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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Les Américains sur le terrain face à celui du poète étaient furax.
Ils devaient surveiller de très près les activités de la jument qui venait de démolir tout leur campement.
Ils décidèrent d'attendre que la bête soit calmée pour aller voir quel était cette agitation qui la tenait. L'un des agents était dehors l'observait de loin. Elle était assez calme hennissant de temps en temps.
L'homme fut étonné par un drôle de manège. La deuxième jument était en train de tirer de la paille vers la maison des chevaux.
Cookie ramassait la paille et la posait dans sa demeure.
Entre temps, le poète qui avait été dérangé par les bruits à l'extérieur se promenait toujours sur le terrain à la recherche du Pépère.
Le Pépère qui était sorti de dessous la plate-forme pour voir ce qu'il faisait le vit dos tourné devant lui.
- Vite, cachons-nous, mon yaourt norvégien, enrichi à la fraise transgénique de Colombie, est toujours là, il risque de me surprendre.
Il voyait les deux juments tirer de la paille avec les dents et se demandait ce qui se passait en ce lieu. Il avait le téléphone à la main et il s'approcha de la clôture.
- Si chérie, je t'assure, j'ai commencé par voir l'énorme tête de Pépère derrière moi et puis plus rien.
J'ai regardé partout et il demeure introuvable.
Je suis venu voir ce qui se passait dans le champ et les juments tirent de la paille, je me demande ce que font ces animaux.
Bon, je vais aller finir ma brioche... Heu, non, je disais, je vais finir mon livre de poche.
C'est ainsi que l'agent du pentagone vit, le poète téléphone en main en regardant les animaux faire leur besogne. Il partit avec précipitation faire son rapport à son chef.
- L'affaire est claire, l'homme, est bien un trafiquant d'armes et il cache des armes dans la cabane. Actuellement, il commande les fucking horse Android qui sont en train de dissimuler les armes avec de la paille. Je me suis approché doucement. Personne ne m'a vu et j'ai bien compris le leurre.
Figurez-vous qu'ils mettent des produits puants pour rendre l'endroit inapprochable. Faite attention mon commandant si les hommes s'approchent de la cabane.
Je vous conseille de leur faire porter un masque à gaz. C'est peut-être des produits nocifs, ne sait-on jamais. Je pense que le chat Pépère nous a enfumé en nous racontant des sornettes aux médias et il est peut-être complice de la bestiole Android comme son maître qui a comme couverture celle de poète.
De derrière la cabane, je les ai distinctement entendu parlé, le cheval parlait de bazooka et le poète parlait au téléphone de gaz sarin, certainement à un complice et l'une des juments était armée d'un fusil-mitrailleur qu'elle avait sur le dos et l'autre jument lui parlait de missile nucléaire et citait Pépère donc nous devrions prévenir le Pentagone, je pense, disait cet agent qui avait tout et rien vu.
- Je fais mon rapport et l'envoie par satellite immédiatement, vous avez fait un excellent travail et vos renseignements sont précieux, lui répondit son chef.
Le Pépère était furax, il attendait toujours le départ de son maître. Grisou ne pouvait pas descendre de la soucoupe et Lolo était toujours caché dans la cabane de Bibou.
Il commençait à être très...
Stop, ça ne va pas.
- Oui, qui est-ce, c'est Pépère ?
- Bien sûr tête de clou breton pour marteau coréen, qui veux-tu que se soit.
- Qu'est-ce qu'il y a encore ?
- Il y a que j'ai encore été gravement insulté au début de l'histoire.
Est-ce que tu as lu mon histoire d'hier au moins, soûlard.
- Oui, trois fois hier soir, c'était très drôle. Tu n'en raj...
- Stop, tais toi, affreux, méchant, pas beau, tu rigoles de la détresse de Pépère alors que ce récit aurait dû te donner des idées suicidaires pour toute la misère qu'à vécue ton chat.
- Tu n'étais pas obligé d'écrire à ma place, j'étais chez ma mère parti allumer le feu.
- Le feu, mais oui bien sûr, tu as rallumé la cheminée de ton chauffage intérieur, oui.
- Si, j'ai été voir le feu et...
- Une journée, pour allumer un feu, hé bien, tu as utilisé des silex, je vois ce que c'est, tu prépares le rôti et le temps que le feu soit allumé les mouches l'ont déjà mangé, je comprends pourquoi tu n'as que la peau sur les os.
Bon, amis lecteurs, je suis sidéré, il rigole de ma misère. J'ai inondé de mes larmes une région entière, j'ai failli être amputé des pattes, car j'ai volé les hublots ouverts pour ne pas m'endormir, j'ai rôdé des centaines de kilomètres à pattes nues pour retrouver ma love maîtresse que j'aime et il rigole de ma misère.
Peut-être ne savez-vous pas, l'autre éléphant sibérien remplie de rhum Moldave ne va pas vous en parler, mais hier soir, le président lui-même m'a téléphoner pour me soutenir. Les États-Unis ont mis en place une cagnotte PayPal pour m'acheter de la nourriture. Toutes les plus grandes nations de la planète ont versé des larmes à mon désespoir. Oui, c'est la vérité vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité vraie, les océans ont monté de trente centimètres depuis hier tellement mon histoire a ému le monde. Même les étoiles ont observé une minute d'obscurité pour mon malheur. Et là, j'entends que ma détresse fait rire. C'est une honte, quand on pense que j'ai fini mon errance totalement chauve. Oui, je suis affublé d'une horrible perruque tricotée par love tourterelle depuis hier. Une chose immonde faite avec les restes des tricots à bouteilles mangés par les mites. Et là, j'apprends qu'à partir d'aujourd'hui, on allume le feu avec des silex dans le Cher. Hé bien, nous n'avons pas fini d'avoir froid et de mourir de faim nous autres et de manger de la nourriture crue.
Écoute moi bien soûlard, il va falloir changer le cours de ton histoire. Désormais, Pépère devra être nourri correctement. Tu devras acheter un briquet et jeter tes silex. Puis tu diras à love tourterelle que Pépère est furax de son attitude par rapport à la misère que j'ai vécue pour la retrouver.
Allez, soûlard, je ne te salue pas, je suis furax...


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#2
Les Américains sur le terrain face à celui du poète étaient furax.
Ils devaient surveiller de très près les activités de la jument qui venait de démolir tout leur campement.
Ils décidèrent d'attendre que la bête soit calmée pour aller voir quel était cette agitation qui la tenait. L'un des agents était dehors l'observait de loin. Elle était assez calme hennissant de temps en temps.
L'homme fut étonné par un drôle de manège. La deuxième jument était en train de tirer de la paille vers la maison des chevaux.
Cookie ramassait la paille et la posait dans sa demeure.
Entre temps, le poète qui avait été dérangé par les bruits à l'extérieur se promenait toujours sur le terrain à la recherche du Pépère.
Le Pépère qui était sorti de dessous la plate-forme pour voir ce qu'il faisait le vit dos tourné devant lui.
- Vite, cachons-nous, mon yaourt norvégien, enrichi à la fraise transgénique de Colombie, est toujours là, il risque de me surprendre.
Il voyait les deux juments tirer de la paille avec les dents et se demandait ce qui se passait en ce lieu. Il avait le téléphone à la main et il s'approcha de la clôture.
- Si chérie, je t'assure, j'ai commencé par voir l'énorme tête de Pépère derrière moi et puis plus rien.
J'ai regardé partout et il demeure introuvable.
Je suis venu voir ce qui se passait dans le champ et les juments tirent de la paille, je me demande ce que font ces animaux.
Bon, je vais aller finir ma brioche... Heu, non, je disais, je vais finir mon livre de poche.
C'est ainsi que l'agent du pentagone vit, le poète téléphone en main en regardant les animaux faire leur besogne. Il partit avec précipitation faire son rapport à son chef.
- L'affaire est claire, l'homme, est bien un trafiquant d'armes et il cache des armes dans la cabane. Actuellement, il commande les fucking horse Android qui sont en train de dissimuler les armes avec de la paille. Je me suis approché doucement. Personne ne m'a vu et j'ai bien compris le leurre.
Figurez-vous qu'ils mettent des produits puants pour rendre l'endroit inapprochable. Faite attention mon commandant si les hommes s'approchent de la cabane.
Je vous conseille de leur faire porter un masque à gaz. C'est peut-être des produits nocifs, ne sait-on jamais. Je pense que le chat Pépère nous a enfumé en nous racontant des sornettes aux médias et il est peut-être complice de la bestiole Android comme son maître qui a comme couverture celle de poète.
De derrière la cabane, je les ai distinctement entendu parlé, le cheval parlait de bazooka et le poète parlait au téléphone de gaz sarin, certainement à un complice et l'une des juments était armée d'un fusil-mitrailleur qu'elle avait sur le dos et l'autre jument lui parlait de missile nucléaire et citait Pépère donc nous devrions prévenir le Pentagone, je pense, disait cet agent qui avait tout et rien vu.
- Je fais mon rapport et l'envoie par satellite immédiatement, vous avez fait un excellent travail et vos renseignements sont précieux, lui répondit son chef.
Le Pépère était furax, il attendait toujours le départ de son maître. Grisou ne pouvait pas descendre de la soucoupe et Lolo était toujours caché dans la cabane de Bibou.
Il commençait à être très...
Stop, ça ne va pas.
- Oui, qui est-ce, c'est Pépère ?
- Bien sûr tête de clou breton pour marteau coréen, qui veux-tu que se soit.
- Qu'est-ce qu'il y a encore ?
- Il y a que j'ai encore été gravement insulté au début de l'histoire.
Est-ce que tu as lu mon histoire d'hier au moins, soûlard.
- Oui, trois fois hier soir, c'était très drôle. Tu n'en raj...
- Stop, tais toi, affreux, méchant, pas beau, tu rigoles de la détresse de Pépère alors que ce récit aurait dû te donner des idées suicidaires pour toute la misère qu'à vécue ton chat.
- Tu n'étais pas obligé d'écrire à ma place, j'étais chez ma mère parti allumer le feu.
- Le feu, mais oui bien sûr, tu as rallumé la cheminée de ton chauffage intérieur, oui.
- Si, j'ai été voir le feu et...
- Une journée, pour allumer un feu, hé bien, tu as utilisé des silex, je vois ce que c'est, tu prépares le rôti et le temps que le feu soit allumé les mouches l'ont déjà mangé, je comprends pourquoi tu n'as que la peau sur les os.
Bon, amis lecteurs, je suis sidéré, il rigole de ma misère. J'ai inondé de mes larmes une région entière, j'ai failli être amputé des pattes, car j'ai volé les hublots ouverts pour ne pas m'endormir, j'ai rôdé des centaines de kilomètres à pattes nues pour retrouver ma love maîtresse que j'aime et il rigole de ma misère.
Peut-être ne savez-vous pas, l'autre éléphant sibérien remplie de rhum Moldave ne va pas vous en parler, mais hier soir, le président lui-même m'a téléphoner pour me soutenir. Les États-Unis ont mis en place une cagnotte PayPal pour m'acheter de la nourriture. Toutes les plus grandes nations de la planète ont versé des larmes à mon désespoir. Oui, c'est la vérité vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vraie par l'huissier de la vérité vraie, les océans ont monté de trente centimètres depuis hier tellement mon histoire a ému le monde. Même les étoiles ont observé une minute d'obscurité pour mon malheur. Et là, j'entends que ma détresse fait rire. C'est une honte, quand on pense que j'ai fini mon errance totalement chauve. Oui, je suis affublé d'une horrible perruque tricotée par love tourterelle depuis hier. Une chose immonde faite avec les restes des tricots à bouteilles mangés par les mites. Et là, j'apprends qu'à partir d'aujourd'hui, on allume le feu avec des silex dans le Cher. Hé bien, nous n'avons pas fini d'avoir froid et de mourir de faim nous autres et de manger de la nourriture crue.
Écoute moi bien soûlard, il va falloir changer le cours de ton histoire. Désormais, Pépère devra être nourri correctement. Tu devras acheter un briquet et jeter tes silex. Puis tu diras à love tourterelle que Pépère est furax de son attitude par rapport à la misère que j'ai vécue pour la retrouver.
Allez, soûlard, je ne te salue pas, je suis furax...


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Ah ah sacré Pépère
Gloire à lui pauvre miséreux
Amicalement
Gaby