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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Dans le bois, enfin, le Pépère avait fait un plan.
Pour ne pas changer une bonne opération en désastre, le Pépère avait appliqué le même plan, qu'avec la soucoupe à Mornay.
À la seule différence qu'il avait missionnés Pêcheur et Coin-coin de jeter les cailloux sur le visage d'Annahoj fin d'endommager les caméras qui lui faisaient office de yeux.
Isidore avait trouvé le moyen de lui donner sa forme initiale à distance. Si bien que la chatte robot arrivé se verrai se transformer de Sybage en Annahoj. La surprise serait telle qu'elle aurait un temps d'adaptation.
C'est à ce moment que Coin-coin et Pêcheur devaient faire un jeter de cailloux.
Puis, Turbo, Momo, Lolo, Fripouille, Petitmimi et Grisou attaqueraient la chatte robot.
Pépère, Ettesion et sœur Mathilde étaient là pour la deuxième attaque afin que les autres se reposent. Chacun était muni d'un gourdin de bois et attendait en rond caché autour de l'endroit où devait surgir Annahoj. D'après Isidore, il lui restait dix minutes. Il l'avait fait aller à pied en suivant le même stratagème depuis le début. La chatte, robot écoutait les ordres du puissant Aketok sans même se douter du piège dans lequel elle était depuis le début.
Le Pépère continuait de raconter des histoires insensées à Grisou.
Les autres chats connaissaient déjà ces histoires. Momo, lui aussi les découvrait et soupirait de désespoir. Il ne savait plus quoi en penser.
- Tu crois que cette fumée rose est le fait de ça.
- Bien sûr mon loulou, il doit brûler le reste du vin nucléaire. C'est certain, après l'histoire au bord de la route, les gendarmes vont aller le voir.
- Tu crois, Pépère ?
- J'en suis sûr mon loulou, surtout quand ils verront ce qu'il écoute comme musique. Remarque, une partie des bouteilles est sauvée, car ils les ont déjà déplacées. Enfin, je les ai chargées et roulées, c'est différent.
- Ha bon, Pépère, mais ce vin nucléaire qu'est-il devenu ?
Quel rapport avec la musique ?
- C'est toute une histoire figure toi. La vinasse a été emmenée à Lourdes dans la résidence secondaire du soûlard proche de la grotte des moines.
C'est moi qui aie conduit le camion avec l'opéra tout le long de la route. Et pas n'importe quoi, un opéra où l'on boit en chantant, c'est du joli.
- Du moment que personne n'ait été intoxiqué là-bas, c'est pas plus mal, non, Pépère.
- Détrompe-toi mon loulou, deux touristes russes ont été victime d'une visagéose et que j'ai dû les opérer pour réparer les dégâts.
- Une visagéose ? C'est nouveau ça ?
- Hé bien non Grisou, c'est une maladie nucléaire comme la raisaose poilose. Cette affection produit des pousses de vignes sur le visage. Voilà, un soir, après avoir intoxiqué toute la commune de Mornay avec sa vinasse nucléaire, il décide de l'emmener à Lourdes dans sa maison de campagne.
Enfin, lui, c'était surtout mes pattes et le harnais, bref.
- Toute la commune a eu cette maladie, c'est étonnant tout de même Pépère non.
- Pas du tout, Grisou, il te faut savoir que dans la commune le vin fait légion et fait beaucoup de ravage aussi. Il a donc décidé d'en vendre aux habitants de la commune dont sur cinq cents personnes quatre cent quatre-vingt-dix-huit en boivent. C'est comme ça que toute la commune a eu la raisaose poilose. Donc, un soir, love soutane, qui l'attendait, se demandait comment se débarrasser de la vinasse. Ce fut à cet instant qu'il arrivait et qu'elle s'écriait, hé bien, mon soûlard qui arrive, il en a mis du temps pour aller à Sancoins chercher du rhum pour les crêpes.
Il descendit de sa voiture en marchant de travers et il lui dit comme ça.
Ils ne vendent que des bouteilles percées ce à quoi elle répondit, ne cherche pas, j'ai compris.
Le soir, ils prévirent donc de me faire charger la vinasse nucléaire dans un camion. Et ce fut à deux heures du matin que je fus réveillé pour le camion qu'elle avait couché sur le flanc en voulant le rentrer chez bras d'acier. Je dus donc téléphoner à mon copain le harnais. Ensuite, je chargeais les caisses, eux, ils criaient, vas-y Pépère, encore une, vas-y Pépère, encore une caisse, c'est la dernière.
Je n'en pouvais plus, car il faisait au moins soixante-sept degrés à l'extérieur. Heureusement, nous étions en pleine nuit.
- Soixante-sept degrés en pleine nuit.
- Oui, Grisou, c'était en été, mais si la température était si basse, ce fut que nous étions la nuit.
Le lendemain, mon brontosaure, édenté de la capsule, partait vers Lourdes pour emmener la vinasse nucléaire comme passager, car je conduisais à sa place. Lui, il s'occupait de la radio et de l'opéra à boire.
Love Quentin avait eu l'idée lui disant que les miracles arrivent et que le vin serait décontaminé à la grotte des moines. C'est ainsi qu'ils se sont retrouvés à vendre à deux Russes qui ont une résidence à Tarbes, sa vinasse nucléaire. Les pauvres eurent la visagéose et comme j'ai dû les opérer.
- Ah bon mon copain, les opérer ?
- Hé bien oui, grâce à mes compétences en chirurgie esthétique. Donc, j'opérais sans le savoir les célèbres frères, Tormore et Vodka Mazel Dov que je sauvais du déshonneur en leur rendant un visage normal voilà mon copain.
- Hé, c'est bien drôle d'histoire encore que je suppose est vraie réelle, pas fausse et authentiquement vraie.
Tenons garde qu'Annahoj n'arrive pas plus tôt.
- Ne t'inquiète pas, Grisou, Isidore veille aux grains.
Oui, mon copain une histoire vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité vraie qui n'est pas un faux mensonge pas vrai.

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GABY73

Maître Poète
#2
Dans le bois, enfin, le Pépère avait fait un plan.
Pour ne pas changer une bonne opération en désastre, le Pépère avait appliqué le même plan, qu'avec la soucoupe à Mornay.
À la seule différence qu'il avait missionnés Pêcheur et Coin-coin de jeter les cailloux sur le visage d'Annahoj fin d'endommager les caméras qui lui faisaient office de yeux.
Isidore avait trouvé le moyen de lui donner sa forme initiale à distance. Si bien que la chatte robot arrivé se verrai se transformer de Sybage en Annahoj. La surprise serait telle qu'elle aurait un temps d'adaptation.
C'est à ce moment que Coin-coin et Pêcheur devaient faire un jeter de cailloux.
Puis, Turbo, Momo, Lolo, Fripouille, Petitmimi et Grisou attaqueraient la chatte robot.
Pépère, Ettesion et sœur Mathilde étaient là pour la deuxième attaque afin que les autres se reposent. Chacun était muni d'un gourdin de bois et attendait en rond caché autour de l'endroit où devait surgir Annahoj. D'après Isidore, il lui restait dix minutes. Il l'avait fait aller à pied en suivant le même stratagème depuis le début. La chatte, robot écoutait les ordres du puissant Aketok sans même se douter du piège dans lequel elle était depuis le début.
Le Pépère continuait de raconter des histoires insensées à Grisou.
Les autres chats connaissaient déjà ces histoires. Momo, lui aussi les découvrait et soupirait de désespoir. Il ne savait plus quoi en penser.
- Tu crois que cette fumée rose est le fait de ça.
- Bien sûr mon loulou, il doit brûler le reste du vin nucléaire. C'est certain, après l'histoire au bord de la route, les gendarmes vont aller le voir.
- Tu crois, Pépère ?
- J'en suis sûr mon loulou, surtout quand ils verront ce qu'il écoute comme musique. Remarque, une partie des bouteilles est sauvée, car ils les ont déjà déplacées. Enfin, je les ai chargées et roulées, c'est différent.
- Ha bon, Pépère, mais ce vin nucléaire qu'est-il devenu ?
Quel rapport avec la musique ?
- C'est toute une histoire figure toi. La vinasse a été emmenée à Lourdes dans la résidence secondaire du soûlard proche de la grotte des moines.
C'est moi qui aie conduit le camion avec l'opéra tout le long de la route. Et pas n'importe quoi, un opéra où l'on boit en chantant, c'est du joli.
- Du moment que personne n'ait été intoxiqué là-bas, c'est pas plus mal, non, Pépère.
- Détrompe-toi mon loulou, deux touristes russes ont été victime d'une visagéose et que j'ai dû les opérer pour réparer les dégâts.
- Une visagéose ? C'est nouveau ça ?
- Hé bien non Grisou, c'est une maladie nucléaire comme la raisaose poilose. Cette affection produit des pousses de vignes sur le visage. Voilà, un soir, après avoir intoxiqué toute la commune de Mornay avec sa vinasse nucléaire, il décide de l'emmener à Lourdes dans sa maison de campagne.
Enfin, lui, c'était surtout mes pattes et le harnais, bref.
- Toute la commune a eu cette maladie, c'est étonnant tout de même Pépère non.
- Pas du tout, Grisou, il te faut savoir que dans la commune le vin fait légion et fait beaucoup de ravage aussi. Il a donc décidé d'en vendre aux habitants de la commune dont sur cinq cents personnes quatre cent quatre-vingt-dix-huit en boivent. C'est comme ça que toute la commune a eu la raisaose poilose. Donc, un soir, love soutane, qui l'attendait, se demandait comment se débarrasser de la vinasse. Ce fut à cet instant qu'il arrivait et qu'elle s'écriait, hé bien, mon soûlard qui arrive, il en a mis du temps pour aller à Sancoins chercher du rhum pour les crêpes.
Il descendit de sa voiture en marchant de travers et il lui dit comme ça.
Ils ne vendent que des bouteilles percées ce à quoi elle répondit, ne cherche pas, j'ai compris.
Le soir, ils prévirent donc de me faire charger la vinasse nucléaire dans un camion. Et ce fut à deux heures du matin que je fus réveillé pour le camion qu'elle avait couché sur le flanc en voulant le rentrer chez bras d'acier. Je dus donc téléphoner à mon copain le harnais. Ensuite, je chargeais les caisses, eux, ils criaient, vas-y Pépère, encore une, vas-y Pépère, encore une caisse, c'est la dernière.
Je n'en pouvais plus, car il faisait au moins soixante-sept degrés à l'extérieur. Heureusement, nous étions en pleine nuit.
- Soixante-sept degrés en pleine nuit.
- Oui, Grisou, c'était en été, mais si la température était si basse, ce fut que nous étions la nuit.
Le lendemain, mon brontosaure, édenté de la capsule, partait vers Lourdes pour emmener la vinasse nucléaire comme passager, car je conduisais à sa place. Lui, il s'occupait de la radio et de l'opéra à boire.
Love Quentin avait eu l'idée lui disant que les miracles arrivent et que le vin serait décontaminé à la grotte des moines. C'est ainsi qu'ils se sont retrouvés à vendre à deux Russes qui ont une résidence à Tarbes, sa vinasse nucléaire. Les pauvres eurent la visagéose et comme j'ai dû les opérer.
- Ah bon mon copain, les opérer ?
- Hé bien oui, grâce à mes compétences en chirurgie esthétique. Donc, j'opérais sans le savoir les célèbres frères, Tormore et Vodka Mazel Dov que je sauvais du déshonneur en leur rendant un visage normal voilà mon copain.
- Hé, c'est bien drôle d'histoire encore que je suppose est vraie réelle, pas fausse et authentiquement vraie.
Tenons garde qu'Annahoj n'arrive pas plus tôt.
- Ne t'inquiète pas, Grisou, Isidore veille aux grains.
Oui, mon copain une histoire vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité vraie qui n'est pas un faux mensonge pas vrai.

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Et bien entre le vin qui brûlé et les67 degrés en pleine nuit.....
Amicalement
Gaby