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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Mimine n'était pas déçu d'avoir posé sa question. Elle se disait, hé bien, c'est une sacré bande de mythomanes l'équipe du Pépère.
- Pépère, tu ne dis rien, c'est bizarre. Alors tes chatgents secrets sont plus forts que toi, chat chat chat.
- Hé bien, Mimine, c'est que touts ces exploits ne sont rien à côté des milliers de missions tout aussi périlleuses que j'ai faites.
Il te faut savoir que je suis le premier chat sur la lune.
- Toi Pépère, le premier sur la lune, c'est incroyable.
- Oui, Toutblanc, je sais, mais n'est pas Pépère qui veut. En parlant de voler moi, j'ai traversé la France en mobylette en roulant sur les nuages. Alors mes copains, ce n'est pas une aventure ça.
- Ha bon, pourquoi en mobylette, ça n'aurait pas été mieux en hélicoptère ?
Chat chat chat, tu es incroyable Pépère.
- Merci, Mimine enfin, tu reconnais mes talents. Dommage, je ne suis plus chatlibataire.
- Mais comment as-tu fait, c'est très étonnant mon frérot.
- Hé bien, Chatdore, laissez moi vous raconter cette banale aventure. Tout à commencé après les aurores boréales au-dessus de la commune.
- Des aurores boréales à Mornay, c'est purement incroyable.
- Non, Toutblanc, c'était après avoir fait une bouteille fusée, donc...
- Excuse-moi Pépère, mais une bouteille fusée, des aurores boréales à Mornay, je suis sidéré. Explique-toi, c'est difficile de te suivre.
- C'est simple, mon frérot, c'est à cause des gouttières et des bidons.
- C'est de plus en plus mystérieux.
- pas du tout, mimine, sache que mon ciseau à brique pour verrues de l'oreille du nez de l'orteil a déposé un brevet de pluie vinassée figure-toi.
- Ha, bon, qu'est que c'est que ça ?
Tu es vraiment surprenante dans tes histoires vraies réelles pas fausses, chat chat chat.
Dans sa tête, ma minette se disait, hé bien, c'est pire que ce que je pensais, chat chat chat.


- Laisse-moi te raconter l'histoire et tu vas tout comprendre. Hé oui, Mimine peut-être que Momo ne te raconte pas d'histoires aussi fabuleuses que Pépère.
Voilà l'invention farfelue de mon dégarni de l'oreille du pied gauche de l'estomac du nez.
Il y a trois de cela, il y eut la canicule et ça a créé un phénomène au-dessus de la vigne nucléaire de mon bout de gras pour sumotori anorexique.
Vigne, qui je précise, a été planté taillé et cueilli par mes soins. Charrue, harnais, herse, arroseur, enjambeur, hottes, pressoirs, bouteille, bouchon de Liège et étiquettes n'ont plus aucun secret pour Pépère. Et tout ça sous un cagnard de soixante-dix degrés à l'ombre avec un dé à coudre d'eau à boire la plupart du temps.
Donc, les ceps faisaient des vapeurs qui produisaient des aurores boréales artificielles.
- C'est incroyable, je n'en reviens pas.
- Hé bien, Toutblanc madame le maire n'en revenait pas non plus lui a fait arracher.
Oui, cela représentait un danger public.
- Ha bon, quel danger, c'est n'importe quoi.
- Non, mon frérot, c'est à cause de la nationale qui passe dans la commune.
Les véhicules ralentissaient pour voir ces aurores boréales et ça faisait des bouchons. Étant donné que nous sommes dans le centre de la France, tous les échanges commerciaux passent par notre région qui est connue dans le monde entier pour son nombre d'alcooliques au mètre carré, bref. À force de ralentir les convois, le pays tournait au ralenti faute d'approvisionnement dans les temps.
Du coup, elle est venue et lui a dit en trinquant avec lui ; bon, ce vin est délicieux, mais malgré tout, il faut arracher cette vigne. J'ai reçu des ordres en haut lieu.
Du coup, la vigne fut arrachée.
Du moins, c'est Pépère avec son ami le harnais qui a fait le travail.
J'étais dégoûté quand je pensais avoir arrosé cette vigne de ma propre transpiration en la travaillant.
Lui pendant ce temps dans son gourbi eut l'idée de me faire fabriquer une rampe de lancement pour fusée.
Et ce fut sous le cagnard par soixante-dix degrés à l'ombre que je fus obligé de démonter des tanks pour en faire la base de lancement.
Je ne vous raconte pas comme je souffrais. Sous une tenue anti radiations nucléaires, j'ai dû décontaminer les chars et les démonter.
Je me disais, bizarre, car nous n'avions pas de fusée.
Je me demandais quelle nouvelle invention farfelue nous avait créé jambe de bronze médaillé d'or du bras bionique.
Trois jours plus tard, alors que je reparais l'autoradio à galène de la chalauréanne, il vint me voir. Déjà, il me reprochait d'avoir rayé ses microsillons soixante-dix-huit tours de messe. Ensuite, il m'annonçait que j'allais fabriquer un moule pour faire une bouteille géante de trente mètres de hauteur.
Je fis donc ce moule en fondant trente tonnes de douilles d'obus.
Là encore, je m'en suis vu entre les griffes brûlées, les oreilles en feu et les moustaches sous mise en plis.
Puis, il me fit fondre la moitié de ses bouteilles en verre de l'année d'avant. Ils y en avaient dix tonnes sois trois mois de consommation, bref.
Avec nous avions fait une bouteille fusée capable en s'écoulant de faire pleuvoir du vin nucléaire.
Je m'étais demandé pourquoi il m'avait fait mettre des futs sous ses gouttières, après je compris. Puis, nous envoyâmes la bouteille fusée dans l'espace, celle-ci, arrivée en altitude, se dilata et en rétrécissant fit pleuvoir du vin. Alors Mimine, tu comprends maintenant.


Donc concernant mon voyage sur les nuages...


La suite demain.

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GABY73

Maître Poète
#2
Mimine n'était pas déçu d'avoir posé sa question. Elle se disait, hé bien, c'est une sacré bande de mythomanes l'équipe du Pépère.
- Pépère, tu ne dis rien, c'est bizarre. Alors tes chatgents secrets sont plus forts que toi, chat chat chat.
- Hé bien, Mimine, c'est que touts ces exploits ne sont rien à côté des milliers de missions tout aussi périlleuses que j'ai faites.
Il te faut savoir que je suis le premier chat sur la lune.
- Toi Pépère, le premier sur la lune, c'est incroyable.
- Oui, Toutblanc, je sais, mais n'est pas Pépère qui veut. En parlant de voler moi, j'ai traversé la France en mobylette en roulant sur les nuages. Alors mes copains, ce n'est pas une aventure ça.
- Ha bon, pourquoi en mobylette, ça n'aurait pas été mieux en hélicoptère ?
Chat chat chat, tu es incroyable Pépère.
- Merci, Mimine enfin, tu reconnais mes talents. Dommage, je ne suis plus chatlibataire.
- Mais comment as-tu fait, c'est très étonnant mon frérot.
- Hé bien, Chatdore, laissez moi vous raconter cette banale aventure. Tout à commencé après les aurores boréales au-dessus de la commune.
- Des aurores boréales à Mornay, c'est purement incroyable.
- Non, Toutblanc, c'était après avoir fait une bouteille fusée, donc...
- Excuse-moi Pépère, mais une bouteille fusée, des aurores boréales à Mornay, je suis sidéré. Explique-toi, c'est difficile de te suivre.
- C'est simple, mon frérot, c'est à cause des gouttières et des bidons.
- C'est de plus en plus mystérieux.
- pas du tout, mimine, sache que mon ciseau à brique pour verrues de l'oreille du nez de l'orteil a déposé un brevet de pluie vinassée figure-toi.
- Ha, bon, qu'est que c'est que ça ?
Tu es vraiment surprenante dans tes histoires vraies réelles pas fausses, chat chat chat.
Dans sa tête, ma minette se disait, hé bien, c'est pire que ce que je pensais, chat chat chat.


- Laisse-moi te raconter l'histoire et tu vas tout comprendre. Hé oui, Mimine peut-être que Momo ne te raconte pas d'histoires aussi fabuleuses que Pépère.
Voilà l'invention farfelue de mon dégarni de l'oreille du pied gauche de l'estomac du nez.
Il y a trois de cela, il y eut la canicule et ça a créé un phénomène au-dessus de la vigne nucléaire de mon bout de gras pour sumotori anorexique.
Vigne, qui je précise, a été planté taillé et cueilli par mes soins. Charrue, harnais, herse, arroseur, enjambeur, hottes, pressoirs, bouteille, bouchon de Liège et étiquettes n'ont plus aucun secret pour Pépère. Et tout ça sous un cagnard de soixante-dix degrés à l'ombre avec un dé à coudre d'eau à boire la plupart du temps.
Donc, les ceps faisaient des vapeurs qui produisaient des aurores boréales artificielles.
- C'est incroyable, je n'en reviens pas.
- Hé bien, Toutblanc madame le maire n'en revenait pas non plus lui a fait arracher.
Oui, cela représentait un danger public.
- Ha bon, quel danger, c'est n'importe quoi.
- Non, mon frérot, c'est à cause de la nationale qui passe dans la commune.
Les véhicules ralentissaient pour voir ces aurores boréales et ça faisait des bouchons. Étant donné que nous sommes dans le centre de la France, tous les échanges commerciaux passent par notre région qui est connue dans le monde entier pour son nombre d'alcooliques au mètre carré, bref. À force de ralentir les convois, le pays tournait au ralenti faute d'approvisionnement dans les temps.
Du coup, elle est venue et lui a dit en trinquant avec lui ; bon, ce vin est délicieux, mais malgré tout, il faut arracher cette vigne. J'ai reçu des ordres en haut lieu.
Du coup, la vigne fut arrachée.
Du moins, c'est Pépère avec son ami le harnais qui a fait le travail.
J'étais dégoûté quand je pensais avoir arrosé cette vigne de ma propre transpiration en la travaillant.
Lui pendant ce temps dans son gourbi eut l'idée de me faire fabriquer une rampe de lancement pour fusée.
Et ce fut sous le cagnard par soixante-dix degrés à l'ombre que je fus obligé de démonter des tanks pour en faire la base de lancement.
Je ne vous raconte pas comme je souffrais. Sous une tenue anti radiations nucléaires, j'ai dû décontaminer les chars et les démonter.
Je me disais, bizarre, car nous n'avions pas de fusée.
Je me demandais quelle nouvelle invention farfelue nous avait créé jambe de bronze médaillé d'or du bras bionique.
Trois jours plus tard, alors que je reparais l'autoradio à galène de la chalauréanne, il vint me voir. Déjà, il me reprochait d'avoir rayé ses microsillons soixante-dix-huit tours de messe. Ensuite, il m'annonçait que j'allais fabriquer un moule pour faire une bouteille géante de trente mètres de hauteur.
Je fis donc ce moule en fondant trente tonnes de douilles d'obus.
Là encore, je m'en suis vu entre les griffes brûlées, les oreilles en feu et les moustaches sous mise en plis.
Puis, il me fit fondre la moitié de ses bouteilles en verre de l'année d'avant. Ils y en avaient dix tonnes sois trois mois de consommation, bref.
Avec nous avions fait une bouteille fusée capable en s'écoulant de faire pleuvoir du vin nucléaire.
Je m'étais demandé pourquoi il m'avait fait mettre des futs sous ses gouttières, après je compris. Puis, nous envoyâmes la bouteille fusée dans l'espace, celle-ci, arrivée en altitude, se dilata et en rétrécissant fit pleuvoir du vin. Alors Mimine, tu comprends maintenant.


Donc concernant mon voyage sur les nuages...


La suite demain.

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Qu'elle aventure.....
Vraiment apprécié ma lecture
Amicalement
Gaby