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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Coin-coin lui était toujours dans les airs. Il pensait à Dranac et à sa rencontre au canal, comment il l'avait sauvé.
Il se voyait en super canard sauvé sa love gendarme poète de la même sorte. Mais ce qu'il voyait au sol était plutôt lamentable. L'héroïque brigadier Tatouvu et le général Picolle offraient un spectacle lamentable.
Les deux hommes plutôt que d'essayer de poursuivre leur attaquant, s'étaient réfugiés dans l'alcool. Ils avaient fini par retomber dans le fossé plein de boue. Après maintes reprises, ils arrivèrent à s'en extraire et le brigadier décida d'arrêter une voiture pour se faire conduire à la brigade. Le président qui était en ligne avec lui ne comprenait plus son discours. Il parlait d'épicerie, de ravitaillement et de creusé un tunnel dans un fossé. Il coupa la communication et le brigadier se mit à faire du stop complètement vacillant.
Il était furax de constater que personne ne voulut le prendre sur le bord de la route. En désespoir de cause et ayant peur de se faire remettre en place par son chef, il appela sa cousine pour venir le chercher. Il comptait se changer avant de rejoindre la brigade. Il ne pouvait donc pas appeler directement le commissariat. Personne ne voulant le prendre en stop, c'était la meilleure solution que d'appeler sa cousine.
À l'épicerie, l'ambiance était de bon ton la brave femme, rangeait son commerce et elle était heureuse de ne plus voir le Pépère rôder derrière sa boutique.
Le président était très énervé de tous ces événements. Il était toujours sur l'estrade avec le pape, le père Mike, Thomas et le professeur Ourat.
- C'est incroyable, nous sommes attaqués par des extraterrestres et notre bon brigadier Tatoubu se remplit les réserves de vin. Je suis scandalisé.
- Calmez-vous mon bon bleu premier, c'est sûrement sœur Mathilde qui l'a entraîné à la boisson en croisant sa route.
- S'il vous plaît, virus premier pouvez-vous laisser cette brave femme, elle vient d'aider nos amis dans un héroïque sauvetage.
Le brigadier doit être chez sa cousine pendant que la brave nonne est toujours en mission avec nos amis. Isidore m'a expliqué ce qui se passe là-bas. Elle va leur donner la main pour affronter ce monstre qui a décapité la voiture du brigadier. Si j'étais sur place, j'aurais remplacé la brave vilaine et j'aurais remis le brigadier et le général Picolle dans le droit chemin.
- Vous faire l'épicier mon bon cordon premier, c'est amusant. J'espère que mes virus n'auraient pas été mal reçu, car vous être drôlement énervé.
- C'est amusant ça, c'est comme si moi, j'essayais de tenir une boîte de nuit. Dans ma benz benz benz, ils m'ont mis la fièvre. Vous me faire rire monsieur le président.
- Hé bien, oui, je pourrais assurer cette tâche sans difficulté, espèce de gros ventru malpoli.
- Vous, mon bon cheveu bleu, faire le marchand !
- Père Mike vous êtes vulgaire avec votre président, cela est insensée cette histoire.
- Vous pouvez parler, vous, os ventral premier, bref.
Oui, j'aurais pu faire cette tâche, car je le fis étant jeune.
- Ha, bon, c'est intéressant ça, mon bon bleu premier, et dresser des virus, savez-vous le faire.
Le président préférait ne pas répondre au professeur et d'ailleurs, Thomas lui coupa la parole pour éviter que ça dégénère.
- Hé bien, vous avez déjà fait l'épicier, Monsieur le Président.
- Oui, Thomas, pour rendre service à un copain. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert un trésor. En partie grâce à la fonction et surtout grâce à mon héroïque cheveu frontal tel Artémis sur son cheval hiiii.
- Hé bien, vous faites formidablement le cheval monsieur bleu premier.
- Merci monsieur le pape, je l'ai appris, c'est pour ça.
- Ha oui, c'est intéressant ça, comme votre histoire de trésor.
- Oui, Thomas, j'ai appris le cheval dans ma prime jeunesse. Je fis l'école vétérinaire, car cela était ma première vocation. J'abandonnais mes études en deuxième cycle suite à l'accouchement du boa que j'avais à charge de faire une césarienne. La bête était décédée durant l'intervention et je ne m'en étais jamais remis. Donc, durant cette période ayant appris toutes les langues animales, j'avais remplacé un vieil étalon agrégé es lettres pour enseigner à sa place le cheval à de jeunes poulains qui apprenait à lire et écrire. Voilà pourquoi je parle le cheval couramment. Donc, pour ce qui est de l'épicerie, laissez-moi vous expliquer cette histoire.
Un jour, j'étais parti voir un copain dont les parents tenaient une épicerie. Ceux-ci étaient absents ce jour, car il devait emmener sa sœur chez un spécialiste pour l'ablation d'un œil sur le genou. C'est une malformation très courante et largement connue. Donc, je l'aidais régulièrement grâce à mon cheveu pince dont j'étais muni à l'époque grâce à un maréchal-ferrant que j'avais rencontré quand j'enseignais le cheval. Je vous en reparlerai plus tard. Donc, j'étais à la boutique quand d'un seul coup le téléphone sonne et il répondit. Une fuite de gaz était en cours dans sa rue quelques kilomètres plus loin. Il s'en va et dans la précipitation s'accidente. Ses parents étant à l'autre bout de la France et lui à l'hôpital, j'eus la charge de l'épicerie.
Le soir même, avant de partir, il m'était arrivé une avarie.
En rangeant les produits sans le vouloir, je crevais une bouteille d'acide et je ne m'en rendis pas compte.
Je partis donc mangé tranquillement après avoir fermé la boutique.
Le lendemain, en arrivant, je vis le désastre. L'acide avait percé un trou de deux mètres de profondeur dans le sol et les produits étaient dans le trou. Je rangeais donc les produits tombés dedans et là le Graal.
Dans le sol, il y avait un trésor de quelques millions de francs. Voilà Thomas, comment je trouvais ce trésor.


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GABY73

Maître Poète
#2
Coin-coin lui était toujours dans les airs. Il pensait à Dranac et à sa rencontre au canal, comment il l'avait sauvé.
Il se voyait en super canard sauvé sa love gendarme poète de la même sorte. Mais ce qu'il voyait au sol était plutôt lamentable. L'héroïque brigadier Tatouvu et le général Picolle offraient un spectacle lamentable.
Les deux hommes plutôt que d'essayer de poursuivre leur attaquant, s'étaient réfugiés dans l'alcool. Ils avaient fini par retomber dans le fossé plein de boue. Après maintes reprises, ils arrivèrent à s'en extraire et le brigadier décida d'arrêter une voiture pour se faire conduire à la brigade. Le président qui était en ligne avec lui ne comprenait plus son discours. Il parlait d'épicerie, de ravitaillement et de creusé un tunnel dans un fossé. Il coupa la communication et le brigadier se mit à faire du stop complètement vacillant.
Il était furax de constater que personne ne voulut le prendre sur le bord de la route. En désespoir de cause et ayant peur de se faire remettre en place par son chef, il appela sa cousine pour venir le chercher. Il comptait se changer avant de rejoindre la brigade. Il ne pouvait donc pas appeler directement le commissariat. Personne ne voulant le prendre en stop, c'était la meilleure solution que d'appeler sa cousine.
À l'épicerie, l'ambiance était de bon ton la brave femme, rangeait son commerce et elle était heureuse de ne plus voir le Pépère rôder derrière sa boutique.
Le président était très énervé de tous ces événements. Il était toujours sur l'estrade avec le pape, le père Mike, Thomas et le professeur Ourat.
- C'est incroyable, nous sommes attaqués par des extraterrestres et notre bon brigadier Tatoubu se remplit les réserves de vin. Je suis scandalisé.
- Calmez-vous mon bon bleu premier, c'est sûrement sœur Mathilde qui l'a entraîné à la boisson en croisant sa route.
- S'il vous plaît, virus premier pouvez-vous laisser cette brave femme, elle vient d'aider nos amis dans un héroïque sauvetage.
Le brigadier doit être chez sa cousine pendant que la brave nonne est toujours en mission avec nos amis. Isidore m'a expliqué ce qui se passe là-bas. Elle va leur donner la main pour affronter ce monstre qui a décapité la voiture du brigadier. Si j'étais sur place, j'aurais remplacé la brave vilaine et j'aurais remis le brigadier et le général Picolle dans le droit chemin.
- Vous faire l'épicier mon bon cordon premier, c'est amusant. J'espère que mes virus n'auraient pas été mal reçu, car vous être drôlement énervé.
- C'est amusant ça, c'est comme si moi, j'essayais de tenir une boîte de nuit. Dans ma benz benz benz, ils m'ont mis la fièvre. Vous me faire rire monsieur le président.
- Hé bien, oui, je pourrais assurer cette tâche sans difficulté, espèce de gros ventru malpoli.
- Vous, mon bon cheveu bleu, faire le marchand !
- Père Mike vous êtes vulgaire avec votre président, cela est insensée cette histoire.
- Vous pouvez parler, vous, os ventral premier, bref.
Oui, j'aurais pu faire cette tâche, car je le fis étant jeune.
- Ha, bon, c'est intéressant ça, mon bon bleu premier, et dresser des virus, savez-vous le faire.
Le président préférait ne pas répondre au professeur et d'ailleurs, Thomas lui coupa la parole pour éviter que ça dégénère.
- Hé bien, vous avez déjà fait l'épicier, Monsieur le Président.
- Oui, Thomas, pour rendre service à un copain. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai découvert un trésor. En partie grâce à la fonction et surtout grâce à mon héroïque cheveu frontal tel Artémis sur son cheval hiiii.
- Hé bien, vous faites formidablement le cheval monsieur bleu premier.
- Merci monsieur le pape, je l'ai appris, c'est pour ça.
- Ha oui, c'est intéressant ça, comme votre histoire de trésor.
- Oui, Thomas, j'ai appris le cheval dans ma prime jeunesse. Je fis l'école vétérinaire, car cela était ma première vocation. J'abandonnais mes études en deuxième cycle suite à l'accouchement du boa que j'avais à charge de faire une césarienne. La bête était décédée durant l'intervention et je ne m'en étais jamais remis. Donc, durant cette période ayant appris toutes les langues animales, j'avais remplacé un vieil étalon agrégé es lettres pour enseigner à sa place le cheval à de jeunes poulains qui apprenait à lire et écrire. Voilà pourquoi je parle le cheval couramment. Donc, pour ce qui est de l'épicerie, laissez-moi vous expliquer cette histoire.
Un jour, j'étais parti voir un copain dont les parents tenaient une épicerie. Ceux-ci étaient absents ce jour, car il devait emmener sa sœur chez un spécialiste pour l'ablation d'un œil sur le genou. C'est une malformation très courante et largement connue. Donc, je l'aidais régulièrement grâce à mon cheveu pince dont j'étais muni à l'époque grâce à un maréchal-ferrant que j'avais rencontré quand j'enseignais le cheval. Je vous en reparlerai plus tard. Donc, j'étais à la boutique quand d'un seul coup le téléphone sonne et il répondit. Une fuite de gaz était en cours dans sa rue quelques kilomètres plus loin. Il s'en va et dans la précipitation s'accidente. Ses parents étant à l'autre bout de la France et lui à l'hôpital, j'eus la charge de l'épicerie.
Le soir même, avant de partir, il m'était arrivé une avarie.
En rangeant les produits sans le vouloir, je crevais une bouteille d'acide et je ne m'en rendis pas compte.
Je partis donc mangé tranquillement après avoir fermé la boutique.
Le lendemain, en arrivant, je vis le désastre. L'acide avait percé un trou de deux mètres de profondeur dans le sol et les produits étaient dans le trou. Je rangeais donc les produits tombés dedans et là le Graal.
Dans le sol, il y avait un trésor de quelques millions de francs. Voilà Thomas, comment je trouvais ce trésor.


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Il y a longtemps qu'il n'avait pas été question du cheveux frontal
Amicalement
Gaby