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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le brigadier et le général Picolle étaient furax de leur mésaventure avec le Pépère.Du coup, le brigadier voulait se venger sur le poète qui arrivait juste derrière.Le général Picolle qui était tombé dans le fossé, faisait mille efforts pour en sortir.Il se cramponnait après la veste du brigadier et le fit basculer sur lui dans le fossé.Le poète, crut voir le gendarme sur le bord de la route avant de le voir disparaître.
Le brigadier était furax, le général Picolle lui avait ôté le plaisir de se venger sur le maître de Pépère...
- Vous en avez fait une bonne, espèce d'animal, mal brossé.
Je vous signale que j'étais sur le point d'arrêter un trafiquant d'armes de destructions massives. Alors, votre bouton rouge, il ne serait plus très efficace à présent.
- Hé bien, je me suis rattrapé pour ne pas tomber. Attention, Brigadier, vous insultez votre supérieur hiérarchique. N'oubliez pas que vous parlez au général Picolle, le chef international des armées. Pour cette subordination, je pourrais vous faire mettre aux arrêts avec une peine de trente ans de bouton rouge.
- Je n'ai rien dit de mal, je dis simplement que vous m'avez fait rater mon interpellation et que je vais devoir faire un rapport en haut lieu. Ne savez-vous que ce gaillard est sur le point de posséder l'arme absolue.
Non seulement c'est un ventre sur pattes mais le bougre trafic dans l'armement autant que son chat est un triple gras-double et à une voix de fifille.
- Peut-être, que vous ferez un rapport, je n'en doute pas. Malgré tout, vous deviez secourir votre chef suprême. Je suis tombé sur ce roncier qui aurait pu être une arme. Oui, une ronce nucléaire plantée ici dans l'intention de neutraliser le général Picolle.
C'est évident que ce n'est pas la fifille qui m'aurait tiré de là.
- Une ronce nucléaire, comme l'arme absolue du gaillard ?
- Vous allez arrêter de me couper la parole. Oui, une ronce dont les épines sont des crochets de scorpion. Je devrais vous coller trente jours de chaise électrique à perpétuité, savez-vous. Mais qu'avez-vous dit, l'arme absolue, non un missile nucléaire.
Dépêchez-vous de m'aider à sortir de ce fossé, c'est moi qui vais lancer un mandat d'arrêt international contre le bougre.
Le poète lui continuait sa route en se demandant ce qui s'était passé.
- Hé bien, déjà que je vois Pépère partout. Maintenant je vois le brigadier là, où il n'y est pas. Ça doit être cette satanée douleur au pied. Je me demande quand même comment ça se fait que j'ai ramassé cet objet sur l'orteil. Et si c'était un coup de Pépère qui se serait caché sous l'étagère. Non impossible, il y a sûrement des souris et il en a peur. Et si la bête avait été là, ha, je me souviens du serpent, la trouille qu'il a eue ce jour-là.
Enfin, ce n'est pas grave, il s'en est remi le bouboule.
- Stop, ça va suffire ce florilège d'insulte envers ma personne.
Ça ne suffit pas déjà, d'avoir reçu le lien de love abbé ce matin.
- Que se passe-t-il encore, Pépère ?
- il se passe que je suis de mauvaise humeur, car love Henri m'a envoyé un lien ce matin. C'était René Monpote et elle me disait, écoute Pépère, c'est tout toi cette chanson.
- Oui et alors, qu'est-ce que c'est que cette histoire encore.
- Tais toi ivrogne et laisse parler Pépère.
Amis lecteurs, je vais vous lire les paroles du texte que j'ai reçu ce matin. C'est édifiant, et love rhum me disant c'est tout toi.
Elle m'a dit que le titre c'était, je suis graillon

Ce qui me plaît chez moi
C'est mon énorme bidon
Mes petites poignées d'amour
Oui, je suis trop mignon
Même si les autres dans la rue
Me trouvent un peu trop gras
Pour moi c'est confortable
Quand je mange un bout de gras
Je suis mignon mignon mignon mignon
Mais gros gros gros
Mignon mignon mignon mignon
Mais gros gros gros
En été je fais de l'ombre
Et en hiver je tiens chaud
Quand je finis ma chipolatas
Je vais chez cookie faire caca
J'ai de jolis petits bourrelets
Et mes moustaches sont potelées
Quand je commence à manger
Plus rien ne peut m'arrêter
Surtout si c'est du poulet
J'ai vraiment très très faim
Et j'ai envie de manger
Et rien qu'en pensant à René
Je commence à saliver
Sur Penelope l'escalope
Je t'arrête pas d'en manger.

Et non content d'avoir envoyé ça toi tu prends la relève. J'ai encore été traité des pires choses, de fifille, de bouboule, de peureux des souris.
Le pire c'est le serpent, quand je pense que c'est moi qui est terrassé ce boa, si j'avais su. Tu ne perds rien pour attendre, squeletor.

IMG_20210603_103405.jpg IMG_20210603_103443.jpg IMG_20210603_103509.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Le brigadier et le général Picolle étaient furax de leur mésaventure avec le Pépère.Du coup, le brigadier voulait se venger sur le poète qui arrivait juste derrière.Le général Picolle qui était tombé dans le fossé, faisait mille efforts pour en sortir.Il se cramponnait après la veste du brigadier et le fit basculer sur lui dans le fossé.Le poète, crut voir le gendarme sur le bord de la route avant de le voir disparaître.
Le brigadier était furax, le général Picolle lui avait ôté le plaisir de se venger sur le maître de Pépère...
- Vous en avez fait une bonne, espèce d'animal, mal brossé.
Je vous signale que j'étais sur le point d'arrêter un trafiquant d'armes de destructions massives. Alors, votre bouton rouge, il ne serait plus très efficace à présent.
- Hé bien, je me suis rattrapé pour ne pas tomber. Attention, Brigadier, vous insultez votre supérieur hiérarchique. N'oubliez pas que vous parlez au général Picolle, le chef international des armées. Pour cette subordination, je pourrais vous faire mettre aux arrêts avec une peine de trente ans de bouton rouge.
- Je n'ai rien dit de mal, je dis simplement que vous m'avez fait rater mon interpellation et que je vais devoir faire un rapport en haut lieu. Ne savez-vous que ce gaillard est sur le point de posséder l'arme absolue.
Non seulement c'est un ventre sur pattes mais le bougre trafic dans l'armement autant que son chat est un triple gras-double et à une voix de fifille.
- Peut-être, que vous ferez un rapport, je n'en doute pas. Malgré tout, vous deviez secourir votre chef suprême. Je suis tombé sur ce roncier qui aurait pu être une arme. Oui, une ronce nucléaire plantée ici dans l'intention de neutraliser le général Picolle.
C'est évident que ce n'est pas la fifille qui m'aurait tiré de là.
- Une ronce nucléaire, comme l'arme absolue du gaillard ?
- Vous allez arrêter de me couper la parole. Oui, une ronce dont les épines sont des crochets de scorpion. Je devrais vous coller trente jours de chaise électrique à perpétuité, savez-vous. Mais qu'avez-vous dit, l'arme absolue, non un missile nucléaire.
Dépêchez-vous de m'aider à sortir de ce fossé, c'est moi qui vais lancer un mandat d'arrêt international contre le bougre.
Le poète lui continuait sa route en se demandant ce qui s'était passé.
- Hé bien, déjà que je vois Pépère partout. Maintenant je vois le brigadier là, où il n'y est pas. Ça doit être cette satanée douleur au pied. Je me demande quand même comment ça se fait que j'ai ramassé cet objet sur l'orteil. Et si c'était un coup de Pépère qui se serait caché sous l'étagère. Non impossible, il y a sûrement des souris et il en a peur. Et si la bête avait été là, ha, je me souviens du serpent, la trouille qu'il a eue ce jour-là.
Enfin, ce n'est pas grave, il s'en est remi le bouboule.
- Stop, ça va suffire ce florilège d'insulte envers ma personne.
Ça ne suffit pas déjà, d'avoir reçu le lien de love abbé ce matin.
- Que se passe-t-il encore, Pépère ?
- il se passe que je suis de mauvaise humeur, car love Henri m'a envoyé un lien ce matin. C'était René Monpote et elle me disait, écoute Pépère, c'est tout toi cette chanson.
- Oui et alors, qu'est-ce que c'est que cette histoire encore.
- Tais toi ivrogne et laisse parler Pépère.
Amis lecteurs, je vais vous lire les paroles du texte que j'ai reçu ce matin. C'est édifiant, et love rhum me disant c'est tout toi.
Elle m'a dit que le titre c'était, je suis graillon

Ce qui me plaît chez moi
C'est mon énorme bidon
Mes petites poignées d'amour
Oui, je suis trop mignon
Même si les autres dans la rue
Me trouvent un peu trop gras
Pour moi c'est confortable
Quand je mange un bout de gras
Je suis mignon mignon mignon mignon
Mais gros gros gros
Mignon mignon mignon mignon
Mais gros gros gros
En été je fais de l'ombre
Et en hiver je tiens chaud
Quand je finis ma chipolatas
Je vais chez cookie faire caca
J'ai de jolis petits bourrelets
Et mes moustaches sont potelées
Quand je commence à manger
Plus rien ne peut m'arrêter
Surtout si c'est du poulet
J'ai vraiment très très faim
Et j'ai envie de manger
Et rien qu'en pensant à René
Je commence à saliver
Sur Penelope l'escalope
Je t'arrête pas d'en manger.

Et non content d'avoir envoyé ça toi tu prends la relève. J'ai encore été traité des pires choses, de fifille, de bouboule, de peureux des souris.
Le pire c'est le serpent, quand je pense que c'est moi qui est terrassé ce boa, si j'avais su. Tu ne perds rien pour attendre, squeletor.

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HI hi
Un épisode tordant
J'ai bien ri
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby