Le brigadier vit le scooter filer à toute allure. Le général, lui, ne voyait que l'épicière et il était troublé.
La femme se pinçait le nez et rentra dans sa boutique.
- Mais que se passe-t-il chez ma cousine ?
Qu'est-ce que c'est que cette odeur, un putois, c'est arrêté ici faire ses provisions ce n'est pas possible.
Alors général, vous arrivez, que faites vous à rêver.
- Hé bien, brigadier, c'est votre cousine qui me met sans dessus dessous.
Elle est splendide comme la flamme qui sort du canon. Sa chevelure a l'aspect saumure du champignon nucléaire qui vient de naître.
Ho ma belle colonelle, je vous imagine sous ce superbe panache d'une ogive nucléaire qui vient d'enfanter de ses radiations les rizières. Vous brave et digne ramassant deci delà les parties métalliques contaminées. Laissant vos ongles sur le sol comme si la lèpre vous dévorait. Et vous seriez l'héroïne qui aurait fait un passage pour sauver vos compagnons d'armes. Ma belle amazone et sur votre lit d'hôpital après ce rude combat, vous chanteriez le chant de la victoire. Alors même que les médecins seraient en train de vous emputer d'une jambe dévorée par les radiations nucléaire, vous seriez fière de vous écrier, vive la France. Et rejetant l'anesthésie, vous diriez amputez moi à vif qu'on n'en finisse. Allez docteur, donnez moi ma jambe de bois. Et vingt minutes plus tard, vous seriez à mes côtés le bazooka en main à combattre l'ennemi.
- Hé bien, général, je ne pense pas que ma cousine aime vivre cela.
- Détrompez-vous, brigadier, ça se lit en ses yeux, votre cousine est faites pour l'armée et combattre l'ennemi.
- Mais nous sommes en paix mon général.
- L'ennemi est partout, ignorant, vous oubliez que nous venons d'être attaqué.
Toutblanc pendant que Pépère arrivait vers lui, regardait les poèmes de Pépère sur son site.
- Hé bien, moi, je n'aime pas trop ses poèmes à Pépère. Une fois, il m'en a écrit un, je n'ai pas été convaincu ni subjugué.
- Tiens, il a publié le poème de Bibou.
- Bibou écrit des poèmes aussi, c'est étonnant.
- Oui, Loulou Lecurieux avait fait un article là-dessus.
- Ha, bon, de mieux en mieux, ça devait être du beau cet article. Tu t'en souviens de quand ça date ?
- Hé bien, attends, je demande à monsieur Google.
Mais c'est que Bibou était tombé chien love d'une caniche. Mais en fait, il a été abusé par un robot.
- Hé bien, je ne comprends rien.
- C'est simple Mimine, ne t'inquiète pas.
- Pour toi, Toutblanc, moi, je ne comprends pas.
- C'est qu'une chienne robot Énarpilodienne avait infiltré notre groupe près du canal. Elle surveillait Pépère. Elle a fait semblant de s'intéresser à Bibou et il était tombé, chien love. C'est pour ça qu'il lui avait écrit un poème.
Tiens, je retrouve l'article à l'instant, tu veux l'écouter avant que Pépère arrive. J'ai le temps de te le lire. Avec Pépère, tu sais, je le connais. Il a dit qu'il avait un poulet. En fait, il en a certainement deux ou trois. Il va s'arrêter en manger pour n'arriver qu'avec un seul, alors j'ai le temps de te le lire, Mimine.
- Hé bien, si tu dis avoir le temps, je t'écoute.
- Alors laisse-moi te lire l'article comme ça Mimine, tu sauras ce qu'il écrivait sur cette relation, ce renégat de Loulou.
Un poème de platine.
Oui, encore Loulou qui vous revient pour vous parler du célèbre, ex policier reconverti en chat détective pour la société chatdultaire. Le célèbre poète, Guillaume Pépère, devrait-on dire plutôt. Mais celui-ci n'aurait-il pas mieux fait de travailler pour les chiensdultaire. Nous apprenons de source sûre, que son coéquipier le célèbre Bibou est depuis quelques mois avec une caniche du nom de Iluje. C'est Fripouille qui lui a présenté la belle, étant sa voisine. Coin-coin nous a confirmé que très vite, Bibou serait tombé chienmoureux de la belle aux grands yeux.
Oui, mais voilà, il y a quelques jours, Bidou était à Paris où il a été rencontré Saturne le propre frère de Pépère qui travaille sur le virus du cacao minus. C'est lors de cette visite que Bibou à rencontré Ojiram une chienne Saint-bernard. Depuis, l'ex coéquipier de Pépère est chien love de la douce et trompe effrontément Iluje en prétextant des missions.
C'est ainsi que Bibou à écrit un texte sur cette rencontre. Texte que nous nous sommes fait prêter par sa maison d'édition " l'académichien" pour vous le présenter.
Le spleen de l'ascenseur.
Dans l'ascenseur
Je pense à toi
Tu es parti mon joli roi
Et c'est là tout mon malheur,
Loin de moi, tu fais la guerre
Et comme chaque soir
Je rentre tard
Et puis l'amour, il y en a guère,
Dans l'ascenseur,
ma saint-Bernard
Je vois mon désespoir
Que du malheur,
Tu parles Allemand
Et je suis Bibou
Et ton petit chou
Je suis charmant,
Dans l'ascenseur
Je pense à toi
Ma saint-bernard, je suis ton roi
Je suis en sueur,
Je viens du Cher
Toi de fort boyard
Ma saint-bernard
J'y crois dur comme fer
Ce n'était qu'un rêve
Il est déjà minuit
À quel ennui
La lune se lève,
Pas d'ascenseur
Pas de saint-bernard
Alors dard dard
Je suis en pleur
Elle est cramée
Aveugle Pépère
Pas de mystère
Je reste muet
J'avais rêvé
Et tu me manques
Où tu te planques
Ma belle aimée...
Charles Bibou
Voilà ce poème qui est classé poème de platine. Nous ne serions pas dire si tous ces chats et chiens vont rester dans la police. Il se peut qu'ils finissent par ouvrir un club chatliberchien.
Loulou Lecurieux pour Voichat, le seul journal qui vous relate le sensationnel de la vérité vraie de nos célèbres agents.
- Ça se voit que c'est n'importe quoi, pfff...
La femme se pinçait le nez et rentra dans sa boutique.
- Mais que se passe-t-il chez ma cousine ?
Qu'est-ce que c'est que cette odeur, un putois, c'est arrêté ici faire ses provisions ce n'est pas possible.
Alors général, vous arrivez, que faites vous à rêver.
- Hé bien, brigadier, c'est votre cousine qui me met sans dessus dessous.
Elle est splendide comme la flamme qui sort du canon. Sa chevelure a l'aspect saumure du champignon nucléaire qui vient de naître.
Ho ma belle colonelle, je vous imagine sous ce superbe panache d'une ogive nucléaire qui vient d'enfanter de ses radiations les rizières. Vous brave et digne ramassant deci delà les parties métalliques contaminées. Laissant vos ongles sur le sol comme si la lèpre vous dévorait. Et vous seriez l'héroïne qui aurait fait un passage pour sauver vos compagnons d'armes. Ma belle amazone et sur votre lit d'hôpital après ce rude combat, vous chanteriez le chant de la victoire. Alors même que les médecins seraient en train de vous emputer d'une jambe dévorée par les radiations nucléaire, vous seriez fière de vous écrier, vive la France. Et rejetant l'anesthésie, vous diriez amputez moi à vif qu'on n'en finisse. Allez docteur, donnez moi ma jambe de bois. Et vingt minutes plus tard, vous seriez à mes côtés le bazooka en main à combattre l'ennemi.
- Hé bien, général, je ne pense pas que ma cousine aime vivre cela.
- Détrompez-vous, brigadier, ça se lit en ses yeux, votre cousine est faites pour l'armée et combattre l'ennemi.
- Mais nous sommes en paix mon général.
- L'ennemi est partout, ignorant, vous oubliez que nous venons d'être attaqué.
Toutblanc pendant que Pépère arrivait vers lui, regardait les poèmes de Pépère sur son site.
- Hé bien, moi, je n'aime pas trop ses poèmes à Pépère. Une fois, il m'en a écrit un, je n'ai pas été convaincu ni subjugué.
- Tiens, il a publié le poème de Bibou.
- Bibou écrit des poèmes aussi, c'est étonnant.
- Oui, Loulou Lecurieux avait fait un article là-dessus.
- Ha, bon, de mieux en mieux, ça devait être du beau cet article. Tu t'en souviens de quand ça date ?
- Hé bien, attends, je demande à monsieur Google.
Mais c'est que Bibou était tombé chien love d'une caniche. Mais en fait, il a été abusé par un robot.
- Hé bien, je ne comprends rien.
- C'est simple Mimine, ne t'inquiète pas.
- Pour toi, Toutblanc, moi, je ne comprends pas.
- C'est qu'une chienne robot Énarpilodienne avait infiltré notre groupe près du canal. Elle surveillait Pépère. Elle a fait semblant de s'intéresser à Bibou et il était tombé, chien love. C'est pour ça qu'il lui avait écrit un poème.
Tiens, je retrouve l'article à l'instant, tu veux l'écouter avant que Pépère arrive. J'ai le temps de te le lire. Avec Pépère, tu sais, je le connais. Il a dit qu'il avait un poulet. En fait, il en a certainement deux ou trois. Il va s'arrêter en manger pour n'arriver qu'avec un seul, alors j'ai le temps de te le lire, Mimine.
- Hé bien, si tu dis avoir le temps, je t'écoute.
- Alors laisse-moi te lire l'article comme ça Mimine, tu sauras ce qu'il écrivait sur cette relation, ce renégat de Loulou.
Un poème de platine.
Oui, encore Loulou qui vous revient pour vous parler du célèbre, ex policier reconverti en chat détective pour la société chatdultaire. Le célèbre poète, Guillaume Pépère, devrait-on dire plutôt. Mais celui-ci n'aurait-il pas mieux fait de travailler pour les chiensdultaire. Nous apprenons de source sûre, que son coéquipier le célèbre Bibou est depuis quelques mois avec une caniche du nom de Iluje. C'est Fripouille qui lui a présenté la belle, étant sa voisine. Coin-coin nous a confirmé que très vite, Bibou serait tombé chienmoureux de la belle aux grands yeux.
Oui, mais voilà, il y a quelques jours, Bidou était à Paris où il a été rencontré Saturne le propre frère de Pépère qui travaille sur le virus du cacao minus. C'est lors de cette visite que Bibou à rencontré Ojiram une chienne Saint-bernard. Depuis, l'ex coéquipier de Pépère est chien love de la douce et trompe effrontément Iluje en prétextant des missions.
C'est ainsi que Bibou à écrit un texte sur cette rencontre. Texte que nous nous sommes fait prêter par sa maison d'édition " l'académichien" pour vous le présenter.
Le spleen de l'ascenseur.
Dans l'ascenseur
Je pense à toi
Tu es parti mon joli roi
Et c'est là tout mon malheur,
Loin de moi, tu fais la guerre
Et comme chaque soir
Je rentre tard
Et puis l'amour, il y en a guère,
Dans l'ascenseur,
ma saint-Bernard
Je vois mon désespoir
Que du malheur,
Tu parles Allemand
Et je suis Bibou
Et ton petit chou
Je suis charmant,
Dans l'ascenseur
Je pense à toi
Ma saint-bernard, je suis ton roi
Je suis en sueur,
Je viens du Cher
Toi de fort boyard
Ma saint-bernard
J'y crois dur comme fer
Ce n'était qu'un rêve
Il est déjà minuit
À quel ennui
La lune se lève,
Pas d'ascenseur
Pas de saint-bernard
Alors dard dard
Je suis en pleur
Elle est cramée
Aveugle Pépère
Pas de mystère
Je reste muet
J'avais rêvé
Et tu me manques
Où tu te planques
Ma belle aimée...
Charles Bibou
Voilà ce poème qui est classé poème de platine. Nous ne serions pas dire si tous ces chats et chiens vont rester dans la police. Il se peut qu'ils finissent par ouvrir un club chatliberchien.
Loulou Lecurieux pour Voichat, le seul journal qui vous relate le sensationnel de la vérité vraie de nos célèbres agents.
- Ça se voit que c'est n'importe quoi, pfff...
