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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Toublbanc était étonné de n'avoir pas vu le poète partir.
Il était content que Pépère arrive avec un poulet, car la moyenne compensée de Mimine lui était restée en travers des moustaches.
Le Pépère partit comme un fou avec son scooter et fit un dérapage à quelques mètres de l'épicerie.
Le poète était rentré dans la rôtissoire ce qui s'était passé. C'était un désastre, tous les poulets étaient au sol dans la graisse.
Il vit que l'un était resté dans la rôtissoire. Il regarda dehors par la porte d'entrée qui communiquait avec celle qui donnait sur la rue.
Il vit l'épicière occupée à regarder dans la rue.
- Hé bien, bec en zinc est occupée, la bonne aubaine. Elle ne peut pas voir qu'un poulet est resté intact dans la rôtissoire. Vite, mangeons-le de toute façon elle est capable de le jeter. Qu'est-ce, c'est qu'un poulet après tout. Quelle heure est-elle ?
Seulement onze trente, nous mangeons dans une demie heure. Alors pas d'hésitation dévorons cet encas. Une demie heure, c'est long à attendre pour manger, évitons la crise d'hypoglycémie.
Miam miam, Pépère, tu peux aller te faire cuire un jarret de mammouth, ce délicieux encas ce n'est que pour les humains. Ha ha ha, oups, gloups, ça glisse, boom badaboom,...
Mince, gloups, j'ai pété ma prothèse, je suis plein de graisse.
Le poète dans son empressement à dévorer le poulet avait failli s'étouffer et il était tombé dans la graisse.
- Stop, chat chat chat, je n'en peux plus de chat rigoler. Je suis vengé, oui, soûlard, tu comptais manger le poulet de Pépère. Voyez amis lecteurs cela prouve la maltraitance animale dont je suis la pauvre victime. Moi petite créature toute maigre des sévices de la faim que l'on m'inflige. Rendez-vous compte, la maigreur qui me tient. Le moindre coup de vent et je tremble d'être renversé. Sans compter que n'ayant pas assez de force pour marcher, je transpire abondamment et je risque la noyade à chaque pas que je fais. Et cet ignoble soûlard me donne des cailloux à manger. Sois disant pour m'alourdir pour ne pas que je m'envole. Puis c'est le prétexte pour tout manger. Oui, il a depuis un certain temps une technique infaillible. Devant la cabane, vient régulièrement, Léon le frelon. Il vient d'Asie et il est en vacances en France. Il apprend le chinois à mon brontosaure et ils mangent la tarte aux pommes ensemble. Le problème, c'est que le battement de ses ailes perturbe le morceau de titane que j'ai dans le cœur. Oui, c'est suite au sauvetage du onze septembre que j'ai cette séquelle au cœur. Donc quand Léon le frelon est là, je suis en danger de mort.
Alors, sa technique est de m'appeler, Pépère, maim miam les bonnes croquettes. Ce à quoi je lui réponds va te faire cuire un œuf de tricératops soûlard. Tes croquettes de la mère soutane, tu n'as qu'à t'en faire un clafoutis breton au cidre irakien.
Mais malgré tout, j'ai tellement faim que j'y vais.
C'est alors qu'il verse les croquettes dans le bol et s'écrie, Léon, il est de retour. Moi pauvre souffreteux voulant éviter le danger, je m'écarte et lui, il avale la gamelle.
Après, quand je reviens, il fait semblant de chercher et s'écrie, mon pauvre Pépère, j'ai oublié de t'acheter des croquettes. Mais oui, c'est ça prend moi pour une quiche, elles sont sous ton bureau. Il les mange en écrivant mon histoire, une honte. Puis, il s'en va chercher un tamis et me dit, Pépère, j'ai mal aux cervicales. Ce à quoi je lui réponds, ça t'apprendra à avoir un fut de vin à bout de bras à longueur de journée. Puis, là, je passe la terre soi-disant pour planter des légumes. Prends-moi pour un flan, soûlard, de la vigne oui !
Et c'est alors qu'il verse les cailloux dans ma gamelle comme repas. Moi par désespoir, j'en mange un ou deux. Il me dit, hé bien, Pépère, tu es si gros que tu n'as plus d'appétit. Tu t'es vu squelette ambulant que je lui rétorque. Et c'est comme ça qu'après j'entame un périple dans le village en quête de nourriture. Et je transpire tellement que les gens portent plainte pour les inondations. Voilà, ce que devrait savoir la spchat, Pépère est un chat maltraité.
Regardez ma vie, je suis obligé de voler de la nourriture pour survivre pendant que d'autres se goinfre le museau à grand coup de d'aiguille à coudre le liège à longueur de journée.
Alors là, je suis vengé, non seulement, tu es couvert de graisse, mais en plus, tu as pété ta jambe bionique, je suis chat mort de rire. Là, j'ai fait ma journée de rigolade. Plus qu'à aller m'occuper du laideron qui se demande pourquoi j'ai fait demi-tour.
Attends ma vilaine, tu vas comprendre.
Le Pépère reprit donc la direction de l'épicerie. Le poète lui faisait un vacarme épouvantable en essayant de se relever.
Le Pépère, fit des figures de style avec le scooter et l'épicière se demandait qui était ce chat capable de telles prouesses.
- Hé, là-bas, on insulte encore son chat. Occupe-toi de ton bain de graisse, grandes dents.
C'est alors qu'il se leva sur le scooter et posa une patte arrière sur la selle et l'autre sur le guidon. Il inversa les pattes avant sur le guidon. De la patte libre, il tenait sa queue en l'air. Il passa doucement vers la façade de l'épicerie et fit la mouflette.
- Voilà vilaine, crépis façon couleur d'intelligence de Pépère.
Mince, le brigadier et le général qui arrivent fuyons ce coupe gorge....

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GABY73

Maître Poète
#2
Toublbanc était étonné de n'avoir pas vu le poète partir.
Il était content que Pépère arrive avec un poulet, car la moyenne compensée de Mimine lui était restée en travers des moustaches.
Le Pépère partit comme un fou avec son scooter et fit un dérapage à quelques mètres de l'épicerie.
Le poète était rentré dans la rôtissoire ce qui s'était passé. C'était un désastre, tous les poulets étaient au sol dans la graisse.
Il vit que l'un était resté dans la rôtissoire. Il regarda dehors par la porte d'entrée qui communiquait avec celle qui donnait sur la rue.
Il vit l'épicière occupée à regarder dans la rue.
- Hé bien, bec en zinc est occupée, la bonne aubaine. Elle ne peut pas voir qu'un poulet est resté intact dans la rôtissoire. Vite, mangeons-le de toute façon elle est capable de le jeter. Qu'est-ce, c'est qu'un poulet après tout. Quelle heure est-elle ?
Seulement onze trente, nous mangeons dans une demie heure. Alors pas d'hésitation dévorons cet encas. Une demie heure, c'est long à attendre pour manger, évitons la crise d'hypoglycémie.
Miam miam, Pépère, tu peux aller te faire cuire un jarret de mammouth, ce délicieux encas ce n'est que pour les humains. Ha ha ha, oups, gloups, ça glisse, boom badaboom,...
Mince, gloups, j'ai pété ma prothèse, je suis plein de graisse.
Le poète dans son empressement à dévorer le poulet avait failli s'étouffer et il était tombé dans la graisse.
- Stop, chat chat chat, je n'en peux plus de chat rigoler. Je suis vengé, oui, soûlard, tu comptais manger le poulet de Pépère. Voyez amis lecteurs cela prouve la maltraitance animale dont je suis la pauvre victime. Moi petite créature toute maigre des sévices de la faim que l'on m'inflige. Rendez-vous compte, la maigreur qui me tient. Le moindre coup de vent et je tremble d'être renversé. Sans compter que n'ayant pas assez de force pour marcher, je transpire abondamment et je risque la noyade à chaque pas que je fais. Et cet ignoble soûlard me donne des cailloux à manger. Sois disant pour m'alourdir pour ne pas que je m'envole. Puis c'est le prétexte pour tout manger. Oui, il a depuis un certain temps une technique infaillible. Devant la cabane, vient régulièrement, Léon le frelon. Il vient d'Asie et il est en vacances en France. Il apprend le chinois à mon brontosaure et ils mangent la tarte aux pommes ensemble. Le problème, c'est que le battement de ses ailes perturbe le morceau de titane que j'ai dans le cœur. Oui, c'est suite au sauvetage du onze septembre que j'ai cette séquelle au cœur. Donc quand Léon le frelon est là, je suis en danger de mort.
Alors, sa technique est de m'appeler, Pépère, maim miam les bonnes croquettes. Ce à quoi je lui réponds va te faire cuire un œuf de tricératops soûlard. Tes croquettes de la mère soutane, tu n'as qu'à t'en faire un clafoutis breton au cidre irakien.
Mais malgré tout, j'ai tellement faim que j'y vais.
C'est alors qu'il verse les croquettes dans le bol et s'écrie, Léon, il est de retour. Moi pauvre souffreteux voulant éviter le danger, je m'écarte et lui, il avale la gamelle.
Après, quand je reviens, il fait semblant de chercher et s'écrie, mon pauvre Pépère, j'ai oublié de t'acheter des croquettes. Mais oui, c'est ça prend moi pour une quiche, elles sont sous ton bureau. Il les mange en écrivant mon histoire, une honte. Puis, il s'en va chercher un tamis et me dit, Pépère, j'ai mal aux cervicales. Ce à quoi je lui réponds, ça t'apprendra à avoir un fut de vin à bout de bras à longueur de journée. Puis, là, je passe la terre soi-disant pour planter des légumes. Prends-moi pour un flan, soûlard, de la vigne oui !
Et c'est alors qu'il verse les cailloux dans ma gamelle comme repas. Moi par désespoir, j'en mange un ou deux. Il me dit, hé bien, Pépère, tu es si gros que tu n'as plus d'appétit. Tu t'es vu squelette ambulant que je lui rétorque. Et c'est comme ça qu'après j'entame un périple dans le village en quête de nourriture. Et je transpire tellement que les gens portent plainte pour les inondations. Voilà, ce que devrait savoir la spchat, Pépère est un chat maltraité.
Regardez ma vie, je suis obligé de voler de la nourriture pour survivre pendant que d'autres se goinfre le museau à grand coup de d'aiguille à coudre le liège à longueur de journée.
Alors là, je suis vengé, non seulement, tu es couvert de graisse, mais en plus, tu as pété ta jambe bionique, je suis chat mort de rire. Là, j'ai fait ma journée de rigolade. Plus qu'à aller m'occuper du laideron qui se demande pourquoi j'ai fait demi-tour.
Attends ma vilaine, tu vas comprendre.
Le Pépère reprit donc la direction de l'épicerie. Le poète lui faisait un vacarme épouvantable en essayant de se relever.
Le Pépère, fit des figures de style avec le scooter et l'épicière se demandait qui était ce chat capable de telles prouesses.
- Hé, là-bas, on insulte encore son chat. Occupe-toi de ton bain de graisse, grandes dents.
C'est alors qu'il se leva sur le scooter et posa une patte arrière sur la selle et l'autre sur le guidon. Il inversa les pattes avant sur le guidon. De la patte libre, il tenait sa queue en l'air. Il passa doucement vers la façade de l'épicerie et fit la mouflette.
- Voilà vilaine, crépis façon couleur d'intelligence de Pépère.
Mince, le brigadier et le général qui arrivent fuyons ce coupe gorge....

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Toujours la même hâte à vous lire et un régal de lecture

Merci Daniel
Amicalement
Gaby