulet extraordinaire.
C'était pour me remercier pour ses pieds. Oui, c'est à cause de Diego le haricot. Remarque, c'est un très beau cadeau, mais j'aurais préféré l'original plutôt que la photocopie.
- Je ne comprends pas ton histoire de pieds et de haricots.
Mon chatmoureux, Petitmimi, me dit souvent que tes histoires sont des fois compliquées, je m'en rends compte.
- Pas du tout Diego le haricot est le fruit d'un labeur intense produit par un pauvre miséreux.
Oui, Grenouille et ce pauvre traîne savate n'est autre que celui que tu as en face de toi en la personne de Pépère.
- Ha, bon, c'est toi qui as été acheté les haricots ?
- Non, ma pauvre Grenouille, pire que ça, je les ai cultivés et crois moi que j'en ai bavé.
- C'est juste à les planter au printemps et les ramasser en été, ce n'est pas si dur que ça.
- Hé bien, parle pour toi, ma pauvre Grenouille. Écoute mon histoire qui commence, non pas au printemps, mais en plein hiver.
- Tu les as cultivés en hiver ?
- Non, laisse-moi te raconter cette histoire vraie authentique et pas fausse qui n'est pas un vrai mensonge qui serait une fausse vérité vraie.
Voilà, tout a démarré en automne un jour, il a décidé qu'il allait faire des haricots pour le printemps suivant.
Mon gentil minet qu'il me disait, tu me donneras un coup de main pour la terre.
Oui, et comme récompense, j'aurai un bol de cailloux, je connais déjà la fin sans avoir vu le début.
Cuve ta vinasse en attendant, car si tu attends le printemps le verre en main, tu risques de boire du vinaigre.
Le bougre ne s'attendait pas à la réponse et partit dans son capharnaüm écouter la messe avec le smartphone en main. Je compris plus tard qu'il était en ligne avec ma maîtresse, love soutane et qu'ils répétaient ensemble la messe de minuit pour le Noël prochain.
Puis deux jours plus tard par le plus grand des hasard, un accident se produisit sur la commune.
Un camion s'était couché dans le fossé à l'entrée de Mornay. Heureusement sans faire de blessé. Celui-ci transportait des haricots à semer.
Le soir, love képi qui avait été appelé pour régler la circulation en parle à mon comanche irlandais bourré de champagne lunaire.
Elle lui dit comme ça, quel gâchis plein de haricots sont tombé au sol et il en reste la moitié.
Le lendemain, il me disait, Pépère, prend ce vieux fut sous le hangar pour aller récupérer des haricots.
Je n'avais pas vu que ce fut contenait de l'uranium. Oui un vestige de sa centrale nucléaire achetée en kit sur Carjezone.
Je ne te précise pas que c'est moi qui aie ramassé les haricots pour les mettre dans le fut. Je ne te dis pas non plus qu'il me le fit ramener à dos de chat.
Puis je rangeais le tonneau dans un coin. Mon irradié du bouchon de liège avait oublié que le fut avait contenu de l'uranium et les grains de haricots se mirent à gonfler. Chaque grain faisait dix kilos et il me les fit sortir pour les mettre dans des sacs de toile.
Nous étions en octobre et c'est en plein mois de décembre par moins soixante-dix degrés en dessous de zéro qu'il eut l'idée de les mettre en terre.
Enfin, ce fut moi qui dus m'en occuper.
Le lendemain, il me fit réparer un marteau-piqueur qui me servit de bêche pour retourner la terre complètement gelée.
Je ne raconte pas que le soir, j'étais toujours pris de tremblements à cause de l'engin. Il me disait non bouboule tu restes dehors, croyant que je grattais la porte alors que c'était mon squelette qui tremblait.
Puis je dus, planter les haricots avec mon hélicoptère en les jetant de haut.
Il me disait comme ça, tu comprends mon gentil minet, l'uranium vas les protéger du gel et en les jetant de haut, ils seront profondément enterrés. Alors qui c'est le génie, mon gentil minet qu'il s'écria.
Puis les pauvres haricots se mirent à pousser deux jours plus tard. C'était l'effet des radiations. Si bien que quatre jours plus tard, les haricots faisaient dix mètres de hauteur.
Ce fut à l'aide d'un échafaudage que je dus les cueillir.
Puis love gendarme les cuisinait. Le problème fut qu'ils étaient plein de fils.
Étant donné qu'elle est frileuse des pieds elle me fit tricoter des chaussettes avec les fils des haricots.
Alors tu comprends, Grenouille l'histoire des haricots.


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Qu'elle histoire que cette histoire de haricots....
Amicalement
Gaby