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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Mornay devant l'épicerie, le général se mit à fouiller ses poches.
- Alors, mon général, vous cherchez la lettre d'amour que ma cousine vous a remis, espèce de coquin.
- Pas du tout, brigadier Tatouvu, c'est une médaille que je cherche voyez-vous.
- La médaille du courage, ha ha ha, des gens qui débourbent les voitures plus vite que l'ombre des pneus.
- Pas du tout, une médaille pour avoir sauvé mes compagnons d'armes au Tchad alors que j'avais un bras arraché.
- Mais c'est horrible, alors vous avez une prothèse à la place du bras.
- Pas du tout, voyez-vous, c'est ce qui fait la différence entre vous et moi. Je suis l'un des militaires les plus résistant au mal.
- Ce récit doit être palpitant.
- Il l'est croyez-moi et je vais vous le raconter en remontant vers chez le poète. Ma médaille a dû tombé quelque part dans l'allée. J'ai dû la faire tomber en fouillant dans mes poches quand je cherchais mon cachet pour le paludisme cheveutical. Oui, mes cheveux ont le paludisme.
Le général monta d'office dans la Dacia, derrière le volant. Le brigadier ne voulait pas le contrarier et il monta à côté. La voiture reprit le chemin de chez le poète.
- Alors cette médaille, mon général, raconter moi cette aventure, cela interroge ma curiosité de gendarme.
- Ho, c'est assez banale comme anecdote, mais je vais vous la raconter si vous y tenez.
Voilà, nous étions mes hommes et moi une vingtaine et encerclés par une centaine de militaires armés.
C'est alors qu'un tir de bazooka m'arrachait un bras. Mes hommes se virent condamnés. Ils n'avaient plus de commandants.
Après un léger étourdissement de quelques secondes, je me suis de suite repris. J'ai ramassé mon bras et l'ai mis dans mon sac à dos. Ensuite, à l'aide d'un vieux drap trouvé sur place, je me suis enroulé le bras avec ma mitraillette à l'intérieur. Et c'est bazooka dans l'autre que j'ai attaqué alors que j'actionnais la gâchette de ma mitraillette de la langue.
Ceci donna du courage aux hommes qui combattirent à mes côtés.
Une fois tous nos ennemis hors d'état, j'ai été au point médical du camp.
L'infirmier me voyant me dit, hé bien votre bras, c'est une catastrophe.
Pas de sensiblerie que je lui aie répondu. Allumez un feu, je veux des braises rouges.
Une fois les braises rouges dans le tison, j'ai plongé le moignon dedans pour cautériser la plaie. Allez, greffer moi ce bras que je me suis écrié. Sans anesthésie, me disait-il. Oui, allez infirmier, du nerf. Il fit son travail et deux minutes après l'opération, j'étais déjà reparti faire la guerre.
Vous voyez brigadier, c'est assez banal en fait.
Nous arrivons, c'est là que j'ai cherché mes pilules.
Les deux hommes descendirent et se mirent à rechercher la fameuse médaille.
Dans le champ en face, Cookie, était avec Lucie et elles voyaient le général bouger les bras dans tous les sens et cet homme l'inquiétait énormément.
C'est alors qu'elles virent Pépère arriver juste derrière.
- Hiiii, le cacateux est de retour, hiii, faites le arrêter.
- Calme toi, Cookie, regarde le militaire regarde dans notre direction.
Le Pépère repensa qu'il n'avait pas rendu sa voiture invisible et il le fit aussitôt.
- Hé bien, nous avons eu chaud aux moustaches, un peu plus nous étions repérés à cause de la bougresse.
- Mais que fait-il ici celui-ci ?
- Je n'en sais rien, Lolo, je ne sais même pas qui s'est.
- Hé bien, Grisou, c'est le général Picolle.
- Mais dit moi, Pépère, qui est ce général, tu en as déjà entendu parler ?
- Oui Grisou, c'est le général Picolle qui a enseigné l'art de la gendarmerie à love Henri.
Il est aussi le professeur qui a appris la politique des armées à notre président. Je le connais d'ailleurs intimement, car il venait souvent à la brigade où j'étais à Trappes avant que je ne vienne ici pour espionner mon tabouret pour nain de jardin alcoolisé au rhum japonais.
- Ha bon mon copain, il donnait des cours aux policiers.
- Oui, j'étais le chat policier qu'il affectionnait le plus et il me racontait ses campagnes de guerre.
Et c'est comme ça qu'il m'a retrouvé dans le désert du Mojave pour une mission.
- Ha bon, mais que faisais tu là-bas Pépère ?
- Hé bien voilà, Lolo, voilà, des bandits qui étaient en Arizona avait voler un vaisseau sur une base américaine et ils l'avaient caché dans un camp sur ce désert. C'est le général Picolle qui dirigeait ces hommes sur la base militaire où avait été volé le vaisseau.
Moi, je menais l'enquête et j'avais découvert la zone.
J'ai donc été avec un autre vaisseau pour les neutraliser. Une fois, là-bas, je suis tombé sur un espion qui m'a abusé. Celui-ci avait un élevage de chevalmaux et je devais continuer à dos de bête.
- Mais, Pépère, qu'est-ce que c'est un chevalmau ?
- C'est un animal qui ressemble au chameau par la tête et qui a des pattes de girafe et un corps de cheval à trois bosses. C'est une espèce sacrée qui est vénéré par les musulmans, car c'est le coursier d'Allah qui est l'un de mes cousins.
Cet animal vit plus de mille ans et a trois réserves d'eau sur son dos, ce qui le rend extrêmement endurant.
Donc, j'avais loué un chevalmau et l'homme, s'était proposé de m'aider. Il faut savoir que pour boire les hommes qui sont sur le dos de l'animal, font un trou dans une bosse et avec un tuyau aspire l'eau. Le salopard avait mis un médicament paralysant dans la bosse du milieu, ce fut en buvant, que je m'étais empoisonné le sang. C'est ainsi que je me suis retrouvé prisonnier des bandit et que le général ait venu me délivrer, voilà mon copain.
- Hé bien, Pépère, tu en connais du monde.
- Oui, Grisou, c'est un peu le hasard, tu sais.


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#2
À Mornay devant l'épicerie, le général se mit à fouiller ses poches.
- Alors, mon général, vous cherchez la lettre d'amour que ma cousine vous a remis, espèce de coquin.
- Pas du tout, brigadier Tatouvu, c'est une médaille que je cherche voyez-vous.
- La médaille du courage, ha ha ha, des gens qui débourbent les voitures plus vite que l'ombre des pneus.
- Pas du tout, une médaille pour avoir sauvé mes compagnons d'armes au Tchad alors que j'avais un bras arraché.
- Mais c'est horrible, alors vous avez une prothèse à la place du bras.
- Pas du tout, voyez-vous, c'est ce qui fait la différence entre vous et moi. Je suis l'un des militaires les plus résistant au mal.
- Ce récit doit être palpitant.
- Il l'est croyez-moi et je vais vous le raconter en remontant vers chez le poète. Ma médaille a dû tombé quelque part dans l'allée. J'ai dû la faire tomber en fouillant dans mes poches quand je cherchais mon cachet pour le paludisme cheveutical. Oui, mes cheveux ont le paludisme.
Le général monta d'office dans la Dacia, derrière le volant. Le brigadier ne voulait pas le contrarier et il monta à côté. La voiture reprit le chemin de chez le poète.
- Alors cette médaille, mon général, raconter moi cette aventure, cela interroge ma curiosité de gendarme.
- Ho, c'est assez banale comme anecdote, mais je vais vous la raconter si vous y tenez.
Voilà, nous étions mes hommes et moi une vingtaine et encerclés par une centaine de militaires armés.
C'est alors qu'un tir de bazooka m'arrachait un bras. Mes hommes se virent condamnés. Ils n'avaient plus de commandants.
Après un léger étourdissement de quelques secondes, je me suis de suite repris. J'ai ramassé mon bras et l'ai mis dans mon sac à dos. Ensuite, à l'aide d'un vieux drap trouvé sur place, je me suis enroulé le bras avec ma mitraillette à l'intérieur. Et c'est bazooka dans l'autre que j'ai attaqué alors que j'actionnais la gâchette de ma mitraillette de la langue.
Ceci donna du courage aux hommes qui combattirent à mes côtés.
Une fois tous nos ennemis hors d'état, j'ai été au point médical du camp.
L'infirmier me voyant me dit, hé bien votre bras, c'est une catastrophe.
Pas de sensiblerie que je lui aie répondu. Allumez un feu, je veux des braises rouges.
Une fois les braises rouges dans le tison, j'ai plongé le moignon dedans pour cautériser la plaie. Allez, greffer moi ce bras que je me suis écrié. Sans anesthésie, me disait-il. Oui, allez infirmier, du nerf. Il fit son travail et deux minutes après l'opération, j'étais déjà reparti faire la guerre.
Vous voyez brigadier, c'est assez banal en fait.
Nous arrivons, c'est là que j'ai cherché mes pilules.
Les deux hommes descendirent et se mirent à rechercher la fameuse médaille.
Dans le champ en face, Cookie, était avec Lucie et elles voyaient le général bouger les bras dans tous les sens et cet homme l'inquiétait énormément.
C'est alors qu'elles virent Pépère arriver juste derrière.
- Hiiii, le cacateux est de retour, hiii, faites le arrêter.
- Calme toi, Cookie, regarde le militaire regarde dans notre direction.
Le Pépère repensa qu'il n'avait pas rendu sa voiture invisible et il le fit aussitôt.
- Hé bien, nous avons eu chaud aux moustaches, un peu plus nous étions repérés à cause de la bougresse.
- Mais que fait-il ici celui-ci ?
- Je n'en sais rien, Lolo, je ne sais même pas qui s'est.
- Hé bien, Grisou, c'est le général Picolle.
- Mais dit moi, Pépère, qui est ce général, tu en as déjà entendu parler ?
- Oui Grisou, c'est le général Picolle qui a enseigné l'art de la gendarmerie à love Henri.
Il est aussi le professeur qui a appris la politique des armées à notre président. Je le connais d'ailleurs intimement, car il venait souvent à la brigade où j'étais à Trappes avant que je ne vienne ici pour espionner mon tabouret pour nain de jardin alcoolisé au rhum japonais.
- Ha bon mon copain, il donnait des cours aux policiers.
- Oui, j'étais le chat policier qu'il affectionnait le plus et il me racontait ses campagnes de guerre.
Et c'est comme ça qu'il m'a retrouvé dans le désert du Mojave pour une mission.
- Ha bon, mais que faisais tu là-bas Pépère ?
- Hé bien voilà, Lolo, voilà, des bandits qui étaient en Arizona avait voler un vaisseau sur une base américaine et ils l'avaient caché dans un camp sur ce désert. C'est le général Picolle qui dirigeait ces hommes sur la base militaire où avait été volé le vaisseau.
Moi, je menais l'enquête et j'avais découvert la zone.
J'ai donc été avec un autre vaisseau pour les neutraliser. Une fois, là-bas, je suis tombé sur un espion qui m'a abusé. Celui-ci avait un élevage de chevalmaux et je devais continuer à dos de bête.
- Mais, Pépère, qu'est-ce que c'est un chevalmau ?
- C'est un animal qui ressemble au chameau par la tête et qui a des pattes de girafe et un corps de cheval à trois bosses. C'est une espèce sacrée qui est vénéré par les musulmans, car c'est le coursier d'Allah qui est l'un de mes cousins.
Cet animal vit plus de mille ans et a trois réserves d'eau sur son dos, ce qui le rend extrêmement endurant.
Donc, j'avais loué un chevalmau et l'homme, s'était proposé de m'aider. Il faut savoir que pour boire les hommes qui sont sur le dos de l'animal, font un trou dans une bosse et avec un tuyau aspire l'eau. Le salopard avait mis un médicament paralysant dans la bosse du milieu, ce fut en buvant, que je m'étais empoisonné le sang. C'est ainsi que je me suis retrouvé prisonnier des bandit et que le général ait venu me délivrer, voilà mon copain.
- Hé bien, Pépère, tu en connais du monde.
- Oui, Grisou, c'est un peu le hasard, tu sais.


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Bravo pour cesavoir nouvelles aventures toujours bien écrites
Amicalement
Gaby