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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Dans la petite auto, Grisou qui connaissait Pépère depuis peu de temps, était toujours étonné de ses histoires.
- Hé bien, mon copain, tu es drôlement résistant, je n'en reviens pas.
- Ho, ce n'est rien Grisou, je suis un guerrier, souviens toi que j'ai terrassé une panthère à coups de moustache.
Tu ne dis plus rien Lolo, que t'arrive-t-il ?
Lolo trouvait que Pépère n'arrêtait jamais et il aurait bien aimé dormir un peu.
- Dit moi Pépère, nous pourrions nous reposer et dormir un peu avant de repartir vers Sancoins. Nous avons une longue route avec l'hélicoptère.
Et puis cette soucoupe derrière, quand est-ce que nous allons, nous en occuper ?
- Lolo, tu me déçois, dormir, alors que nous sommes en mission. Mais dis moi, tu ne serais pas un pantouflard par hasard.
- Hé bien, Saturne est toujours dans son laboratoire et si nous nous occupons de la soucoupe en rentrant nous avons peut-être le temps de dormir un peu.
- Holà, malheureux, tu oublies notre mission première.
- Oui, Lolo, le colis, nous sommes revenus pour ça non.
- Merci Grisou, enfin un agent consciencieux de ses missions. Hé bien oui, ignorant, tu ne rends pas compte que nous risquons de tous mourir de faim nous autres, si nous ne retrouvons pas ce colis. Ne sais-tu pas que c'est la misère dans le Cher. Tu crois que nous allons passer notre vie à sucer des cailloux, manger des croquettes de chiens remplies de drogue, finir les rogatons, manger de la purée d'ozone et du caca de nuage à l'azote.
Figure toi que ma love maîtresse que j'aime m'a envoyé un carton de Gaston le saucisson. Si nous n'intervenons pas mon père serpe iranienne pour vigne Népalaises vas se les dévorer. Tu n'as pas vu que tout à l'heure, il a été chez sa mère. Il n'y a pas été que pour faire des scoubidous de silex, non, il avait un fusil avec lui.
Lolo se mit à claquer des dents.
- Lolo, arête ta crise d'émotivité un fusil, c'est une sorte de lime pour affûter les couteaux. Et à ton avis pourquoi a-t-il été le chercher. Tu n'as jamais écouté l'histoire du petit chaperon rouge, oh mère grand que vos dents sont pointues. Hé bien, mon brontosaure des champs d'orge à bière bretonne va s'affûter les dents avec ce fusil. Oui, Lolo et il dira, Gaston que vous avez un joli veston, et croc, Gaston aura son avis de décès au musée de la viande.
- Je n'y avais pas pensé, c'est vrai, tu as raison Pépère.
- Oui, tu es un excellent chef, c'est évident Pépère. Je n'en reviens toujours pas, aller au combat après un arrêt de vie, c'est incroyable.
- Hé bien, oui, c'est la vérité vraie réelle et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité vraie, je m'en souviens comme de mon premier poulet. C'était l'année du réveillon belge, chat chat chat.
- Un réveillon Belge, ça c'est étonnant. Comment ça vous avez été à Namur?
- Pas du tout Grisou, laisse moi te le raconter. Lolo, tu peux écouter, au moins que tu préféreres dormir, chat chat chat.
- Non Pépère, je ne veux plus dormir, tu as raison la mission du colis avant toute chose, sinon nous mangerons des cailloux nous autres.
- Alors écoutez bien cette histoire.
Tout a commencé en août, hé bien oui, c'est étonnant, je sais. Donc mon spéléologue des magnums de champagne japonais avait décidé d'acheter une dinde vivante pour le réveillon du Noël.
La bête fut mise en liberté sur le terrain et se promenait toute la journée. Il la nourrissait avec des rogatons et les croquettes du commissariat.
C'est alors qu'un après-midi, je passe sur le terrain et je croise Firminde la dinde. Je ne lui trouvais pas bonne mine et lui dit comme ça, mais tu as une drôles de tête ma pauvre Firminde.
Hé bien, oui, je suis en pleine dépression figure toi. J'ai été voir le dindologue qui m'a envoyé voir un psydinde et je suis sous Prozac. Ha, mince, que se passe-t-il ma pauvre Firminde que je lui demande. Hé bien, Noël approche et je vais finir dans le four mon pauvre. Ha oui, mais tu sais mon nain de jardin d'Uruguay allume le feu avec des silex alors, il se peut que tu sois encore là en mars ou avril le temps que le feu soit allumé. Oui, j'essayai de lui remonter le moral comme je pouvais. C'est alors qu'elle me dit, Pépère, toi l'inventeur du frigo à serrure sécurisée inviolable et de la machine à laver qui lave le linge avec de l'eau qui sèche les vêtements, que pouvons nous faire. C'est alors que j'ai trouvé l'idée. Écoute, je vais aller trouver Raoulle la poule et lui acheter des œufs. Tous les matins, tu feras semblant d'en pondre deux. Moi, je les viderai et mettrai du vin dedans. Quand le soûlard verra que tu fais des œufs à vin, il n'aura plus envie de se séparer de toi.
C'est alors que mon dégarni de la rate du cervelet gauche fut très étonnement surpris. Bien évidemment, il était hors de question de manger Firminde. Tous les jours, il se faisait une omelette au vin et il était ravi.
C'est alors qu'un jour love gâteau lui dit, mais qu'allons nous donc faire pour Noël.
J'étais derrière la porte et me suis écrié, Pépère n'est pas comestible.
C'est alors qu'ils se mettent à boire et réfléchissent à ce fameux réveillon. D'un seul coup ma love maîtresse que j'aime lui dit et si nous faisions un réveillon belge.
Ha oui, lui dit-il, mais que nous faut-il exactement. Hé bien dit elle que Pépère nous fasse une culture de pomme de terre.
Et voilà comment en sauvant Firminde la dinde, je me retrouvais à labourer, arroser, nettoyer, ramasser, les pommes de terre sous une chaleur de quatre-vingts degrés à l'ombre.
Puis le vingt-cinq, on me fit éplucher les fameuses pommes de terre. J'en fis quarante kilos et j'en avais les pattes couvertes de gerçures. Ensuite, j'ai dû allumer un feu sur le terrain. Heureusement, entre temps, il avait jeté ses silex et acheté un briquet.
C'est alors qu'il me dit, maintenant verse le rhum dans le chaudron.
- Du rhum, je ne comprends plus rien, mon copain.
- Oui, c'était un réveillon belge avec des frites Martiniquaises, c'est-à-dire cuites dans le rhum à la place de l'huile. Et c'est comme ça que j'ai passé ma soirée à me rôtir les moustaches pour leur réveillon belge.
Ils ont ensuite bu le rhum comme du vin chaud. Ils ont fait un tel bruit que madame le maire était venu le voir. Il eut l'audace de lui dire, que c'était Pépère qui tuait des taupe avec une pelle dans le bois pour se distraire.
J'étais horrifié, mais je n'ai préféré rien dire.
- Hé bien mon copain, c'est un drôle de réveillon que tu as vécu.
- Ça, tu peux le dire Grisou, c'est sacrément étonnant.
- Oui les amis, je vous l'avais dit que c'était très étonnant.

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#2
Dans la petite auto, Grisou qui connaissait Pépère depuis peu de temps, était toujours étonné de ses histoires.
- Hé bien, mon copain, tu es drôlement résistant, je n'en reviens pas.
- Ho, ce n'est rien Grisou, je suis un guerrier, souviens toi que j'ai terrassé une panthère à coups de moustache.
Tu ne dis plus rien Lolo, que t'arrive-t-il ?
Lolo trouvait que Pépère n'arrêtait jamais et il aurait bien aimé dormir un peu.
- Dit moi Pépère, nous pourrions nous reposer et dormir un peu avant de repartir vers Sancoins. Nous avons une longue route avec l'hélicoptère.
Et puis cette soucoupe derrière, quand est-ce que nous allons, nous en occuper ?
- Lolo, tu me déçois, dormir, alors que nous sommes en mission. Mais dis moi, tu ne serais pas un pantouflard par hasard.
- Hé bien, Saturne est toujours dans son laboratoire et si nous nous occupons de la soucoupe en rentrant nous avons peut-être le temps de dormir un peu.
- Holà, malheureux, tu oublies notre mission première.
- Oui, Lolo, le colis, nous sommes revenus pour ça non.
- Merci Grisou, enfin un agent consciencieux de ses missions. Hé bien oui, ignorant, tu ne rends pas compte que nous risquons de tous mourir de faim nous autres, si nous ne retrouvons pas ce colis. Ne sais-tu pas que c'est la misère dans le Cher. Tu crois que nous allons passer notre vie à sucer des cailloux, manger des croquettes de chiens remplies de drogue, finir les rogatons, manger de la purée d'ozone et du caca de nuage à l'azote.
Figure toi que ma love maîtresse que j'aime m'a envoyé un carton de Gaston le saucisson. Si nous n'intervenons pas mon père serpe iranienne pour vigne Népalaises vas se les dévorer. Tu n'as pas vu que tout à l'heure, il a été chez sa mère. Il n'y a pas été que pour faire des scoubidous de silex, non, il avait un fusil avec lui.
Lolo se mit à claquer des dents.
- Lolo, arête ta crise d'émotivité un fusil, c'est une sorte de lime pour affûter les couteaux. Et à ton avis pourquoi a-t-il été le chercher. Tu n'as jamais écouté l'histoire du petit chaperon rouge, oh mère grand que vos dents sont pointues. Hé bien, mon brontosaure des champs d'orge à bière bretonne va s'affûter les dents avec ce fusil. Oui, Lolo et il dira, Gaston que vous avez un joli veston, et croc, Gaston aura son avis de décès au musée de la viande.
- Je n'y avais pas pensé, c'est vrai, tu as raison Pépère.
- Oui, tu es un excellent chef, c'est évident Pépère. Je n'en reviens toujours pas, aller au combat après un arrêt de vie, c'est incroyable.
- Hé bien, oui, c'est la vérité vraie réelle et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité vraie, je m'en souviens comme de mon premier poulet. C'était l'année du réveillon belge, chat chat chat.
- Un réveillon Belge, ça c'est étonnant. Comment ça vous avez été à Namur?
- Pas du tout Grisou, laisse moi te le raconter. Lolo, tu peux écouter, au moins que tu préféreres dormir, chat chat chat.
- Non Pépère, je ne veux plus dormir, tu as raison la mission du colis avant toute chose, sinon nous mangerons des cailloux nous autres.
- Alors écoutez bien cette histoire.
Tout a commencé en août, hé bien oui, c'est étonnant, je sais. Donc mon spéléologue des magnums de champagne japonais avait décidé d'acheter une dinde vivante pour le réveillon du Noël.
La bête fut mise en liberté sur le terrain et se promenait toute la journée. Il la nourrissait avec des rogatons et les croquettes du commissariat.
C'est alors qu'un après-midi, je passe sur le terrain et je croise Firminde la dinde. Je ne lui trouvais pas bonne mine et lui dit comme ça, mais tu as une drôles de tête ma pauvre Firminde.
Hé bien, oui, je suis en pleine dépression figure toi. J'ai été voir le dindologue qui m'a envoyé voir un psydinde et je suis sous Prozac. Ha, mince, que se passe-t-il ma pauvre Firminde que je lui demande. Hé bien, Noël approche et je vais finir dans le four mon pauvre. Ha oui, mais tu sais mon nain de jardin d'Uruguay allume le feu avec des silex alors, il se peut que tu sois encore là en mars ou avril le temps que le feu soit allumé. Oui, j'essayai de lui remonter le moral comme je pouvais. C'est alors qu'elle me dit, Pépère, toi l'inventeur du frigo à serrure sécurisée inviolable et de la machine à laver qui lave le linge avec de l'eau qui sèche les vêtements, que pouvons nous faire. C'est alors que j'ai trouvé l'idée. Écoute, je vais aller trouver Raoulle la poule et lui acheter des œufs. Tous les matins, tu feras semblant d'en pondre deux. Moi, je les viderai et mettrai du vin dedans. Quand le soûlard verra que tu fais des œufs à vin, il n'aura plus envie de se séparer de toi.
C'est alors que mon dégarni de la rate du cervelet gauche fut très étonnement surpris. Bien évidemment, il était hors de question de manger Firminde. Tous les jours, il se faisait une omelette au vin et il était ravi.
C'est alors qu'un jour love gâteau lui dit, mais qu'allons nous donc faire pour Noël.
J'étais derrière la porte et me suis écrié, Pépère n'est pas comestible.
C'est alors qu'ils se mettent à boire et réfléchissent à ce fameux réveillon. D'un seul coup ma love maîtresse que j'aime lui dit et si nous faisions un réveillon belge.
Ha oui, lui dit-il, mais que nous faut-il exactement. Hé bien dit elle que Pépère nous fasse une culture de pomme de terre.
Et voilà comment en sauvant Firminde la dinde, je me retrouvais à labourer, arroser, nettoyer, ramasser, les pommes de terre sous une chaleur de quatre-vingts degrés à l'ombre.
Puis le vingt-cinq, on me fit éplucher les fameuses pommes de terre. J'en fis quarante kilos et j'en avais les pattes couvertes de gerçures. Ensuite, j'ai dû allumer un feu sur le terrain. Heureusement, entre temps, il avait jeté ses silex et acheté un briquet.
C'est alors qu'il me dit, maintenant verse le rhum dans le chaudron.
- Du rhum, je ne comprends plus rien, mon copain.
- Oui, c'était un réveillon belge avec des frites Martiniquaises, c'est-à-dire cuites dans le rhum à la place de l'huile. Et c'est comme ça que j'ai passé ma soirée à me rôtir les moustaches pour leur réveillon belge.
Ils ont ensuite bu le rhum comme du vin chaud. Ils ont fait un tel bruit que madame le maire était venu le voir. Il eut l'audace de lui dire, que c'était Pépère qui tuait des taupe avec une pelle dans le bois pour se distraire.
J'étais horrifié, mais je n'ai préféré rien dire.
- Hé bien mon copain, c'est un drôle de réveillon que tu as vécu.
- Ça, tu peux le dire Grisou, c'est sacrément étonnant.
- Oui les amis, je vous l'avais dit que c'était très étonnant.

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Ha ha les frites belges ; une idée pour Noël. Ça changera
Belle lecture
Merci Daniel
Amicalement
Gaby