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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Sancoins, Fripouille avait disparu de la rue devant la Dacia qui était face à lui. Il se retrouva directement devant chez Isidore où l'attendait Elchaponne.
- Chat alors, comment as-tu fait cette prouesse ?
- Hé bien, Elchaponne, c'est un coup de magie de la fée chouânne.
Fripouille expliqua sommairement l'histoire et Elchaponne n'en revenait pas.
Au même moment, Isidore arrivait juste en face d'eux de l'autre côté de la route. Il se mit à traverser avec prudence et d'un seul coup la Dacia de gendarmerie surgit comme par magie.
- Attention, Isidore, la voitu...
- Vite, dépêchons nous, nous tout seul.
- Hé bien, tu l'as échappé belle mon copain. Mais d'où arrivait cette auto de gendarme. J'ai eu l'impression qu'elle ait apparu comme par magie pour t'écraser. C'est bizarre, je n'ai reconnu aucun des gendarmes dedans.
- Tu l'as dit, Elchaponne, d'autant plus bizarre que la même voiture était dans la rue devant moi. Je l'ai parfaitement reconnue, car le pare-brise est fendu et c'était la même, j'en suis sûr. Mais ce n'étaient pas les mêmes occupants.
- Ha, bon, tu es sûr, Fripouille ?
- Oui, j'en suis certain, c'était le général Picolle et le brigadier Tatouvu qui étaient dedans. D'ailleurs, j'ai pensé qu'ils étaient venus voir le transformateur électrique avec Pépère, car il démarrait de derrière intermarcher quand ils sont arrivés.
- Ça, c'est bizarre, car le général Picolle était en ligne avec le Pape il y a cinq minutes de ça. Il voulait parler au président. Le père Mike est parti le chercher à la brasserie du cul roux.
Vite, allons voir du côté d'énarpilode et voir ce que trifouille le puissant Aketok.
- Mais j'y pense, nous n'avons pas d'électricité nous autres.
- Si, Fripouille, moi, j'en ai grâce à un puissant onduleur.
Les trois chats disparurent dans la maison.
En fait, Isidore avait raison, le général Picolle était toujours à l'épicerie. La pauvre commerçante s'était trouvé mal devant son cousin le brigadier Tatouvu. Elle avait été victime d'une hallucination. Son cousin s'était d'un seul coup transformé en général Picolle et il récitait un horrible poème. D'un seul coup, ses dents s'étaient mises à pousser et il s'était écrié, miam miam, la bonne rouquine.
Il appela le président à Sancoins.
Le brigadier était au chevet de sa cousine sans trop ne savoir quoi faire.
Le président était arrivé en vitesse au canal et le pape lui passa son téléphone.
- Tenez, c'est le fou, le militaire d'opéra.
- Allô, ici Picolle, mon maréchal Bleu, j'ai besoin de vos compétences en soin.
Le président, se demandait bien ce que lui voulait le général. En plus de ça, il se demandait bien où il était et qui était blessé.
- Mais que se passe-t-il, qui est blessé ?
- La vilaine de l'épicerie à Mornay, elle a fait un malaise.
- Mais que faites vous là-bas ?
- Hé bien, nous faisions des contrôles avec le brigadier Tatouvu et nous sommes revenus voir sa cousine pour nous restaurer avant de rentrer et un chat a démoli la rôtissoire.
- C'est pour ça qu'elle s'en fut trouvé mal, je ne comprends pas.
- Pas du tout mon bon bleu, je lisais, Soldat magazine et Rêve d'obus ce sont mes lectures.
Elle était vers son cousin et s'est écroulée d'un seul coup.
- Oui, c'est ennuyeux, quand on pense que j'étais à Mornay il y a peine vingt minutes.
- Oui, ça me fait un beau képi tout ça, mais qu'est-ce que je fais pour la vilaine. Sauriez-vous lui faire du bouche à bouche ?
- Mais de qui parlez-vous, du laideron avec les cheveux brûlés ?
- Oui, elle s'est évanouie devant son cousin, je vous le répète.
- Mais comment se fait-il qu'elle se soit évanouie, se serait-elle vu dans un miroir ?
- Non, mon maréchal bleu, elle était devant son cousin, vous êtes sourd ma parole.
Alors, pouvez-vous venir lui faire du bouche à bouche
- Écoutez, j'ai des symptômes qui peuvent laisser penser que j'aurais le cacao minus, cela ne serait pas raisonnable. Jeter lui un seau d'eau sur le visage, elle reviendra à elle.
Le président venait de l'échapper belle de retourner à Mornay.
Le général prit un seau mis de l'eau dedans et le jeta au visage de la femme qui revint à elle.
Elle se leva d'un bond, furax, et le général Picolle se fit mettre à la porte sans ménagement.
- Sortez d'ici malappris, vous allez voir espèce de brute épaisse, si je vais me laisser faire.
Le général sortit avec précipitation et s'en fit sa propre opinion.
- Cette femme est folle de moi, c'est évident. La fierté lui interdit de m'avouer que son évanouissement est une déclaration d'amour.
Le brigadier Tatouvu sortit à ce moment-là.
- Tout de même, vous auriez pu faire attention, j'étais à côté d'elle et je suis aussi mouillé qu'elle à présent, c'est malin, qui a eu cette idée stupide.
- Le président bleu mon bon brigadier Tatouvu.
Un peu plus haut derrière le bois le Pépère était toujours devant Lucie en train de fanfaronner.
Cookie qui était excédé avait fini par se boucher les oreilles avec de la paille.
- Mais dit moi mon méga love Pépère, qu'est ce que c'est que ce croupion, qu'a-t-il de spécial. Pourquoi Fripouillet, te l'a-t-il offert ?
- Hé bien, voilà ce croupion et cette ficelle sont signés, Nichat Ricci, elles font partie de la collection de prestige de mon parfum, gras de poulet.
- Oui, hii, mais qu'est-ce que ça fait ?
- Hé bien, Lucie, c'est en fait un micro émetteur récepteur pour chatgent secret. Quiconque porte ce parfum, gras de poulet, peut grâce aux fréquences qu'il émane recevoir mes pensées et moi aussi. Ainsi, si tous mes chatsgents porte ce parfum, je peux communiquer avec eux de n'importe où. Je pense offrir ce somptueux parfum à ma love maîtresse.
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GABY73

Maître Poète
#2
À Sancoins, Fripouille avait disparu de la rue devant la Dacia qui était face à lui. Il se retrouva directement devant chez Isidore où l'attendait Elchaponne.
- Chat alors, comment as-tu fait cette prouesse ?
- Hé bien, Elchaponne, c'est un coup de magie de la fée chouânne.
Fripouille expliqua sommairement l'histoire et Elchaponne n'en revenait pas.
Au même moment, Isidore arrivait juste en face d'eux de l'autre côté de la route. Il se mit à traverser avec prudence et d'un seul coup la Dacia de gendarmerie surgit comme par magie.
- Attention, Isidore, la voitu...
- Vite, dépêchons nous, nous tout seul.
- Hé bien, tu l'as échappé belle mon copain. Mais d'où arrivait cette auto de gendarme. J'ai eu l'impression qu'elle ait apparu comme par magie pour t'écraser. C'est bizarre, je n'ai reconnu aucun des gendarmes dedans.
- Tu l'as dit, Elchaponne, d'autant plus bizarre que la même voiture était dans la rue devant moi. Je l'ai parfaitement reconnue, car le pare-brise est fendu et c'était la même, j'en suis sûr. Mais ce n'étaient pas les mêmes occupants.
- Ha, bon, tu es sûr, Fripouille ?
- Oui, j'en suis certain, c'était le général Picolle et le brigadier Tatouvu qui étaient dedans. D'ailleurs, j'ai pensé qu'ils étaient venus voir le transformateur électrique avec Pépère, car il démarrait de derrière intermarcher quand ils sont arrivés.
- Ça, c'est bizarre, car le général Picolle était en ligne avec le Pape il y a cinq minutes de ça. Il voulait parler au président. Le père Mike est parti le chercher à la brasserie du cul roux.
Vite, allons voir du côté d'énarpilode et voir ce que trifouille le puissant Aketok.
- Mais j'y pense, nous n'avons pas d'électricité nous autres.
- Si, Fripouille, moi, j'en ai grâce à un puissant onduleur.
Les trois chats disparurent dans la maison.
En fait, Isidore avait raison, le général Picolle était toujours à l'épicerie. La pauvre commerçante s'était trouvé mal devant son cousin le brigadier Tatouvu. Elle avait été victime d'une hallucination. Son cousin s'était d'un seul coup transformé en général Picolle et il récitait un horrible poème. D'un seul coup, ses dents s'étaient mises à pousser et il s'était écrié, miam miam, la bonne rouquine.
Il appela le président à Sancoins.
Le brigadier était au chevet de sa cousine sans trop ne savoir quoi faire.
Le président était arrivé en vitesse au canal et le pape lui passa son téléphone.
- Tenez, c'est le fou, le militaire d'opéra.
- Allô, ici Picolle, mon maréchal Bleu, j'ai besoin de vos compétences en soin.
Le président, se demandait bien ce que lui voulait le général. En plus de ça, il se demandait bien où il était et qui était blessé.
- Mais que se passe-t-il, qui est blessé ?
- La vilaine de l'épicerie à Mornay, elle a fait un malaise.
- Mais que faites vous là-bas ?
- Hé bien, nous faisions des contrôles avec le brigadier Tatouvu et nous sommes revenus voir sa cousine pour nous restaurer avant de rentrer et un chat a démoli la rôtissoire.
- C'est pour ça qu'elle s'en fut trouvé mal, je ne comprends pas.
- Pas du tout mon bon bleu, je lisais, Soldat magazine et Rêve d'obus ce sont mes lectures.
Elle était vers son cousin et s'est écroulée d'un seul coup.
- Oui, c'est ennuyeux, quand on pense que j'étais à Mornay il y a peine vingt minutes.
- Oui, ça me fait un beau képi tout ça, mais qu'est-ce que je fais pour la vilaine. Sauriez-vous lui faire du bouche à bouche ?
- Mais de qui parlez-vous, du laideron avec les cheveux brûlés ?
- Oui, elle s'est évanouie devant son cousin, je vous le répète.
- Mais comment se fait-il qu'elle se soit évanouie, se serait-elle vu dans un miroir ?
- Non, mon maréchal bleu, elle était devant son cousin, vous êtes sourd ma parole.
Alors, pouvez-vous venir lui faire du bouche à bouche
- Écoutez, j'ai des symptômes qui peuvent laisser penser que j'aurais le cacao minus, cela ne serait pas raisonnable. Jeter lui un seau d'eau sur le visage, elle reviendra à elle.
Le président venait de l'échapper belle de retourner à Mornay.
Le général prit un seau mis de l'eau dedans et le jeta au visage de la femme qui revint à elle.
Elle se leva d'un bond, furax, et le général Picolle se fit mettre à la porte sans ménagement.
- Sortez d'ici malappris, vous allez voir espèce de brute épaisse, si je vais me laisser faire.
Le général sortit avec précipitation et s'en fit sa propre opinion.
- Cette femme est folle de moi, c'est évident. La fierté lui interdit de m'avouer que son évanouissement est une déclaration d'amour.
Le brigadier Tatouvu sortit à ce moment-là.
- Tout de même, vous auriez pu faire attention, j'étais à côté d'elle et je suis aussi mouillé qu'elle à présent, c'est malin, qui a eu cette idée stupide.
- Le président bleu mon bon brigadier Tatouvu.
Un peu plus haut derrière le bois le Pépère était toujours devant Lucie en train de fanfaronner.
Cookie qui était excédé avait fini par se boucher les oreilles avec de la paille.
- Mais dit moi mon méga love Pépère, qu'est ce que c'est que ce croupion, qu'a-t-il de spécial. Pourquoi Fripouillet, te l'a-t-il offert ?
- Hé bien, voilà ce croupion et cette ficelle sont signés, Nichat Ricci, elles font partie de la collection de prestige de mon parfum, gras de poulet.
- Oui, hii, mais qu'est-ce que ça fait ?
- Hé bien, Lucie, c'est en fait un micro émetteur récepteur pour chatgent secret. Quiconque porte ce parfum, gras de poulet, peut grâce aux fréquences qu'il émane recevoir mes pensées et moi aussi. Ainsi, si tous mes chatsgents porte ce parfum, je peux communiquer avec eux de n'importe où. Je pense offrir ce somptueux parfum à ma love maîtresse.
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Sympa ce nouvel episode
Merci Dzniel
Amicalement
Gaby