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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Sancoins pendant ce temps-là, sœur Mathilde reçut un message de Pépère lui disant que Turbo, Ettesion, Fripouille, Coin-coin et Pêcheur étaient déjà là. Lui-même était avec Momo et Divine et qu'il ne manquait plus qu'elle ici.
- Stop, soûlard, tu crois t'en sortir comme ça.
- Oui, qu'est-ce que c'est ?
- Incroyable, il fait celui qui ne reconnaît plus son chat. C'est Pépère qui veux-tu que ce soit. Tu penses peut-être que c'est la tasse de vin que tu as en main qui te parle !
- Mais c'est du café.
- Mais oui bien sûr et moi, je suis le roi de Sibérie.
- Ha, ha, ha, il n'y a pas de roi en Sibérie.
- Toi toi, maraud, quelle insolence et révérence à ton chat. Ça fera une caisse de Quentin le crottin pour cette brimade à l'encontre d'un chat de mon rang. Alors c'est la fête comme ça, on donne Armand le croissant à mon frère Saturne pendant que je risque le malaise hypoglycémique dans mon hélicoptère. Ça ne te suffit pas de faire raconter des horreurs sur nous autre par l'entremise de Loulou Lecurieux.
- Mais que veux-tu à la fin.
- Laisse moi parler sinon je te confisque la bouteille le verre et les délicieux bocaux de cassoulet que je vois sur l'étagère. En plus, je confisquerais le képi de love gendarme pour rétablir la loi dans ton gourbi.
Ce qui se passe, c'est que je suis furax.
- Pourquoi qu'est-ce qu'il t'arrive ?
- Incroyable, il me coupe la parole, hé love rhum, tu ne peux pas reprendre l'histoire pour lui boucher le bec et qu'il aille à l'auberge des moines pour me laisser parler.
Que fait-il, c'est incroyable, j'attends.
- Tu attends qui, Pépère ?
- Ha, quand même, ça fait un moment que je suis là à attendre figé dans l'encre du stylo. Mais où étais-tu donc ça fait une bonne heure que j'attends courbaturé dans ce stylo.
- Hé bien, j'étais parti mangé.
- Ha oui, parti mangé, picolé oui. Enfin bref, donc, si je suis là, c'est pour te dire que je suis furax.
Que font mes petits enfants chez le torturien de Sancoins ?
- Rien, c'est une visite de contrôle.
- Une visite de contrôle. Tu te prends pour love gendarme sur le bord de la route. Un contrôle d'alcoolémie sans doute, non mais tu me prends pour Francis Çaplane.

Promets-moi si j'ai du vin
De ne pas rester à-jeun
Et si love colis boit tout
Je n'aurais plus rien du tout
Pense à moi
Comme je l'aime
Ce vin d'Arbois
Comme je l'aime...

Chat chat chat, non, tu mens, tu as été les emmener pour les faire rendre stérile.
Oui, tu veux empêcher la descendance de Pépère de faire des petits. Oui, car tu as peur qu'ils fassent vivre une lignée de chats dont l'intelligence surplace celle de tous.
Tout ça parce que tu es jaloux du grand Guillaume Pépère.
Tu t'es dit, il faut empêcher que l'extraordinaire intelligence de Pépère ne se perpétue. Sais-tu que pour ça, je pourrais porter plainte contre toi. Oui, parfaitement soûlard, et tu pourrais prendre jusqu'à cinquante ans de prison. Tu aurais dû demander à leur mère Ettesion avant d'agir.
Tu as fait ça avec fourberie, car Ettesion est occupé sur l'enquête de l'enlèvement de Fripouillet.
- Mais non Pépère, je t'assure que...
- Tais-toi, tu n'assures rien du tout, tu te prends pour la Matbu l'assureur des ivrognes, ou à la Whaff l'assurance des chiens.

C'est la whaff que je préfère, efficace pour mon Pépère, c'est la whaff que je préfére.
C'est moi qui assure ici, pas toi, soûlard.
.......................
Alors, tu reviens soûlard, que fais-tu ?
- Oui, que se passe-t-il ?
- Ce qu'il se passe, tu me demandes ce qu'il se passe. Déjà, quand tu t'adresses à moi, tu pourrais dire maître, révérence à ton chat. Bon, je ne relève pas l'affront, mais nous en reparlerons.
Çà fait une heure que tu es parti où étais-tu encore ?
- Rechercher tes petits enfants.
- Pour aller à Sancoins, il faut dix minutes, tu es parti manger des crêpes à l'auberge des moines et picoler pendant que je vivais la misère.
- Oui, je t'assure, j'étais parti chercher tes petits enfants.
-Amis lecteurs, c'est incroyable pendant que cet homme mangeait comme un gargantua à Sancoins en buvant du vin, un chat, je ne vous donne pas le nom, a vécu la misère durant une heure et demie.
Oui, étant coincé dans ce roman qui n'en finit pas, je ne savais pas ce que mon brontosaure faisait et je mourrais de faim.
C'est alors que je me dis, est-ce qu'un jour, on aura pitié de toi.
Donc de pattes décidées, j'en m'en étais parti gratter à la porte de chez sa mère avec l'espoir de manger pendant qu'il était à l'auberge.
C'est alors que sa mère sortit avec une casserole et s'écria, qu'est-ce que c'est que ce sale chat, dégage. Étant myope, elle ne m'avait pas reconnu. Je me disais, mon maître que j'aime va avoir pitié et revenir à mon aide.
Hé bien, non, et j'entendais d'ici l'écho de ses grandes dents qui mangeaient des crêpes et je dus me résoudre à repartir en prospection en quête de nourriture.
Tu m'entends, gargantua, j'ai trouvé secours et tu ne sauras pas où ça t'évitera d'y aller pour manger les gamelles des chats.
- je suis parti vingt minutes, ce n'était pas méchant, il ne faut pas exagérer Pépère.
- Tais-toi, soûlard, pas méchant alors que j'ai failli mourir de faim durant cette heure.
Ce n'est pas compliqué, mon ventre faisait tellement de bruit que madame le maire a appelé les gendarmes pour savoir ce qui se passait sur sa commune. Bien évidemment, ce fut ainsi que me retrouvant et me voyant totalement anémié vers l'épicerie de la vilaine, qu'elle m'offrit un cuisseau de porc pour me remettre.
Oui, j'avais déjà perdu trois kilos en dix minutes de marche, tellement j'étais affamé.
Je n'ai pas vu love contrôle, c'est étrange, bref.
Donc,

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GABY73

Maître Poète
#2
À Sancoins pendant ce temps-là, sœur Mathilde reçut un message de Pépère lui disant que Turbo, Ettesion, Fripouille, Coin-coin et Pêcheur étaient déjà là. Lui-même était avec Momo et Divine et qu'il ne manquait plus qu'elle ici.
- Stop, soûlard, tu crois t'en sortir comme ça.
- Oui, qu'est-ce que c'est ?
- Incroyable, il fait celui qui ne reconnaît plus son chat. C'est Pépère qui veux-tu que ce soit. Tu penses peut-être que c'est la tasse de vin que tu as en main qui te parle !
- Mais c'est du café.
- Mais oui bien sûr et moi, je suis le roi de Sibérie.
- Ha, ha, ha, il n'y a pas de roi en Sibérie.
- Toi toi, maraud, quelle insolence et révérence à ton chat. Ça fera une caisse de Quentin le crottin pour cette brimade à l'encontre d'un chat de mon rang. Alors c'est la fête comme ça, on donne Armand le croissant à mon frère Saturne pendant que je risque le malaise hypoglycémique dans mon hélicoptère. Ça ne te suffit pas de faire raconter des horreurs sur nous autre par l'entremise de Loulou Lecurieux.
- Mais que veux-tu à la fin.
- Laisse moi parler sinon je te confisque la bouteille le verre et les délicieux bocaux de cassoulet que je vois sur l'étagère. En plus, je confisquerais le képi de love gendarme pour rétablir la loi dans ton gourbi.
Ce qui se passe, c'est que je suis furax.
- Pourquoi qu'est-ce qu'il t'arrive ?
- Incroyable, il me coupe la parole, hé love rhum, tu ne peux pas reprendre l'histoire pour lui boucher le bec et qu'il aille à l'auberge des moines pour me laisser parler.
Que fait-il, c'est incroyable, j'attends.
- Tu attends qui, Pépère ?
- Ha, quand même, ça fait un moment que je suis là à attendre figé dans l'encre du stylo. Mais où étais-tu donc ça fait une bonne heure que j'attends courbaturé dans ce stylo.
- Hé bien, j'étais parti mangé.
- Ha oui, parti mangé, picolé oui. Enfin bref, donc, si je suis là, c'est pour te dire que je suis furax.
Que font mes petits enfants chez le torturien de Sancoins ?
- Rien, c'est une visite de contrôle.
- Une visite de contrôle. Tu te prends pour love gendarme sur le bord de la route. Un contrôle d'alcoolémie sans doute, non mais tu me prends pour Francis Çaplane.

Promets-moi si j'ai du vin
De ne pas rester à-jeun
Et si love colis boit tout
Je n'aurais plus rien du tout
Pense à moi
Comme je l'aime
Ce vin d'Arbois
Comme je l'aime...

Chat chat chat, non, tu mens, tu as été les emmener pour les faire rendre stérile.
Oui, tu veux empêcher la descendance de Pépère de faire des petits. Oui, car tu as peur qu'ils fassent vivre une lignée de chats dont l'intelligence surplace celle de tous.
Tout ça parce que tu es jaloux du grand Guillaume Pépère.
Tu t'es dit, il faut empêcher que l'extraordinaire intelligence de Pépère ne se perpétue. Sais-tu que pour ça, je pourrais porter plainte contre toi. Oui, parfaitement soûlard, et tu pourrais prendre jusqu'à cinquante ans de prison. Tu aurais dû demander à leur mère Ettesion avant d'agir.
Tu as fait ça avec fourberie, car Ettesion est occupé sur l'enquête de l'enlèvement de Fripouillet.
- Mais non Pépère, je t'assure que...
- Tais-toi, tu n'assures rien du tout, tu te prends pour la Matbu l'assureur des ivrognes, ou à la Whaff l'assurance des chiens.

C'est la whaff que je préfère, efficace pour mon Pépère, c'est la whaff que je préfére.
C'est moi qui assure ici, pas toi, soûlard.
.......................
Alors, tu reviens soûlard, que fais-tu ?
- Oui, que se passe-t-il ?
- Ce qu'il se passe, tu me demandes ce qu'il se passe. Déjà, quand tu t'adresses à moi, tu pourrais dire maître, révérence à ton chat. Bon, je ne relève pas l'affront, mais nous en reparlerons.
Çà fait une heure que tu es parti où étais-tu encore ?
- Rechercher tes petits enfants.
- Pour aller à Sancoins, il faut dix minutes, tu es parti manger des crêpes à l'auberge des moines et picoler pendant que je vivais la misère.
- Oui, je t'assure, j'étais parti chercher tes petits enfants.
-Amis lecteurs, c'est incroyable pendant que cet homme mangeait comme un gargantua à Sancoins en buvant du vin, un chat, je ne vous donne pas le nom, a vécu la misère durant une heure et demie.
Oui, étant coincé dans ce roman qui n'en finit pas, je ne savais pas ce que mon brontosaure faisait et je mourrais de faim.
C'est alors que je me dis, est-ce qu'un jour, on aura pitié de toi.
Donc de pattes décidées, j'en m'en étais parti gratter à la porte de chez sa mère avec l'espoir de manger pendant qu'il était à l'auberge.
C'est alors que sa mère sortit avec une casserole et s'écria, qu'est-ce que c'est que ce sale chat, dégage. Étant myope, elle ne m'avait pas reconnu. Je me disais, mon maître que j'aime va avoir pitié et revenir à mon aide.
Hé bien, non, et j'entendais d'ici l'écho de ses grandes dents qui mangeaient des crêpes et je dus me résoudre à repartir en prospection en quête de nourriture.
Tu m'entends, gargantua, j'ai trouvé secours et tu ne sauras pas où ça t'évitera d'y aller pour manger les gamelles des chats.
- je suis parti vingt minutes, ce n'était pas méchant, il ne faut pas exagérer Pépère.
- Tais-toi, soûlard, pas méchant alors que j'ai failli mourir de faim durant cette heure.
Ce n'est pas compliqué, mon ventre faisait tellement de bruit que madame le maire a appelé les gendarmes pour savoir ce qui se passait sur sa commune. Bien évidemment, ce fut ainsi que me retrouvant et me voyant totalement anémié vers l'épicerie de la vilaine, qu'elle m'offrit un cuisseau de porc pour me remettre.
Oui, j'avais déjà perdu trois kilos en dix minutes de marche, tellement j'étais affamé.
Je n'ai pas vu love contrôle, c'est étrange, bref.
Donc,

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Encore un bel épisode... Mais perdre 3kg en 10 mn. Il faut faire fort
Amicalement
Gaby