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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À la brasserie durant ce temps-là, le président attendait toujours le retour de Pépère avec le professeur Ourat.
- Mais que fait votre Pépère, à la fin, il en met du temps à arriver jusqu'à là.
- Oui, il a dû s'arrêter manger avec des virus par là, ce n'est pas possible.
- Oui, comme vous dîtes professeur, manger un côtelette.
- Oui et le bœuf en compagnie d'un cousin du virus du ténia n'a pas fini d'accoucher de sa côtelette.
- C'est drôle cette histoire d'accouchement, cela me souvient une vilaine histoire.
- Ha oui, vous avec aider un coq ou une fourmi à accoucher. Remarquez, que moi-même, j'ai déjà aidé des virus à l'accouchement.
- Pas du tout, même si j'ai un temps pensé à l'ECOLE, c'est autre chose, je n'y ai pas été.
- Vous n'avez pas été à l'école, vous monsieur bleu.
- Je ne parle pas d'école, mais de l'ECOLE, ( Enseignement des côtelettiers obstétriciens longuement expérimentés). Non, j'ai seulement un jour provoqué un accouchement sans le vouloir et ce fut une catastrophe nationale.
- Ha bon, mais qui avez, vous donc aidé à accoucher.
- Hé bien, mon cher virus, c'était à cause de mon cheveu.
- Ho, j'entends déjà une histoire palpitante.
- Oui, écoutez plutôt et tricoter des pulls à vos virus, ça vous éviteras de me couper la parole toutes les cinq minutes.
Donc, c'était dans ma treizième année. Un matin mon père me dit comme ça, mon fils, je vois que tu es devenu raisonnable avec ton cheveu et que tu ne commets plus de bêtises. Pour te faire plaisir, je t'emmène à Paris visiter le musée d'histoire naturelle.
J'étais vraiment très content. Malgré le fait de ma promesse de ne plus faire de bêtises, en route, je m'amusais à faire des rayures sur la chaussée avec mon cheveu, essayant même de crever un pneu arrière pour voir mon père se transformer en cascadeur. Oui, en passant par la vitre, ceci était d'une banalité déconcertante pour moi. N'arrivant pas à percer le pneu, je me vengeais en faisant des trous sur les portières des voitures que mon père doublait sur l'autoroute.
Arrivé à Paris, il me dit, bravo mon fils, tu as été sage en route, alors que j'avais fait un million de conneries en esquintant au moins deux cents voitures, j'étais plié en deux de rire. Que voulez-vous, monsieur virus, c'était l'âge bête.
C'est dans le musée que j'ai été pris le cheveu dans le sac, si vous me pardonnez l'expression. Voilà, nous visitions une salle où était ranger des œufs de dinosaure. Pour m'amuser, je faisais des trous dedans avec mon cheveu. Mon père me prit sur le fait et me mit sur ses épaules furax. Moi, la tête levée, je fis un trou dans le plafond. Puis il m'emmena aux toilettes et me rangea après les portes manteaux. C'est là que j'ai fini la visite avant de rentrer. Pour me venger, je fis des trous dans le toit de l'auto.
C'est deux jours plus tard que nous apprenons qu'un t-rex de cinquante mètres de hauteur est en train de mettre Paris à feu et à sang. Ceci dura deux jours avant l'arrivée de l'armée américaine, de la cia du fbi et tout le Pentagone réuni. Ils réussirent à neutraliser la bête qui était déjà arrivée à manger tout le haut de la tour eiffel.
Voilà ce que je fis monsieur virus
- En quoi étiez-vous responsable de ce monstre ?
- Hé bien voilà, l'œuf que j'avais percé contenait l'embryon. Vous vous souvenez que suite à ça, je fis un trou au plafond. Hé bien, dans la pièce au-dessus il y avait une vitrine qui contenait des restes d'animaux de Tchernobyl après vingt ans de radio-activité. Un fragment minuscule d'os est passé par le trou et il est tombé sur l'œuf, l'embryon s'est nourri de celui-ci et a grandi de trois mètres d'un coup. C'est ainsi qu'il perça le plafond et qu'il mangea tous les os. Oui, une bêtise d'enfant, un grain de sable.
- Quand même, la bête a dû faire beaucoup de dégâts.
- Des broutilles, deux cent cinquante maison écrasées, mille voitures à la casse, la Seine polluée au césium 234 enfin une blague d'adolescent de quelques millions de francs, rien de bien méchant.
À l'épicerie, le brigadier Tatouvu avait relevé une empreinte de chat. Il dit à sa cousine, je vais regarder à qui elle est.
Le fichier mentionnait, chat de Trappes déjà jugé pour des petits larcins et une dégradation de matériel par caca dessus.
Fiche signalétique, corpulence obèse triple tête petits yeux, petites oreilles. Nom Petit gros dit Tigrou ou poulet rôti dans le milieux. Signe particulier fait caca partout. Sa maîtresse Choux Anne, drôle de nom est inscrite sur un fichier de personnes disparus à la gendarmerie. Tiens, c'est étrange, elle est supposée avoir été enlevée par des extraterrestres.
Attention, chat connaissant de hautes personnalités. Reconverti depuis comme agent secret pour le gouvernement français.
- Alors mon cousin, c'est le Pépère.
- Non, c'est un autre chat, je verrai ça plus tard.
Pendant ce temps-là, Pépère essayait toujours de trouver une idée pour faire partir son maître de la cabane.
- Ce n'est pas possible, il roupille toujours, hé bien soûlard, ça a dû y aller la cave de l'avent.
- Je pourrais peut-être aller voir ce qu'il faut, qu'en penses-tu, Pépère ?
- Très bonne idée, Grisou, mais s'il te voit fuit en courant. Nous avons besoin de toi, nous autres.
Grisou, monta sur la plate-forme juste à l'instant où le poète regardait par la vitre s'il voyait le Pépère.
- Alors, Grisou, te voilà revenu, viens manger les bonnes boiboites, nabon les boiboites. Que regardes-tu, les nuages.
Le Pépère de dessous la cabane l'écoutait parfaitement et il comprit que Grisou avait été vu.
- Hé barrique ça fait une heure qu'on attend que tu décuves pour partir de ton capharnaüm et foutre la paix à tes chats.
Tu regardes quoi toi à part les étoiles la liste des meilleures caves de France ou des catalogues d'armement militaires où des listes d'adresses de revendeurs de drogue. Ta gendarmette ne sera pas toujours là pour te protéger, bandit !!!
Le poète sorti avec un délicieux sac de croquettes et Grisou, plutôt que de s'enfuir resta sur place.
Il en versa dans une assiette en lui disant.
- Bon gamin, je te laisse la cabane à surveiller, si tu vois Pépère ramène le ici et ne l'approche pas trop, il est sûrement contagieux, il a dû attraper le coryza, je l'ai écouté éternuer.
Il caressa Grisou et puis il disparut dans l'allée.
Le Pépère n'en revenait pas.
- Surveiller quoi espèce de salopard le carton de la tarte aux pommes de vingt personnes qui m'était destiné. Tu ne perds rien pour attendre ma vengeance sera terrible.
Pour ce que tu as encore fait dire comme horreur par le brigadier tout à l'heure.
Cookie regardait en direction de la cabane et vit le poète partir et juste derrière à découvert, le Pépère avec Lolo et Grisou sur la plate-forme.
- Regardez le bandit hiii avec Lolo ils vont sûrement entraîner Grisou dans le mauvais chemin. Bandit, hiiii pirate, parfum de caca Hiiii.

La suite demain.

3392-Joli chat gris_maxi.gif téléchargement.jpeg Screenshot_20201127_160259.jpg IMG_20201127_130450.jpg
 
#2
À la brasserie durant ce temps-là, le président attendait toujours le retour de Pépère avec le professeur Ourat.
- Mais que fait votre Pépère, à la fin, il en met du temps à arriver jusqu'à là.
- Oui, il a dû s'arrêter manger avec des virus par là, ce n'est pas possible.
- Oui, comme vous dîtes professeur, manger un côtelette.
- Oui et le bœuf en compagnie d'un cousin du virus du ténia n'a pas fini d'accoucher de sa côtelette.
- C'est drôle cette histoire d'accouchement, cela me souvient une vilaine histoire.
- Ha oui, vous avec aider un coq ou une fourmi à accoucher. Remarquez, que moi-même, j'ai déjà aidé des virus à l'accouchement.
- Pas du tout, même si j'ai un temps pensé à l'ECOLE, c'est autre chose, je n'y ai pas été.
- Vous n'avez pas été à l'école, vous monsieur bleu.
- Je ne parle pas d'école, mais de l'ECOLE, ( Enseignement des côtelettiers obstétriciens longuement expérimentés). Non, j'ai seulement un jour provoqué un accouchement sans le vouloir et ce fut une catastrophe nationale.
- Ha bon, mais qui avez, vous donc aidé à accoucher.
- Hé bien, mon cher virus, c'était à cause de mon cheveu.
- Ho, j'entends déjà une histoire palpitante.
- Oui, écoutez plutôt et tricoter des pulls à vos virus, ça vous éviteras de me couper la parole toutes les cinq minutes.
Donc, c'était dans ma treizième année. Un matin mon père me dit comme ça, mon fils, je vois que tu es devenu raisonnable avec ton cheveu et que tu ne commets plus de bêtises. Pour te faire plaisir, je t'emmène à Paris visiter le musée d'histoire naturelle.
J'étais vraiment très content. Malgré le fait de ma promesse de ne plus faire de bêtises, en route, je m'amusais à faire des rayures sur la chaussée avec mon cheveu, essayant même de crever un pneu arrière pour voir mon père se transformer en cascadeur. Oui, en passant par la vitre, ceci était d'une banalité déconcertante pour moi. N'arrivant pas à percer le pneu, je me vengeais en faisant des trous sur les portières des voitures que mon père doublait sur l'autoroute.
Arrivé à Paris, il me dit, bravo mon fils, tu as été sage en route, alors que j'avais fait un million de conneries en esquintant au moins deux cents voitures, j'étais plié en deux de rire. Que voulez-vous, monsieur virus, c'était l'âge bête.
C'est dans le musée que j'ai été pris le cheveu dans le sac, si vous me pardonnez l'expression. Voilà, nous visitions une salle où était ranger des œufs de dinosaure. Pour m'amuser, je faisais des trous dedans avec mon cheveu. Mon père me prit sur le fait et me mit sur ses épaules furax. Moi, la tête levée, je fis un trou dans le plafond. Puis il m'emmena aux toilettes et me rangea après les portes manteaux. C'est là que j'ai fini la visite avant de rentrer. Pour me venger, je fis des trous dans le toit de l'auto.
C'est deux jours plus tard que nous apprenons qu'un t-rex de cinquante mètres de hauteur est en train de mettre Paris à feu et à sang. Ceci dura deux jours avant l'arrivée de l'armée américaine, de la cia du fbi et tout le Pentagone réuni. Ils réussirent à neutraliser la bête qui était déjà arrivée à manger tout le haut de la tour eiffel.
Voilà ce que je fis monsieur virus
- En quoi étiez-vous responsable de ce monstre ?
- Hé bien voilà, l'œuf que j'avais percé contenait l'embryon. Vous vous souvenez que suite à ça, je fis un trou au plafond. Hé bien, dans la pièce au-dessus il y avait une vitrine qui contenait des restes d'animaux de Tchernobyl après vingt ans de radio-activité. Un fragment minuscule d'os est passé par le trou et il est tombé sur l'œuf, l'embryon s'est nourri de celui-ci et a grandi de trois mètres d'un coup. C'est ainsi qu'il perça le plafond et qu'il mangea tous les os. Oui, une bêtise d'enfant, un grain de sable.
- Quand même, la bête a dû faire beaucoup de dégâts.
- Des broutilles, deux cent cinquante maison écrasées, mille voitures à la casse, la Seine polluée au césium 234 enfin une blague d'adolescent de quelques millions de francs, rien de bien méchant.
À l'épicerie, le brigadier Tatouvu avait relevé une empreinte de chat. Il dit à sa cousine, je vais regarder à qui elle est.
Le fichier mentionnait, chat de Trappes déjà jugé pour des petits larcins et une dégradation de matériel par caca dessus.
Fiche signalétique, corpulence obèse triple tête petits yeux, petites oreilles. Nom Petit gros dit Tigrou ou poulet rôti dans le milieux. Signe particulier fait caca partout. Sa maîtresse Choux Anne, drôle de nom est inscrite sur un fichier de personnes disparus à la gendarmerie. Tiens, c'est étrange, elle est supposée avoir été enlevée par des extraterrestres.
Attention, chat connaissant de hautes personnalités. Reconverti depuis comme agent secret pour le gouvernement français.
- Alors mon cousin, c'est le Pépère.
- Non, c'est un autre chat, je verrai ça plus tard.
Pendant ce temps-là, Pépère essayait toujours de trouver une idée pour faire partir son maître de la cabane.
- Ce n'est pas possible, il roupille toujours, hé bien soûlard, ça a dû y aller la cave de l'avent.
- Je pourrais peut-être aller voir ce qu'il faut, qu'en penses-tu, Pépère ?
- Très bonne idée, Grisou, mais s'il te voit fuit en courant. Nous avons besoin de toi, nous autres.
Grisou, monta sur la plate-forme juste à l'instant où le poète regardait par la vitre s'il voyait le Pépère.
- Alors, Grisou, te voilà revenu, viens manger les bonnes boiboites, nabon les boiboites. Que regardes-tu, les nuages.
Le Pépère de dessous la cabane l'écoutait parfaitement et il comprit que Grisou avait été vu.
- Hé barrique ça fait une heure qu'on attend que tu décuves pour partir de ton capharnaüm et foutre la paix à tes chats.
Tu regardes quoi toi à part les étoiles la liste des meilleures caves de France ou des catalogues d'armement militaires où des listes d'adresses de revendeurs de drogue. Ta gendarmette ne sera pas toujours là pour te protéger, bandit !!!
Le poète sorti avec un délicieux sac de croquettes et Grisou, plutôt que de s'enfuir resta sur place.
Il en versa dans une assiette en lui disant.
- Bon gamin, je te laisse la cabane à surveiller, si tu vois Pépère ramène le ici et ne l'approche pas trop, il est sûrement contagieux, il a dû attraper le coryza, je l'ai écouté éternuer.
Il caressa Grisou et puis il disparut dans l'allée.
Le Pépère n'en revenait pas.
- Surveiller quoi espèce de salopard le carton de la tarte aux pommes de vingt personnes qui m'était destiné. Tu ne perds rien pour attendre ma vengeance sera terrible.
Pour ce que tu as encore fait dire comme horreur par le brigadier tout à l'heure.
Cookie regardait en direction de la cabane et vit le poète partir et juste derrière à découvert, le Pépère avec Lolo et Grisou sur la plate-forme.
- Regardez le bandit hiii avec Lolo ils vont sûrement entraîner Grisou dans le mauvais chemin. Bandit, hiiii pirate, parfum de caca Hiiii.

La suite demain.

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Tricoter des pulls aux virus...
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Amicalement
Gaby