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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Isidore, se mit à son ordinateur pendant que Pépère faisait le pitre devant Lucie.
Grâce à sa source d'électricité autonome, il put démarrer l'ordinateur et se mettre en liaison avec le puissant Aketok.
Chouânne le contactait en même temps. Elle avait besoin du microprocesseur d'Annahoj pour l'emmener avec elle. Elle devait le jeter dans l'espace pour qui gravite à un point donné de façon à ce que les Énarpilodiens le localisent. Ainsi faisant, les trois soucoupes qui étaient en formation au-dessus de Mornay suivraient les cordonnées du signal.
Pour le moment, Isidore avait déconnecté le processeur et Fripouille sortit dans la rue le porter à Chouânne qui l'attendait vers le canal, désespérément vide.
Il revint très vite vers Isidore et celui-ci mit le plan en action.
En à peine un quart d'heure le puissant Aketok fut convaincu qu'Annahoj avait été kidnappé et les trois soucoupes repartirent en direction de l'espace.
Fripouille regardait les nuages par la fenêtre. D'un seul coup, le temps redevint normal et le soleil se mit à briller.
Son intention fut attirée par la voiture de gendarmerie qui avait failli l'écraser. Elle revenait à toute vitesse et disparut aussi vite que le soleil réapparut devant ses yeux.
- Mes copains, c'est bon, Chouânne est en direction de la lune où doivent la rejoindre Leïlanne et Liettuje.
Merci encore Elchaponne et Fripouille pour votre aide.
- De rien, mon copain, regarde, les lumières de l'estrade le long du canal et écoutez la musique.
- Oui, Fripouille tu as raison, le courant est revenu. C'était donc une diablerie des Énarpilodiens.
- Oui, Elchaponne, c'est évident, allons rejoindre nos amis, nous autres et appelons Pépère pour qu'il revienne.
- Oui, tu as raison Isidore, inutile qu'il perde son temps.
- Oui Elchaponne, du moment qu'il prenne le temps de se toiletter.
- Toi aussi, Isidore, tu as remarqué qu'il était tout crasseux.
-Oui, mon copain, bon allons rejoindre le père Mike et le président que nous sachions nous autres ce que lui voulait le général Picolle.
À Mornay, le brigadier Tatouvu, pressait le général Picolle de monter dans l'auto.
Son chef l'avait appelé pour lui parler d'une drôle d'affaire. Son chef avait été appelé par plusieurs personnes l'ayant vu dans le centre-ville faire des rodéos sauvages sur une moto. Sachant que le brigadier était à Mornay, il l'avait appelé pour enquêter sur cette affaire. Son chef était persuadé que quelqu'un s'était déguisé pour ressembler au brigadier.
Les deux hommes partirent, toutes sirènes hurlantes en repassant par la route qui longeait le champ à Cookie, le brigadier s'étant trompé dans son empressement.
Cookie malgré la paille dans ses oreilles entendit la sirène. Elle jeta la paille de ses oreilles au sol et ruait des deux sabots. Elle tapait dans la paroi.
- Hiii, ils viennent arrêter le cacateux, hiii il est la il fait caca des chansons par la bouche, hiii, et ma tranquillité, hiii, partez tous d'ici.
Lucie fut surprise de sa réaction, à chaque coup de sabot, la cabane se mettait à trembler à tout-va.
- Hiii, arrête de t'énerver Cookie, ce n'est qu'une voiture de gendarmerie, hii elle est déjà loin.
La pauvre Cookie, s'était tellement agacée qu'elle tomba d'épuisement dans son lit de paille.
- Hiii, je n'en peux plus, je vais me reposer.
- Hé bien, Lucie, je te laisse reposer aussi, je vais voir les Américains.
Le Pépère plutôt que d'aller directement vers les tentes repartit voir ce que faisait son maître.
Le poète entre temps était sorti de sa cabane et vit Pépère arrivé dans l'allée.
- Tiens, revoilà mon petit gros. Pépère, miam miam les bonnes croquettes, viens manger mon gamin.
- Mince, je suis marron, bout de polystyrène extrudé pour construction de paquebots Norvégien est dehors.
Va te faire cuire une cuisse de baleine Israélienne, boit-sans-soif et arrête de surveiller ton chat.
Le Pépère repartit vers les Américains en passant devant chez Cookie.
Lucie était partie se dégourdir les sabots dans le pré. Le pépère la vit et sachant Cookie toute seul eut une idée.
Il s'arrêta devant l'entrée et se tourna.
Cookie présentait un intrus devant, mais pensait que c'était Lucie.
Elle comprit d'un seul coup en voyant sa queue dans l'entrebâillement.
Puis elle l'écouta s'écrier.
- Cadeau de Pépère brise d'estomac décongestionné par l'intelligence du ventre, façon Pépère.
Puis un énorme pet se fit entendre et une odeur épouvantable se répandit.
C'est sous ses hennissements qu'il s'enfuyait vers les tentes des Américains.
Il fut reçu par leur chef qui parlait parfaitement français.
Il ne comprenait plus rien, des fréquences radios étaient reçues de tout part et le temps faisait du yo-yo, puis tout était redevenu normal.
- Nous avons dû mal à comprendre ce phénomène extraterrestre. Pépère, vous génie des armées françaises, inventeur des maladies en poudre et de l'antidote qui va avec, que pouvons nous faire ?
- Rien du tout, ce n'est pas un problème extraterrestre.
- Ha, bon, vous en êtes sûr.
- Bien sûr, c'est mon maître qui fait des essais de cuisson d'onde électromagnétique.
- Comment ça, je ne comprends pas.
- Hé bien, peut-être aie, vous entendu mon amie Cookie hennir. C'est parce que les ondes lui percent les oreilles.
Voilà, il cuisine une cuisse de tricératops aux ondes hertziennes. Il a téléphoné à sa moitié qui lui a conseillé une cuisson bleue. Forcément, elle est gendarme. Pour arriver à cuisiner une cuisse de tricératops au bleu avec des ondes cela demande beaucoup de fréquences. Alors il émet à tout-va, c'est ce qui a déréglé les nuages, le soleil et les heures.
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GABY73

Maître Poète
#2
Isidore, se mit à son ordinateur pendant que Pépère faisait le pitre devant Lucie.
Grâce à sa source d'électricité autonome, il put démarrer l'ordinateur et se mettre en liaison avec le puissant Aketok.
Chouânne le contactait en même temps. Elle avait besoin du microprocesseur d'Annahoj pour l'emmener avec elle. Elle devait le jeter dans l'espace pour qui gravite à un point donné de façon à ce que les Énarpilodiens le localisent. Ainsi faisant, les trois soucoupes qui étaient en formation au-dessus de Mornay suivraient les cordonnées du signal.
Pour le moment, Isidore avait déconnecté le processeur et Fripouille sortit dans la rue le porter à Chouânne qui l'attendait vers le canal, désespérément vide.
Il revint très vite vers Isidore et celui-ci mit le plan en action.
En à peine un quart d'heure le puissant Aketok fut convaincu qu'Annahoj avait été kidnappé et les trois soucoupes repartirent en direction de l'espace.
Fripouille regardait les nuages par la fenêtre. D'un seul coup, le temps redevint normal et le soleil se mit à briller.
Son intention fut attirée par la voiture de gendarmerie qui avait failli l'écraser. Elle revenait à toute vitesse et disparut aussi vite que le soleil réapparut devant ses yeux.
- Mes copains, c'est bon, Chouânne est en direction de la lune où doivent la rejoindre Leïlanne et Liettuje.
Merci encore Elchaponne et Fripouille pour votre aide.
- De rien, mon copain, regarde, les lumières de l'estrade le long du canal et écoutez la musique.
- Oui, Fripouille tu as raison, le courant est revenu. C'était donc une diablerie des Énarpilodiens.
- Oui, Elchaponne, c'est évident, allons rejoindre nos amis, nous autres et appelons Pépère pour qu'il revienne.
- Oui, tu as raison Isidore, inutile qu'il perde son temps.
- Oui Elchaponne, du moment qu'il prenne le temps de se toiletter.
- Toi aussi, Isidore, tu as remarqué qu'il était tout crasseux.
-Oui, mon copain, bon allons rejoindre le père Mike et le président que nous sachions nous autres ce que lui voulait le général Picolle.
À Mornay, le brigadier Tatouvu, pressait le général Picolle de monter dans l'auto.
Son chef l'avait appelé pour lui parler d'une drôle d'affaire. Son chef avait été appelé par plusieurs personnes l'ayant vu dans le centre-ville faire des rodéos sauvages sur une moto. Sachant que le brigadier était à Mornay, il l'avait appelé pour enquêter sur cette affaire. Son chef était persuadé que quelqu'un s'était déguisé pour ressembler au brigadier.
Les deux hommes partirent, toutes sirènes hurlantes en repassant par la route qui longeait le champ à Cookie, le brigadier s'étant trompé dans son empressement.
Cookie malgré la paille dans ses oreilles entendit la sirène. Elle jeta la paille de ses oreilles au sol et ruait des deux sabots. Elle tapait dans la paroi.
- Hiii, ils viennent arrêter le cacateux, hiii il est la il fait caca des chansons par la bouche, hiii, et ma tranquillité, hiii, partez tous d'ici.
Lucie fut surprise de sa réaction, à chaque coup de sabot, la cabane se mettait à trembler à tout-va.
- Hiii, arrête de t'énerver Cookie, ce n'est qu'une voiture de gendarmerie, hii elle est déjà loin.
La pauvre Cookie, s'était tellement agacée qu'elle tomba d'épuisement dans son lit de paille.
- Hiii, je n'en peux plus, je vais me reposer.
- Hé bien, Lucie, je te laisse reposer aussi, je vais voir les Américains.
Le Pépère plutôt que d'aller directement vers les tentes repartit voir ce que faisait son maître.
Le poète entre temps était sorti de sa cabane et vit Pépère arrivé dans l'allée.
- Tiens, revoilà mon petit gros. Pépère, miam miam les bonnes croquettes, viens manger mon gamin.
- Mince, je suis marron, bout de polystyrène extrudé pour construction de paquebots Norvégien est dehors.
Va te faire cuire une cuisse de baleine Israélienne, boit-sans-soif et arrête de surveiller ton chat.
Le Pépère repartit vers les Américains en passant devant chez Cookie.
Lucie était partie se dégourdir les sabots dans le pré. Le pépère la vit et sachant Cookie toute seul eut une idée.
Il s'arrêta devant l'entrée et se tourna.
Cookie présentait un intrus devant, mais pensait que c'était Lucie.
Elle comprit d'un seul coup en voyant sa queue dans l'entrebâillement.
Puis elle l'écouta s'écrier.
- Cadeau de Pépère brise d'estomac décongestionné par l'intelligence du ventre, façon Pépère.
Puis un énorme pet se fit entendre et une odeur épouvantable se répandit.
C'est sous ses hennissements qu'il s'enfuyait vers les tentes des Américains.
Il fut reçu par leur chef qui parlait parfaitement français.
Il ne comprenait plus rien, des fréquences radios étaient reçues de tout part et le temps faisait du yo-yo, puis tout était redevenu normal.
- Nous avons dû mal à comprendre ce phénomène extraterrestre. Pépère, vous génie des armées françaises, inventeur des maladies en poudre et de l'antidote qui va avec, que pouvons nous faire ?
- Rien du tout, ce n'est pas un problème extraterrestre.
- Ha, bon, vous en êtes sûr.
- Bien sûr, c'est mon maître qui fait des essais de cuisson d'onde électromagnétique.
- Comment ça, je ne comprends pas.
- Hé bien, peut-être aie, vous entendu mon amie Cookie hennir. C'est parce que les ondes lui percent les oreilles.
Voilà, il cuisine une cuisse de tricératops aux ondes hertziennes. Il a téléphoné à sa moitié qui lui a conseillé une cuisson bleue. Forcément, elle est gendarme. Pour arriver à cuisiner une cuisse de tricératops au bleu avec des ondes cela demande beaucoup de fréquences. Alors il émet à tout-va, c'est ce qui a déréglé les nuages, le soleil et les heures.
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Merci Daniel pour cette nouvelle lecture
Amicalement
Gaby