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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Dans le bois à la sortie de Mornay, sœur Mathilde, Grisou et Petitmimi étaient stupéfaits de ce qu'Isidore avait découvert.
L'idée de Petitmimi était géniale et il fallait en parler à Pépère. Pour l'instant, chacun devait faire comme s'il n'était informé de rien. Il n'était pas question de prendre des risques.
Le barbecue n'était pas loin et il fallait attendre la fin de la remise des médailles avant d'entreprendre quoi que ce soit.
Sœur Mathilde priait déjà et se demandait comment...
- Arf arf arf, stop, ça ne va pas.
- Pépère, que se passe-t-il, tu es essoufflé ?
- Pépère n'est jamais essoufflé, soûlard, est-ce je te demande si tu as soif. C'est le morceau de titane de mon cœur qui me gêne.
- Oui, mais que se passe-t-il.
- Tais-toi et laisse parler ton chat.
- Mais j'écris ton...
- Stop, bol de graisse pour obèse anorexique de la langue du pied des amygdales.
Amis lecteurs, laisser moi vous raconter pourquoi je suis dans cet état. Hier, la journée fut sous le signe des désillusions.
Si vous vous souvenez, je devais...
Et toi là-bas, pose ce verre de vin et écoute ce que raconte ton chat plutôt que de t'ivrogner le jarret à grands coups de molécules de plutonium.
- C'est un café et...
- Tais-toi, et le respect dû à ton chat, soûlard.
Donc, je reprends, amis lecteurs, laisser moi vous raconter pourquoi je suis dans cet état. Hier, la journée fut sous le signe des désillusions.
Si vous vous souvenez, je devais passer chez love soutane pour déguster Henri avec elle.
Donc après que mon soûlard m'ait écrit, je suis reparti à patte de Nevers, car mes amis étaient dans l'hélicoptère. Oui, c'était censé être un Henri d'un kilo. Comme ce n'est pas beaucoup pour une réserve d'intelligence comme Pépère, je me suis dit, arrête le temps avec ta magie et vas-y à patte. Puis hier, je n'étais pas très disposé à faire une moyenne compensée. Donc, je suis reparti par un raccourci que moi seul connais. Arrivé à Mornay, j'avais un peu soif, mais l'infâme gouga ne m'ouvrit pas sa porte. Il était en train de se buriner les tympans à grands coups de musique symphonique. Sans doute pour compléter son plaisir de siphonner du vin en même temps. La seule personne que je vis fut Léon le frelon sous le hangar. Ne parlant pas le dialecte chinois qu'il pratique, malgré mes quarante licences en langues étrangères, j'abandonnais l'idée de négocier avec lui pour aller fouiller sur les étagères récupérer quelques denrées alimentaires pour avoir la force de continuer.
Je pris donc la résolution de reprendre mon chemin en direction de love messe avec pour seul compagnon mon désespoir dans mon baluchon.
Arrivé dans les bois, les arbres se mirent à trembler et je me retrouvais sous un déluge de feuilles. Et c'est graissant des tas de feuilles de trente mètres de haut que je continuais ma route sous un cagnard de soixante-dix degrés sans eau ni victuailles.
Enfin à Sancoins en passant derrière intermarcher je vis la siamoise à Fripouille et lui demandait ce qui s'était passé. Oui, plus un arbre n'avait pas de feuilles sur la tête. Je ne sais pas, qu'elle me répondit, un mini tremblement de terre sous la gendarmerie.
Là, j'ai commencé à m'inquiéter, car je devinais la suite.
Arrivé chez love maîtresse, je vis que la porte était fissurée. Là, je compris la raison du tremblement de terre localisé sous la gendarmerie. Ses grandes dents avaient dû avoir raison de Henri et je n'aurais rien, moi seul.
Je sonnais et là, la déception l'entrée me fut interdite sous prétexte que j'étais sale. Tout ça par sa faute, si ses grandes dents n'avaient pas fait trembler la forêt, je n'aurais pas reçu des tonnes de feuilles sur le museau.
Tu as besoin d'être lavé crapouillot qu'elle me lança.
Je lui répondis, compte la dessus.
Mais elle est rusée et me proposait un bisou sur mes grosses joues. Je n'ai rien vu venir, elle m'a aveuglé d'un coup de souffle et je me retrouvais dans la baignoire nettoyé à l'eau glacée sous prétexte de me décongestionner les yeux.
J'étais au bout de ce que je pensais être une laisse. En fait, c'était la ficelle de Henri et elle me la donnait en me disant, tient, garde la en souvenir de ton premier bain depuis que tu es né. J'étais extrêmement vexé. Puis le soûlard appela. Sous son hangar, il avait entreposé des sacs d'orge pour fabriquer de la bière. Mon amie Cookie, passant par là, fut attirée par l'odeur.
Malheur pour elle, Léon le frelon qui gardait l'endroit la piqua.
Et c'est Pépère qui fut obligé de la soigner, grâce à ses compétences médicales.
Le soûlard avait peur qu'elle ne soit piqué de nouveau alors plutôt que de m'offrir à manger, il eut l'idée de me faire tricoter un pull en kevlar pour mon amie.
René en main, il m'annonçait, quand tu auras fini, tu en auras la moitié.
J'y ai cru et la désillusion fut à la hauteur de mes espérances.
Je n'ai eu que la moitié des os. Oui, une chance, il ne les avait pas encore finis. Je me suis servi de la ficelle de Henri pour lui entraver les pieds. J'étais chat mort de rire. Il s'est levé pour chercher du vin et à la première enjambée la jambe bionique est resté sur place. Sur une seule jambe, il vacillait et d'un coup de queue, je l'ai aidé à tomber, chat chat chat, j'étais vengé.
Voilà ce qui m'est arrivé, alors aujourd'hui, c'est maillot de bain zèbre et direction la plage. Détente au bord de l'eau avec, Hervé le Harnais.

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GABY73

Maître Poète
#2
Dans le bois à la sortie de Mornay, sœur Mathilde, Grisou et Petitmimi étaient stupéfaits de ce qu'Isidore avait découvert.
L'idée de Petitmimi était géniale et il fallait en parler à Pépère. Pour l'instant, chacun devait faire comme s'il n'était informé de rien. Il n'était pas question de prendre des risques.
Le barbecue n'était pas loin et il fallait attendre la fin de la remise des médailles avant d'entreprendre quoi que ce soit.
Sœur Mathilde priait déjà et se demandait comment...
- Arf arf arf, stop, ça ne va pas.
- Pépère, que se passe-t-il, tu es essoufflé ?
- Pépère n'est jamais essoufflé, soûlard, est-ce je te demande si tu as soif. C'est le morceau de titane de mon cœur qui me gêne.
- Oui, mais que se passe-t-il.
- Tais-toi et laisse parler ton chat.
- Mais j'écris ton...
- Stop, bol de graisse pour obèse anorexique de la langue du pied des amygdales.
Amis lecteurs, laisser moi vous raconter pourquoi je suis dans cet état. Hier, la journée fut sous le signe des désillusions.
Si vous vous souvenez, je devais...
Et toi là-bas, pose ce verre de vin et écoute ce que raconte ton chat plutôt que de t'ivrogner le jarret à grands coups de molécules de plutonium.
- C'est un café et...
- Tais-toi, et le respect dû à ton chat, soûlard.
Donc, je reprends, amis lecteurs, laisser moi vous raconter pourquoi je suis dans cet état. Hier, la journée fut sous le signe des désillusions.
Si vous vous souvenez, je devais passer chez love soutane pour déguster Henri avec elle.
Donc après que mon soûlard m'ait écrit, je suis reparti à patte de Nevers, car mes amis étaient dans l'hélicoptère. Oui, c'était censé être un Henri d'un kilo. Comme ce n'est pas beaucoup pour une réserve d'intelligence comme Pépère, je me suis dit, arrête le temps avec ta magie et vas-y à patte. Puis hier, je n'étais pas très disposé à faire une moyenne compensée. Donc, je suis reparti par un raccourci que moi seul connais. Arrivé à Mornay, j'avais un peu soif, mais l'infâme gouga ne m'ouvrit pas sa porte. Il était en train de se buriner les tympans à grands coups de musique symphonique. Sans doute pour compléter son plaisir de siphonner du vin en même temps. La seule personne que je vis fut Léon le frelon sous le hangar. Ne parlant pas le dialecte chinois qu'il pratique, malgré mes quarante licences en langues étrangères, j'abandonnais l'idée de négocier avec lui pour aller fouiller sur les étagères récupérer quelques denrées alimentaires pour avoir la force de continuer.
Je pris donc la résolution de reprendre mon chemin en direction de love messe avec pour seul compagnon mon désespoir dans mon baluchon.
Arrivé dans les bois, les arbres se mirent à trembler et je me retrouvais sous un déluge de feuilles. Et c'est graissant des tas de feuilles de trente mètres de haut que je continuais ma route sous un cagnard de soixante-dix degrés sans eau ni victuailles.
Enfin à Sancoins en passant derrière intermarcher je vis la siamoise à Fripouille et lui demandait ce qui s'était passé. Oui, plus un arbre n'avait pas de feuilles sur la tête. Je ne sais pas, qu'elle me répondit, un mini tremblement de terre sous la gendarmerie.
Là, j'ai commencé à m'inquiéter, car je devinais la suite.
Arrivé chez love maîtresse, je vis que la porte était fissurée. Là, je compris la raison du tremblement de terre localisé sous la gendarmerie. Ses grandes dents avaient dû avoir raison de Henri et je n'aurais rien, moi seul.
Je sonnais et là, la déception l'entrée me fut interdite sous prétexte que j'étais sale. Tout ça par sa faute, si ses grandes dents n'avaient pas fait trembler la forêt, je n'aurais pas reçu des tonnes de feuilles sur le museau.
Tu as besoin d'être lavé crapouillot qu'elle me lança.
Je lui répondis, compte la dessus.
Mais elle est rusée et me proposait un bisou sur mes grosses joues. Je n'ai rien vu venir, elle m'a aveuglé d'un coup de souffle et je me retrouvais dans la baignoire nettoyé à l'eau glacée sous prétexte de me décongestionner les yeux.
J'étais au bout de ce que je pensais être une laisse. En fait, c'était la ficelle de Henri et elle me la donnait en me disant, tient, garde la en souvenir de ton premier bain depuis que tu es né. J'étais extrêmement vexé. Puis le soûlard appela. Sous son hangar, il avait entreposé des sacs d'orge pour fabriquer de la bière. Mon amie Cookie, passant par là, fut attirée par l'odeur.
Malheur pour elle, Léon le frelon qui gardait l'endroit la piqua.
Et c'est Pépère qui fut obligé de la soigner, grâce à ses compétences médicales.
Le soûlard avait peur qu'elle ne soit piqué de nouveau alors plutôt que de m'offrir à manger, il eut l'idée de me faire tricoter un pull en kevlar pour mon amie.
René en main, il m'annonçait, quand tu auras fini, tu en auras la moitié.
J'y ai cru et la désillusion fut à la hauteur de mes espérances.
Je n'ai eu que la moitié des os. Oui, une chance, il ne les avait pas encore finis. Je me suis servi de la ficelle de Henri pour lui entraver les pieds. J'étais chat mort de rire. Il s'est levé pour chercher du vin et à la première enjambée la jambe bionique est resté sur place. Sur une seule jambe, il vacillait et d'un coup de queue, je l'ai aidé à tomber, chat chat chat, j'étais vengé.
Voilà ce qui m'est arrivé, alors aujourd'hui, c'est maillot de bain zèbre et direction la plage. Détente au bord de l'eau avec, Hervé le Harnais.

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Ha ha le Pépère 40 licences en langues
Merci Daniel
Amicalement
Gaby