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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Au bord du canal, c'était la panique sœur Mathilde avait été électrocuté et le président était enfin là.
Il avait été appelé par le père Mike, car il trouvait que la sœur n'était pas très en forme, elle disait qu'elle n'était plus étanche et qu'elle perdait du vin.
Le professeur demanda à tout hasard si elle n'avait pas d'autres symptômes. Il pensait à un virus. Le pape prit le téléphone des mains du père Mike et lui expliqua qu'elle venait d'essayer de brancher un MP3 sur le 380 volts et qu'elle s'était électrocutée.
Le président avait pris peur et prévenu les pompiers.
Il arriva juste derrière eux. Les hommes du feu ne conclurent à rien de bien méchant. La sœur était un peu sonnée, mais le cœur avait tenu le coup.
- Vous voyez professeur, si vous n'étiez pas resté si longtemps avec ce virus de Michel où je ne sais quoi, nous serions arrivés avant le départ des pompiers.
- Le virus de la varicelle, s'il vous plaît. Je le connais depuis très longtemps, et je n'allais pas ruiner une amitié de longue date tout de même. Cette pauvre sœur semble aller mieux. Les pompiers s'en vont, c'est qu'elle n'a rien de grave.
Le temps qu'ils arrivent tous les deux, le père Mike avait repris ses activités avec le pape et Thomas.
La sœur demeurait seule assise sur le bord de l'estrade. Ses habits étaient quelque peu fripés et déchirés. Ses cheveux avaient pris une couleur qui tirait entre le roux et le cuivre.
Sœur Mathilde était toujours un peu secouée, mais la pression commençait à redescendre.
Le président arriva devant elle et lui demanda ce qui s'était passé.
Le professeur attendait qu'elle réponde, mais elle semblait un peu désorientée.
- Bon sœur Mathilde calme toi, tu blasphèmes à présent.
La fièvre, pendant des heures, la fièvre.
- Hé bien, sœur Mathilde, que se passe-t-il, je vous pose une question et vous me répondez sur autre chose.
Le président se demandait ce qu'il se passait, elle ne semblait pas cohérente du tout.
- Que va penser Dieu, en te voyant ainsi en guenilles. Bon, j'ai du bourbon dans mon sac, il doit apprécier cette boisson. Alors ipomme pourri tu l'a eu ta secousse électrique.
Hé bien encore un manège, super Mathilde yes.
Elle se leva et se mit à tourner en rond en faisait des tours sur elle-même.
- Où qu'elle est la queue du Mickey pour la décrocher et que je gagne le panier garni des bonnes bouteilles de la mère Maïté et une bonne poularde.
Elle faisait à grand renfort de grimace des bras d'honneur au président qui était devant elle. Les deux hommes juste devant elle, n'en revenaient pas et ne savaient pas trop quoi en penser si ce n'est qu'elle n'avait pas une attitude habituelle.
C'est alors qu'elle se rassit de nouveau et soupirant s'écria, ou qu'elle est la bouteille.
Le professeur vit aux pieds de l'estrade une bouteille et lui tendit. C'était de l'eau, mais la sœur but la bouteille entière.
- Ha, enfin vous voilà, j'ai failli mourir, mon bon bleu.
- Nous sommes là depuis déjà un long moment.
- Oui, bien sûr et le vieux sagouin Vaticanteux est marié avec la reine d'Angleterre.
Le président et le professeur ne préféraient pas insister, visiblement, elle avait reçu un sérieux choc.
Dans le bois pendant ce temps-là, Sylvie la pie était toujours à la recherche du Pépère.
Celui-ci démarra comme un fou et coupa la route aux véhicules qui venaient de Sancoins.
Un camion ne put l'éviter et percuta l'arrière de la voiture.
Le Pépère très réactif, fit usage de sa magie et l'auto partit vers les nuages.
Avec grâce, il roulait sur ce lit de coton et finit par revenir doucement sur la route.
Lolo avait eut la frayeur de sa vie.
Grisou n'avait pas fini sa prière du saint chat, que déjà Pépère fonçait sur la route devant le camion. Le pauvre chauffeur crut avoir été victime d'une hallucination.
Le Pépère ne voulant pas avoué qu'il avait eut peur s'arrêta sur le parking à l'entrée de Mornay. Le routier de ne manqua pas de le klaxonner en lui faisant un geste peu gracieux.
- Hé bien, tu m'as sidéré Pépère, comment as-tu fait ça ?
- Ce n'est rien Grisou, j'ai été chatscadeur étant plus jeune.
- Tout de même pour un colis, ce n'était pas si pressé.
- Que tu dis Lolo, la dernière fois qu'un colis est arrivé comme ça a Noël, j'ai fini en chat garde à vue.
- Ha bon, mais comment cela a pu se faire.
Hé bien, Grisou Je vais te l'expliquer.
Voilà mon alcoolique avait à l'époque reçu un énorme colis de victuaille. Sous prétexte d'un pseudo-voyage, j'ai été confié à love chat.
J'ai été emmené de force et contre mon gré à Lourdes à la résidence d'été.
Je ne vous parle même pas des sept cents kilomètres de voiture que j'ai faits en écoutant de la messe. En plus dans une voiture qui craquait de partout. Sans compter le nombre d'arrêts impressionnant qu'elle a fait pour boire dans des bars. Elle a même picolée avec des collègues gendarmes lors d'un contrôle routier qui s'est soldé par un concours d'éthylomètre et une route en zigzagant sur deux cents kilomètres après, le temps que l'alcool se dissipe. Arrivé là-bas, j'ai dû subir un temps les affres de la faim étant nourri de rogatons et d'épluchures de légumes. Un jour, elle me dit ;
- Mon gentil minet, je vais te faire des crêpes et de la tarte à la tomate. Autant vous dire que mon estomac, rempli de crevasses, était ravi de cette nouvelle. Elle s'en va au marché me laissant la messe en écoute soit disant pour me distraire. Elle revient avec ses tomates et les ingrédients pour les crêpes et une bouteille de rhum.
- Tu vois mon gentil minet qu'elle me dit, le rhum, c'est pour relever le goût. Et ce n'est pas tout mon secret pour la tarte à la tomate, c'est de rajouter quelques brisures de thym dans la pâte. Je la regardais faire.
- Mais j'y pense, il ne faut pas d'alcool pour un chat. Zut, j'ai ouvert la bouteille, bon, je n'ai plus qu'à la boire. Elle l'a vidée en faisant la pâte et après à fait sa tarte. C'est là que ça s'est gâté. Elle a confondu le thym avec le gingembre et a préparé sa tarte. Puis l'alcool faisant son effet elle a décidée de faire les crêpes. Elle a versé le contenu de la préparation dans la poêle et ça a fait une omelette plutôt qu'autre chose. Totalement cuite, elle a sorti la tarte du four et me dit.
- Écoute mon gentil minet, je suis fatiguée tiens mange là, si tu veux et elke s'est endormie dans le canapé. N'ayant pas mangé correctement depuis un long moment, j'ai englouti la tarte. Oui, mais voilà le gingembre m'a légèrement agacé et je suis parti faire un tour en passant par le balcon. Résultat, je me suis retrouvé dans un état chat second car en plus de l'épice, elle avait mis du vin sur les tomates. Après, je ne sais plus, j'ai été arrêté sous prétexte que j'embêtais les minettes. Je me suis tapé une garde à chat d'une nuit, car les chatdarmes n'ont pas pu la sortir de son coma. Elle m'a ensuite récupéré et traité de chat bandit et renvoyé à pattes chez mon alcoolique de maître, et j'ai dû faire du chatstop.
- Quelle histoire, tout de même mon copain, c'est incroyable.
- Tu l'as dit Grisou, chat chat chat.

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#2
Au bord du canal, c'était la panique sœur Mathilde avait été électrocuté et le président était enfin là.
Il avait été appelé par le père Mike, car il trouvait que la sœur n'était pas très en forme, elle disait qu'elle n'était plus étanche et qu'elle perdait du vin.
Le professeur demanda à tout hasard si elle n'avait pas d'autres symptômes. Il pensait à un virus. Le pape prit le téléphone des mains du père Mike et lui expliqua qu'elle venait d'essayer de brancher un MP3 sur le 380 volts et qu'elle s'était électrocutée.
Le président avait pris peur et prévenu les pompiers.
Il arriva juste derrière eux. Les hommes du feu ne conclurent à rien de bien méchant. La sœur était un peu sonnée, mais le cœur avait tenu le coup.
- Vous voyez professeur, si vous n'étiez pas resté si longtemps avec ce virus de Michel où je ne sais quoi, nous serions arrivés avant le départ des pompiers.
- Le virus de la varicelle, s'il vous plaît. Je le connais depuis très longtemps, et je n'allais pas ruiner une amitié de longue date tout de même. Cette pauvre sœur semble aller mieux. Les pompiers s'en vont, c'est qu'elle n'a rien de grave.
Le temps qu'ils arrivent tous les deux, le père Mike avait repris ses activités avec le pape et Thomas.
La sœur demeurait seule assise sur le bord de l'estrade. Ses habits étaient quelque peu fripés et déchirés. Ses cheveux avaient pris une couleur qui tirait entre le roux et le cuivre.
Sœur Mathilde était toujours un peu secouée, mais la pression commençait à redescendre.
Le président arriva devant elle et lui demanda ce qui s'était passé.
Le professeur attendait qu'elle réponde, mais elle semblait un peu désorientée.
- Bon sœur Mathilde calme toi, tu blasphèmes à présent.
La fièvre, pendant des heures, la fièvre.
- Hé bien, sœur Mathilde, que se passe-t-il, je vous pose une question et vous me répondez sur autre chose.
Le président se demandait ce qu'il se passait, elle ne semblait pas cohérente du tout.
- Que va penser Dieu, en te voyant ainsi en guenilles. Bon, j'ai du bourbon dans mon sac, il doit apprécier cette boisson. Alors ipomme pourri tu l'a eu ta secousse électrique.
Hé bien encore un manège, super Mathilde yes.
Elle se leva et se mit à tourner en rond en faisait des tours sur elle-même.
- Où qu'elle est la queue du Mickey pour la décrocher et que je gagne le panier garni des bonnes bouteilles de la mère Maïté et une bonne poularde.
Elle faisait à grand renfort de grimace des bras d'honneur au président qui était devant elle. Les deux hommes juste devant elle, n'en revenaient pas et ne savaient pas trop quoi en penser si ce n'est qu'elle n'avait pas une attitude habituelle.
C'est alors qu'elle se rassit de nouveau et soupirant s'écria, ou qu'elle est la bouteille.
Le professeur vit aux pieds de l'estrade une bouteille et lui tendit. C'était de l'eau, mais la sœur but la bouteille entière.
- Ha, enfin vous voilà, j'ai failli mourir, mon bon bleu.
- Nous sommes là depuis déjà un long moment.
- Oui, bien sûr et le vieux sagouin Vaticanteux est marié avec la reine d'Angleterre.
Le président et le professeur ne préféraient pas insister, visiblement, elle avait reçu un sérieux choc.
Dans le bois pendant ce temps-là, Sylvie la pie était toujours à la recherche du Pépère.
Celui-ci démarra comme un fou et coupa la route aux véhicules qui venaient de Sancoins.
Un camion ne put l'éviter et percuta l'arrière de la voiture.
Le Pépère très réactif, fit usage de sa magie et l'auto partit vers les nuages.
Avec grâce, il roulait sur ce lit de coton et finit par revenir doucement sur la route.
Lolo avait eut la frayeur de sa vie.
Grisou n'avait pas fini sa prière du saint chat, que déjà Pépère fonçait sur la route devant le camion. Le pauvre chauffeur crut avoir été victime d'une hallucination.
Le Pépère ne voulant pas avoué qu'il avait eut peur s'arrêta sur le parking à l'entrée de Mornay. Le routier de ne manqua pas de le klaxonner en lui faisant un geste peu gracieux.
- Hé bien, tu m'as sidéré Pépère, comment as-tu fait ça ?
- Ce n'est rien Grisou, j'ai été chatscadeur étant plus jeune.
- Tout de même pour un colis, ce n'était pas si pressé.
- Que tu dis Lolo, la dernière fois qu'un colis est arrivé comme ça a Noël, j'ai fini en chat garde à vue.
- Ha bon, mais comment cela a pu se faire.
Hé bien, Grisou Je vais te l'expliquer.
Voilà mon alcoolique avait à l'époque reçu un énorme colis de victuaille. Sous prétexte d'un pseudo-voyage, j'ai été confié à love chat.
J'ai été emmené de force et contre mon gré à Lourdes à la résidence d'été.
Je ne vous parle même pas des sept cents kilomètres de voiture que j'ai faits en écoutant de la messe. En plus dans une voiture qui craquait de partout. Sans compter le nombre d'arrêts impressionnant qu'elle a fait pour boire dans des bars. Elle a même picolée avec des collègues gendarmes lors d'un contrôle routier qui s'est soldé par un concours d'éthylomètre et une route en zigzagant sur deux cents kilomètres après, le temps que l'alcool se dissipe. Arrivé là-bas, j'ai dû subir un temps les affres de la faim étant nourri de rogatons et d'épluchures de légumes. Un jour, elle me dit ;
- Mon gentil minet, je vais te faire des crêpes et de la tarte à la tomate. Autant vous dire que mon estomac, rempli de crevasses, était ravi de cette nouvelle. Elle s'en va au marché me laissant la messe en écoute soit disant pour me distraire. Elle revient avec ses tomates et les ingrédients pour les crêpes et une bouteille de rhum.
- Tu vois mon gentil minet qu'elle me dit, le rhum, c'est pour relever le goût. Et ce n'est pas tout mon secret pour la tarte à la tomate, c'est de rajouter quelques brisures de thym dans la pâte. Je la regardais faire.
- Mais j'y pense, il ne faut pas d'alcool pour un chat. Zut, j'ai ouvert la bouteille, bon, je n'ai plus qu'à la boire. Elle l'a vidée en faisant la pâte et après à fait sa tarte. C'est là que ça s'est gâté. Elle a confondu le thym avec le gingembre et a préparé sa tarte. Puis l'alcool faisant son effet elle a décidée de faire les crêpes. Elle a versé le contenu de la préparation dans la poêle et ça a fait une omelette plutôt qu'autre chose. Totalement cuite, elle a sorti la tarte du four et me dit.
- Écoute mon gentil minet, je suis fatiguée tiens mange là, si tu veux et elke s'est endormie dans le canapé. N'ayant pas mangé correctement depuis un long moment, j'ai englouti la tarte. Oui, mais voilà le gingembre m'a légèrement agacé et je suis parti faire un tour en passant par le balcon. Résultat, je me suis retrouvé dans un état chat second car en plus de l'épice, elle avait mis du vin sur les tomates. Après, je ne sais plus, j'ai été arrêté sous prétexte que j'embêtais les minettes. Je me suis tapé une garde à chat d'une nuit, car les chatdarmes n'ont pas pu la sortir de son coma. Elle m'a ensuite récupéré et traité de chat bandit et renvoyé à pattes chez mon alcoolique de maître, et j'ai dû faire du chatstop.
- Quelle histoire, tout de même mon copain, c'est incroyable.
- Tu l'as dit Grisou, chat chat chat.

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Ha ha ha j'ai bien aimé l'histoire avec soeur Mathilde
Amicalement
Gaby