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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Mornay, le brigadier et le général repartir en courant vers la voiture du gendarme qui était le long de la route.
Le général s'engouffra dans l'auto et mit le contact. Le brigadier était à peine monté dans l'auto que celle-ci était déjà démarrée.
- Attendez, ma porte n'est pas...
Remarquez vous avez raison la bougresse doit être à nos trousses, dépêchons nous.
Le général ne se fit pas prier et à fond de première, il démarra comme un fou.
La voiture sur l'accotement boueux se mit à partir en travers et le général paniqué accéléra encore plus et la voiture se retrouva enfoncée dans le fossé jusqu'au châssis.
Après cinq minutes à essayer vainement de l'y en sortir le général jeta sa casquette de rage.
- Pas de soucis, Tatouvu va vous la sortir. Pas question de rester ici avec la chevalerese qui est à notre recherche.
Le brigadier savait que sur la Dacia, il y avait un système de secours pour la désembourber. C'était une sorte de griffe qui tournait sous le côté intérieur de la transmission et qui était actionné par un levier. Le brigadier était sûr de faire un effet terrible en la sortant.
Les deux hommes sortirent de la voiture dont les portes étaient à peine ouvrable. Le véhicule était tellement enfoncé que les portes touchaient le sol.
- Brigadier, je ne pense pas que vous y arriviez. Si vous me sortez cette auto, je mange mon bouton rouge et j'épouse la chaise électrique.
- Hé bien, général Picolle préparez la sauce et le vin, vous allez festoyer d'ici peu.
Le brigadier prit le volant et le général se mit à côté. Chacun mit sa ceinture.
C'est alors que le brigadier commença à accélérer comme un fou. Les roues patinaient et envoyaient de la boue partout.
C'est alors que discrètement, il engagea la manette pour le système de secours. La voiture commença à faire des soubresauts et décolla d'un coup en zigzaguant. Une fois sur la route, elle prit une vitesse hallucinante et il arriva à la maîtriser.
- Voilà général, vous n'avez plus qu'à manger votre bouton rouge.
Nous allons passer voir ma cousine pour le vin.
Le général était bouche bée.
- Brigadier, le général Picolle est fier de vos exploits. Je n'en reviens pas de la sorte de laquelle vous avez arraché la voiture de la boue. Franchement, il fallait le faire. Quand j'ai combattu au Tchad dans les marécages, je me souviens avoir vu un homme faire ça d'une main. Le bougre était unijambiste et n'avait qu'un bras. Hé bien, d'une jeep totalement enfoncée dans un marécage, il en fit une Ferrari. Tout en mitraillant l'ennemi, il sortit la voiture de sa main unique et le pied sur l'accélérateur, il fit décoller la jeep. Non seulement, il transforma ce véhicule militaire en fusée, mais il eut même l'audace de donner un coup de pied dans le derrière d'un ennemi qui essayait de lui arracher le volant de sa main unique. De mémoire, en le bottant, il lui fit même un doigts d'honneur.
Le soir au campement, l'homme n'en finissait pas de nous étonner en nous disant qu'en plus d'être unijambiste et n'avoir qu'un bras qu'il était sourd et muet. Nous n'en revenions pas et quand il a pris sa canne pour aller se coucher l'un des hommes lui a demandé pourquoi, il avait toujours ses lunettes de soleil. L'homme lui a répondu qu'il était aveugle. Malgré que j'aie vu d'autres hommes plus forts que lui, il m'avait épaté. Je me souviens aussi qu'il nous a avoué à moi et à mon aide de camp qu'il nous avait sauvé la vie.
- Malgré mes infirmités, j'ai évité les deux trous de balles qui étaient devant la jeep et les ai ainsi sauvés du choc d'un par buffle.
Non seulement, il avait sorti la jeep, mais il nous avait évité à chacun une balle qui était destinée à un buffle qui était devant nous.
Hé bien brigadier, vous m'avez épaté encore plus que cet homme qui était sourd-muet unijambiste aveugle qui n'avait qu'un bras même s'il était un parachutiste et militaire émérite.
Brigadier, je vous décore de la médaille d'or du bouton rouge et la médaille de bronze des calamités nationales.
Le général n'en pouvait plus et se mit à chanter.
- Dans ma Benz Benz Benz, même si c'est une Dacia, Benz Benz Benz.
Dans sa soucoupe, le Pépère reprit l'espace très vite.
Il était content de rentrer et il était pressé.
Cela ne demanda que peu de temps et il arrivait déjà proche de la terre.
Sur terre, le poète était lui reparti vers l'épicerie pour acheter du pain.
C'est ainsi que Pépère arrivait juste en face de l'épicerie sur le champs.
- Toc toc toc, que faisons nous ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, quand est-ce que je vois ma mare, fle fle fle.
- Hé bien, Coin-coin, je dois avant rencontrer Grisou et je vais aller chercher un poulet avant d'aller vers chez mon brontosaure lunaire.
C'est ainsi qu'il arriva très vite vers l'arrière-boutique où se tenait la rôtissoire. Il était comme un enfant devant une tarte aux pommes.
- Alors, attention de ne pas se brûler les moustaches. Déjà, voyons où est bec de lièvre anorexique. Je ne la vois pas dans la boutique, c'est étrange, où, est-elle la vilaine. Sûrement en train d'en manger un pendant que de pauvres chats souffreteux comme Pépère sont en train de mourir de faim.
Elle arriva à cet instant et il n'eut que le temps de se cacher. Elle était avec un client et il semblait connaître la voix.
- Non, ce n'est pas possible mon squelettor soudanais qui picole du gin dans des verres en sable du Sahara, le salopard, il compte manger l'un de ces succulents poulets pendant que son chat crie la misère.
Il eut une idée et la mit en œuvre. Il avait vu sur le mur un bouton incendie et vit que le fil passait juste derrière l'endroit où il était. Il l'arracha avec ses griffes et le résultat fut immédiat. Tout le monde sortit.
Il donna un coup de patte sur le pied de la rôtissoire qui tomba au sol. Il prit un poulet et s'enfuya vers la soucoupe qui était invisible aux autres.
L'épicière dit au poète, un chat me vole un poulet, hé pirate, bandit rends moi ça.
Le Pépère continuait en disant, va te faire cuire un œuf d'éléphant vilaine, tu es tellement maigre que tu vas t'étouffer avec la ficelle, tu n'as pas besoin de poulet, sac dos.
Le poète dans sa tête se disait, c'est bizarre, on dirait Pépère.
Les deux restèrent ahuris en voyant le chat disparaître avec son poulet.
Screenshot_20201113_142546.jpg Cette-soucoupe-volante-flottante-est-une-maison.jpg poulet-roti.jpg FB_IMG_1604665909862.jpg
 
#2
À Mornay, le brigadier et le général repartir en courant vers la voiture du gendarme qui était le long de la route.
Le général s'engouffra dans l'auto et mit le contact. Le brigadier était à peine monté dans l'auto que celle-ci était déjà démarrée.
- Attendez, ma porte n'est pas...
Remarquez vous avez raison la bougresse doit être à nos trousses, dépêchons nous.
Le général ne se fit pas prier et à fond de première, il démarra comme un fou.
La voiture sur l'accotement boueux se mit à partir en travers et le général paniqué accéléra encore plus et la voiture se retrouva enfoncée dans le fossé jusqu'au châssis.
Après cinq minutes à essayer vainement de l'y en sortir le général jeta sa casquette de rage.
- Pas de soucis, Tatouvu va vous la sortir. Pas question de rester ici avec la chevalerese qui est à notre recherche.
Le brigadier savait que sur la Dacia, il y avait un système de secours pour la désembourber. C'était une sorte de griffe qui tournait sous le côté intérieur de la transmission et qui était actionné par un levier. Le brigadier était sûr de faire un effet terrible en la sortant.
Les deux hommes sortirent de la voiture dont les portes étaient à peine ouvrable. Le véhicule était tellement enfoncé que les portes touchaient le sol.
- Brigadier, je ne pense pas que vous y arriviez. Si vous me sortez cette auto, je mange mon bouton rouge et j'épouse la chaise électrique.
- Hé bien, général Picolle préparez la sauce et le vin, vous allez festoyer d'ici peu.
Le brigadier prit le volant et le général se mit à côté. Chacun mit sa ceinture.
C'est alors que le brigadier commença à accélérer comme un fou. Les roues patinaient et envoyaient de la boue partout.
C'est alors que discrètement, il engagea la manette pour le système de secours. La voiture commença à faire des soubresauts et décolla d'un coup en zigzaguant. Une fois sur la route, elle prit une vitesse hallucinante et il arriva à la maîtriser.
- Voilà général, vous n'avez plus qu'à manger votre bouton rouge.
Nous allons passer voir ma cousine pour le vin.
Le général était bouche bée.
- Brigadier, le général Picolle est fier de vos exploits. Je n'en reviens pas de la sorte de laquelle vous avez arraché la voiture de la boue. Franchement, il fallait le faire. Quand j'ai combattu au Tchad dans les marécages, je me souviens avoir vu un homme faire ça d'une main. Le bougre était unijambiste et n'avait qu'un bras. Hé bien, d'une jeep totalement enfoncée dans un marécage, il en fit une Ferrari. Tout en mitraillant l'ennemi, il sortit la voiture de sa main unique et le pied sur l'accélérateur, il fit décoller la jeep. Non seulement, il transforma ce véhicule militaire en fusée, mais il eut même l'audace de donner un coup de pied dans le derrière d'un ennemi qui essayait de lui arracher le volant de sa main unique. De mémoire, en le bottant, il lui fit même un doigts d'honneur.
Le soir au campement, l'homme n'en finissait pas de nous étonner en nous disant qu'en plus d'être unijambiste et n'avoir qu'un bras qu'il était sourd et muet. Nous n'en revenions pas et quand il a pris sa canne pour aller se coucher l'un des hommes lui a demandé pourquoi, il avait toujours ses lunettes de soleil. L'homme lui a répondu qu'il était aveugle. Malgré que j'aie vu d'autres hommes plus forts que lui, il m'avait épaté. Je me souviens aussi qu'il nous a avoué à moi et à mon aide de camp qu'il nous avait sauvé la vie.
- Malgré mes infirmités, j'ai évité les deux trous de balles qui étaient devant la jeep et les ai ainsi sauvés du choc d'un par buffle.
Non seulement, il avait sorti la jeep, mais il nous avait évité à chacun une balle qui était destinée à un buffle qui était devant nous.
Hé bien brigadier, vous m'avez épaté encore plus que cet homme qui était sourd-muet unijambiste aveugle qui n'avait qu'un bras même s'il était un parachutiste et militaire émérite.
Brigadier, je vous décore de la médaille d'or du bouton rouge et la médaille de bronze des calamités nationales.
Le général n'en pouvait plus et se mit à chanter.
- Dans ma Benz Benz Benz, même si c'est une Dacia, Benz Benz Benz.
Dans sa soucoupe, le Pépère reprit l'espace très vite.
Il était content de rentrer et il était pressé.
Cela ne demanda que peu de temps et il arrivait déjà proche de la terre.
Sur terre, le poète était lui reparti vers l'épicerie pour acheter du pain.
C'est ainsi que Pépère arrivait juste en face de l'épicerie sur le champs.
- Toc toc toc, que faisons nous ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, quand est-ce que je vois ma mare, fle fle fle.
- Hé bien, Coin-coin, je dois avant rencontrer Grisou et je vais aller chercher un poulet avant d'aller vers chez mon brontosaure lunaire.
C'est ainsi qu'il arriva très vite vers l'arrière-boutique où se tenait la rôtissoire. Il était comme un enfant devant une tarte aux pommes.
- Alors, attention de ne pas se brûler les moustaches. Déjà, voyons où est bec de lièvre anorexique. Je ne la vois pas dans la boutique, c'est étrange, où, est-elle la vilaine. Sûrement en train d'en manger un pendant que de pauvres chats souffreteux comme Pépère sont en train de mourir de faim.
Elle arriva à cet instant et il n'eut que le temps de se cacher. Elle était avec un client et il semblait connaître la voix.
- Non, ce n'est pas possible mon squelettor soudanais qui picole du gin dans des verres en sable du Sahara, le salopard, il compte manger l'un de ces succulents poulets pendant que son chat crie la misère.
Il eut une idée et la mit en œuvre. Il avait vu sur le mur un bouton incendie et vit que le fil passait juste derrière l'endroit où il était. Il l'arracha avec ses griffes et le résultat fut immédiat. Tout le monde sortit.
Il donna un coup de patte sur le pied de la rôtissoire qui tomba au sol. Il prit un poulet et s'enfuya vers la soucoupe qui était invisible aux autres.
L'épicière dit au poète, un chat me vole un poulet, hé pirate, bandit rends moi ça.
Le Pépère continuait en disant, va te faire cuire un œuf d'éléphant vilaine, tu es tellement maigre que tu vas t'étouffer avec la ficelle, tu n'as pas besoin de poulet, sac dos.
Le poète dans sa tête se disait, c'est bizarre, on dirait Pépère.
Les deux restèrent ahuris en voyant le chat disparaître avec son poulet.
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Toujours très inventif cet ami Pépère
Merci Daniel pour ce partage
Amicalement
Gaby