Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Sancoins, la grue était enfin là et le camion était enfin sur ses roues.
Sœur Mathilde semblait trouver cette situation tout à fait normale.
- Ça te fait rire vieille édentée de la cornette. Tu as détruit ce camion et ça te fait sourire. Je vais en parler au père Dominique de tes agissements. Tu es une pénitente, je sais ce qui s'est passé, tu avais bu vielle brebis iranienne bourrée de whisky camerounais.
- Tais toi vieux rhinocéros du pôle Sud, occupe toi plutôt de ta corne ventrale qui s'agite dès qu'un Bédouin est à côté de toi.
- Ho, la vieille guenon, elle blasphème.
- Vous y avez été un peu fort aussi mon père. C'est vrai que cette grue est amusante et ça me rappelle quelque chose.
- Ha oui, morveux bleu premier, hé bien, au moins vous la corne n'était pas ventrale, mais frontale.
- Ne répondez pas, mon bon président bleu, cette femme est médisante. Mouche toi morveux, tu as du petit-lait qui te sort du nez.
Ha, ha, vous avez été conducteur de grue, vous ?
- Hé bien, mon bon rhinocéros premier, oui, pour réparer des dégâts que j'avais faits dans mon collège. C'était suite à un cours de sport qui a mal tourné, mais ce n'était qu'une bêtise d'enfant.
- Ha oui, mon bon bleu pané du cheveu, vous dans une grue ?
- Hé bien, oui, mon bon cornu du ventre premier, écoutez donc ce récit pendant que la grue finit son œuvre.
Voilà un jour, notre professeur de sport au collège voulut nous enseigner le lancé de poids.
Je n'étais pas très bon et le poids tombait sans cesse à mes pieds. Un de mes camarades se moquait de moi. Alors, je lui ai jeté sur les pieds. Pour se venger, il me le renvoyait sur les doigts. Autant vous dire que je ne pouvais plus le tenir. Le salopard ramasse le poids et le lance à sept mètres. C'est alors que je me mis à rigoler. Le professeur était furax et me dit, c'est le meilleur de ma classe et tu te moques de lui, fait-en donc autant, morveux.
Oui, ma main était abîmée et le salopard savait que je ne pouvais plus le lancer.
De colère, je pris le lacet de mon survêtement et j'attachais le poids après.
Ce fut avec mon cheveu que je le lançais après avoir fait dix tours sur moi-même pour lui donner de l'élan. Le poids traversait un mur et continuait sa course à plus de deux cents kilomètres heures avant de rentrer en collision avec le mur du collège qui s'effondrait sous la violence du choc.
- Ha oui quand même, mais comment savez vous que le poids avait une vitesse de deux cents kilomètres à l'heure, mon bon morveux premier.
- Hé bien, mon bon gros lard premier, c'est très simple.
Dans la rue, il y avait un radar automatique et le poids avait déclenché l'appareil et la vitesse avant correction était de deux cent douze kilomètres à l'heure.
Je fis donc jouer mon assurance cheveuticale, mais il restait une part à payer par le collège. Simplement quelques milliers de francs à l'époque.
Le directeur du collège se demandait comment faire et eut l'idée de ne pas faire venir une grue pour lever les parpaings.
Il me fit convoquer dans le gymnase qui servait de collège provisoire le temps des travaux.
Bon, me disait-il, puisque ce cheveu a une force de recul extraordinaire, tu feras le levage des poids pour aider à la construction du nouveau collège.
Mais cela va me fatiguer, lui dis-je.
Écoute moi trou du c.. Qu'il me répondait si tu n'avais pas cassé ce collège, nous ne serions pas là. C'est comme ça où alors privation de cordon-bleus à la cantine pendant deux ans.
Et voilà comment, je fus obligé de faire l'homme grutier.
- Ha oui, vous êtes sacrément costaud mon bon trou du, Premier, oups, morveux premier.
Dans l'hélicoptère, Momo était outré d'un tel déballage de mensonges à son sujet.
- Diantre, le godelureau, mais où a-t-il été cherché de telles inventions. Je puis vous jurer monsieur Pépère, que je ferai punir ce saligaud sur le bûcher en la cour de mon château, c'est inadmissible.
- Oui, ça s'est sûr et ce Lolo, attend que je lui mette la patte sur le collet, ça va être sa fête.
Tiens, le chat détective parle de mon sauvetage de la ville de Lourdes du gang de King Pampers.
- Ha oui, qu'est-ce que c'est que cette histoire.
- Hé bien, Divine, laisse moi te lire cet article et tu vas tout comprendre.

La suite demain.

IMG_20210304_135812.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
À Sancoins, la grue était enfin là et le camion était enfin sur ses roues.
Sœur Mathilde semblait trouver cette situation tout à fait normale.
- Ça te fait rire vieille édentée de la cornette. Tu as détruit ce camion et ça te fait sourire. Je vais en parler au père Dominique de tes agissements. Tu es une pénitente, je sais ce qui s'est passé, tu avais bu vielle brebis iranienne bourrée de whisky camerounais.
- Tais toi vieux rhinocéros du pôle Sud, occupe toi plutôt de ta corne ventrale qui s'agite dès qu'un Bédouin est à côté de toi.
- Ho, la vieille guenon, elle blasphème.
- Vous y avez été un peu fort aussi mon père. C'est vrai que cette grue est amusante et ça me rappelle quelque chose.
- Ha oui, morveux bleu premier, hé bien, au moins vous la corne n'était pas ventrale, mais frontale.
- Ne répondez pas, mon bon président bleu, cette femme est médisante. Mouche toi morveux, tu as du petit-lait qui te sort du nez.
Ha, ha, vous avez été conducteur de grue, vous ?
- Hé bien, mon bon rhinocéros premier, oui, pour réparer des dégâts que j'avais faits dans mon collège. C'était suite à un cours de sport qui a mal tourné, mais ce n'était qu'une bêtise d'enfant.
- Ha oui, mon bon bleu pané du cheveu, vous dans une grue ?
- Hé bien, oui, mon bon cornu du ventre premier, écoutez donc ce récit pendant que la grue finit son œuvre.
Voilà un jour, notre professeur de sport au collège voulut nous enseigner le lancé de poids.
Je n'étais pas très bon et le poids tombait sans cesse à mes pieds. Un de mes camarades se moquait de moi. Alors, je lui ai jeté sur les pieds. Pour se venger, il me le renvoyait sur les doigts. Autant vous dire que je ne pouvais plus le tenir. Le salopard ramasse le poids et le lance à sept mètres. C'est alors que je me mis à rigoler. Le professeur était furax et me dit, c'est le meilleur de ma classe et tu te moques de lui, fait-en donc autant, morveux.
Oui, ma main était abîmée et le salopard savait que je ne pouvais plus le lancer.
De colère, je pris le lacet de mon survêtement et j'attachais le poids après.
Ce fut avec mon cheveu que je le lançais après avoir fait dix tours sur moi-même pour lui donner de l'élan. Le poids traversait un mur et continuait sa course à plus de deux cents kilomètres heures avant de rentrer en collision avec le mur du collège qui s'effondrait sous la violence du choc.
- Ha oui quand même, mais comment savez vous que le poids avait une vitesse de deux cents kilomètres à l'heure, mon bon morveux premier.
- Hé bien, mon bon gros lard premier, c'est très simple.
Dans la rue, il y avait un radar automatique et le poids avait déclenché l'appareil et la vitesse avant correction était de deux cent douze kilomètres à l'heure.
Je fis donc jouer mon assurance cheveuticale, mais il restait une part à payer par le collège. Simplement quelques milliers de francs à l'époque.
Le directeur du collège se demandait comment faire et eut l'idée de ne pas faire venir une grue pour lever les parpaings.
Il me fit convoquer dans le gymnase qui servait de collège provisoire le temps des travaux.
Bon, me disait-il, puisque ce cheveu a une force de recul extraordinaire, tu feras le levage des poids pour aider à la construction du nouveau collège.
Mais cela va me fatiguer, lui dis-je.
Écoute moi trou du c.. Qu'il me répondait si tu n'avais pas cassé ce collège, nous ne serions pas là. C'est comme ça où alors privation de cordon-bleus à la cantine pendant deux ans.
Et voilà comment, je fus obligé de faire l'homme grutier.
- Ha oui, vous êtes sacrément costaud mon bon trou du, Premier, oups, morveux premier.
Dans l'hélicoptère, Momo était outré d'un tel déballage de mensonges à son sujet.
- Diantre, le godelureau, mais où a-t-il été cherché de telles inventions. Je puis vous jurer monsieur Pépère, que je ferai punir ce saligaud sur le bûcher en la cour de mon château, c'est inadmissible.
- Oui, ça s'est sûr et ce Lolo, attend que je lui mette la patte sur le collet, ça va être sa fête.
Tiens, le chat détective parle de mon sauvetage de la ville de Lourdes du gang de King Pampers.
- Ha oui, qu'est-ce que c'est que cette histoire.
- Hé bien, Divine, laisse moi te lire cet article et tu vas tout comprendre.

La suite demain.

Afficher la pièce jointe 32997
Mais comment faites vous pour être si prolixe ???
Vousm'epatez...

Amicalement
Gaby