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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Pépère, le long de la console avait écouté le poème d'Ettesion avec attention.
Le passage où elle parlait de sa propreté lui avait moyennement plu, mais il n'en dit pas mot.
Sœur Mathilde aussi avait été impressionnée par le poème d'Ettesion.
- Hé bien, c'est drôlement bien écrit pour votre maîtresse ma chatte fille, elle a dû être très heureuse de ce texte.
- Ho, oui, sœur Mathilde d'ailleurs elle m'a même offert un cadeau sous forme de bisou. J'ai aussi reçu le diplôme du petit cuissot d'or pour ce somptueux poème de ma part.
- Vraiment, bravo ma fille, mais ne sais-tu pas que moi aussi, suite à mon succès du spleen de la peau de saucisse, j'en ai écrit des centaines de poèmes.
- Ha bon mon papa, tu es....
- Attends, soûlard, j'ai deux mots à dire avant que tu continues.
- C'est infernal, pourquoi reviens-tu épisode après épisode me couper sans cesse.
- Toi toi, poivrot, la faute à qui.
Petit rappel, est-ce que normalement je ne suis pas le héros de cette histoire. Pourquoi suis-je constamment brimé, humilié et insulté.
- Ça ce n'est pas vrai, car...
- Tais-toi, où je ferme la cave à clef et je jette celle-ci à la rivière. Tu pourras toujours boire de l'eau, chat chat chat.
Depuis deux trois jours, tu me fais passer pour ce que je ne suis pas. Le pire, c'est que tu te sers des autres. Il y a deux jours, tu fais dire par mon propre frère, Saturne que j'ai peur des fourmis et des vers de terres. Il n'empêche que j'ai terrassé une panthère à pattes nues pour sauver love ratatouille.
D'ailleurs la honte pour moi de ce que j'ai écouté de sa part hier.
Alors comme ça, si je suis toujours en vie, ce n'est pas un problème de dosage. Soi-disant que la graisse a fait barrage. C'est quand même gonflé de sa part à love colis d'avoir dit ça. Qui est-ce qui l'a sauvé de la panthère. Qui a eut une brûlure de la rétine au centième degré et qui a dû être greffé de la cornée.
Franchement, je suis choqué.
Et puis qu'est-ce que tu fais dire par ma fille ?
- C'est son poème, je n'y peux rien.
- Tais-toi sac à vin, je vais te rafraîchir la mémoire, car visiblement, tu as un problème avec.

Je suis la plus belle la plus fine
Petitmimi me prend pour sa cousine
Et ce soir de drame, là-bas
Momo à été pour moi un papa,


Merci de me dire que je sens bon
Autant que Pépère sent le charbon
Je t'aime ma maîtresse
Donne-moi encore des caresses.


Voilà ce que tu as écrit.
Bon d'accord, ma fille est jolie, mais elle n'égale pas son père. Nous sommes ex æquo. La plus fine peut être, mais son père aussi, car c'est mon intelligence qui enveloppe mon corps. Petitmimi n'est pas de ma famille et l'aristochat encore moins. J'aurais préféré lire que c'était moi qui l'avais sauvé.
Et là, tu enfonces le clou.
Merci de me dire que je sens bon
Autant que Pépère sent le charbon
Alors comme ça, je pue le charbon. Écoute-moi bien soûlard, à partir de ce matin le harnais est en grève.
Et pour finir...

Je t'aime ma maîtresse.
Donne-moi encore des caresses.

Autant dire que je ne suis apprécié que pour la panthère à combattre ou le harnais à porter sur le dos.
Oui, bien sûr pour ma fille des caresse et pour Pépère une brûlure de la rétine, des rogatons et les croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne.
Pour finir, je te préviens, tu as intérêt à faire en sorte que Annahoj ne fasse pas de mal à Lolo, Turbo ou Sybage et encore moins Ainos sinon je démolis ton capharnaüm à coups de moustaches.
C'est bon, tu peux continuer à condition de poser ce verre de vin et le bout de brioche qui est dans l'autre main et faire de moi un héros. Je t'ai à l'œil soûlard...
- Oui, Pépère, donc continuons.
- Oui, soûlard...
- Ha bon mon papa, tu es si célèbre que ça ?




IMG_20210517_111548.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Pépère, le long de la console avait écouté le poème d'Ettesion avec attention.
Le passage où elle parlait de sa propreté lui avait moyennement plu, mais il n'en dit pas mot.
Sœur Mathilde aussi avait été impressionnée par le poème d'Ettesion.
- Hé bien, c'est drôlement bien écrit pour votre maîtresse ma chatte fille, elle a dû être très heureuse de ce texte.
- Ho, oui, sœur Mathilde d'ailleurs elle m'a même offert un cadeau sous forme de bisou. J'ai aussi reçu le diplôme du petit cuissot d'or pour ce somptueux poème de ma part.
- Vraiment, bravo ma fille, mais ne sais-tu pas que moi aussi, suite à mon succès du spleen de la peau de saucisse, j'en ai écrit des centaines de poèmes.
- Ha bon mon papa, tu es....
- Attends, soûlard, j'ai deux mots à dire avant que tu continues.
- C'est infernal, pourquoi reviens-tu épisode après épisode me couper sans cesse.
- Toi toi, poivrot, la faute à qui.
Petit rappel, est-ce que normalement je ne suis pas le héros de cette histoire. Pourquoi suis-je constamment brimé, humilié et insulté.
- Ça ce n'est pas vrai, car...
- Tais-toi, où je ferme la cave à clef et je jette celle-ci à la rivière. Tu pourras toujours boire de l'eau, chat chat chat.
Depuis deux trois jours, tu me fais passer pour ce que je ne suis pas. Le pire, c'est que tu te sers des autres. Il y a deux jours, tu fais dire par mon propre frère, Saturne que j'ai peur des fourmis et des vers de terres. Il n'empêche que j'ai terrassé une panthère à pattes nues pour sauver love ratatouille.
D'ailleurs la honte pour moi de ce que j'ai écouté de sa part hier.
Alors comme ça, si je suis toujours en vie, ce n'est pas un problème de dosage. Soi-disant que la graisse a fait barrage. C'est quand même gonflé de sa part à love colis d'avoir dit ça. Qui est-ce qui l'a sauvé de la panthère. Qui a eut une brûlure de la rétine au centième degré et qui a dû être greffé de la cornée.
Franchement, je suis choqué.
Et puis qu'est-ce que tu fais dire par ma fille ?
- C'est son poème, je n'y peux rien.
- Tais-toi sac à vin, je vais te rafraîchir la mémoire, car visiblement, tu as un problème avec.

Je suis la plus belle la plus fine
Petitmimi me prend pour sa cousine
Et ce soir de drame, là-bas
Momo à été pour moi un papa,


Merci de me dire que je sens bon
Autant que Pépère sent le charbon
Je t'aime ma maîtresse
Donne-moi encore des caresses.


Voilà ce que tu as écrit.
Bon d'accord, ma fille est jolie, mais elle n'égale pas son père. Nous sommes ex æquo. La plus fine peut être, mais son père aussi, car c'est mon intelligence qui enveloppe mon corps. Petitmimi n'est pas de ma famille et l'aristochat encore moins. J'aurais préféré lire que c'était moi qui l'avais sauvé.
Et là, tu enfonces le clou.
Merci de me dire que je sens bon
Autant que Pépère sent le charbon
Alors comme ça, je pue le charbon. Écoute-moi bien soûlard, à partir de ce matin le harnais est en grève.
Et pour finir...

Je t'aime ma maîtresse.
Donne-moi encore des caresses.

Autant dire que je ne suis apprécié que pour la panthère à combattre ou le harnais à porter sur le dos.
Oui, bien sûr pour ma fille des caresse et pour Pépère une brûlure de la rétine, des rogatons et les croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne.
Pour finir, je te préviens, tu as intérêt à faire en sorte que Annahoj ne fasse pas de mal à Lolo, Turbo ou Sybage et encore moins Ainos sinon je démolis ton capharnaüm à coups de moustaches.
C'est bon, tu peux continuer à condition de poser ce verre de vin et le bout de brioche qui est dans l'autre main et faire de moi un héros. Je t'ai à l'œil soûlard...
- Oui, Pépère, donc continuons.
- Oui, soûlard...
- Ha bon mon papa, tu es si célèbre que ça ?




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Toujours Pépère se met en avant
Hihi
Amicalement
Gaby