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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Toutblanc n'en revenait pas de la révélation qu'avait fait, Pépère, sur son maître.
- Hé bien, c'est un drôle de phénomène ton maître, et il mange tout ce qui lui passe devant le nez à ce que je vois.
- Pourtant, il n'est pas bien épais, chat chat chat.
- Hé bien, oui, Grisou, il ne grossit pas, c'est désolant pour moi. Quand je pense que je dois faire très attention à tout ce que je mange, moi-même. Oui, je fais attention à ma ligne et j'y tiens. Après, on me traiterait de bouboule où de gros. Comme vous l'avez remarqué si je suis l'un des chats les plus sveltes de cette région, c'est que je surveille ma ligne.
- Pourtant, tu es assez gros, chat chat chat.
- Je ne suis pas gros, Toutblanc, mon ventre est une réserve d'intelligence. Oui, mon cerveau étant déjà extrêmement intelligent à un quotient intellectuel de six cents. Pour ne pas que celui-ci explose je stocke le reste de mon intelligence dans mon ventre. À savoir que même ma queue est une réserve d'intelligence comme mes oreilles et mes moustaches, chat chat chat.
Ce n'est pas dur mon surnom, c'est Chat-aubrillant ou Chatsanova.
- Hé bien, c'est exceptionnel ça, cette intelligence, chat chat chat.
- Oui, je suis aussi intelligent que mon maître mange tout ce qui lui passe devant le nez, hé bien, oui, Grisou, je suis le plus grand des chats.
- Au fait, tu penses qu'il en a pour longtemps avec ses courses ?
- Hé bien, Toutblanc, je pense que oui, et il n'est pas impossible de le voir revenir avec la Dacia et love colis.
Ha, bon, tu crois, Pépère ?
- J'en suis certain, Grisou, car il va en prendre le double. Puis il va en profiter pour aller à l'auberge des moines manger une vingtaine de crêpes après être passé à la boulangerie.
- Ha ce point-là, tu penses ?
- Oui, Toutblanc, je suis certain que si tu demandes à monsieur Google les horaires de la boulangerie Thauvin à Sancoins, tu auras comme réponse que c'est déjà fermé pour cause de rupture de stock.
Tu sais, une fois, je l'ai vu lire un poème sur mon chatmsung. Il était question de soupe au lard, et bien le gaillard en a mangé mon téléphone, ce n'est pas pour dire.
Oui, n'oubliez pas mes amis, c'est un glouton et il a des dents en titane dans le ventre. Sur sa carte d'identité, vous verrez une fausse civilité, Nom Poète, Prénom Rêveur, en fait, c'est Nom Ventre, Prénom, Surpatte, chat chat chat.
- Il est capable de manger du fer ?
- Oui, Grisou, et j'ai même été chatcarcéré en chat-prison avec lui, car nous étions soupçonnés de terrorisme. Hé bien, c'est à cause de son appétit, voilà l'homme tel qu'il est.
- En prison, pour avoir mangé, c'est étonnant.
- Hé bien, Grisou, c'est qu'il a mis le feu au restaurant.
- En mangeant, il a mis le feu au restaurant.
- Non, indirectement, Toutblanc, et c'est à cause de ça que nous avons été arrêté à l'aéroport et soupçonnés d'être des terroristes.
- C'est incompréhensible ton histoire, rajouta Lolo qui arrivait seulement de son coup de téléphone à sa chatmoureuse.
- je vais vous l'expliquer mes amis et vous allez tout comprendre.
Voilà, il avait besoin de moi pour aller en Irak et avoir un alibi. En réalité, il était parti là-bas pour acheter un stock d'armes de guerre. Il a fait faire un faux certificat vétérinaire par le torturien de Sancoins. Il avait mis dessus qu'ayant eu une forme grave de colza irakien, je devais aller en Irak justement pour prendre des bains de soleil.
C'est ainsi qu'il m'emmena à Orly dans une cage. Je me suis retrouvé dans la soute à bagages. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai sauvé l'équipage et les voyageurs d'un attentant.
J'étais donc dans ma cage à me morfondre. Pour passer le temps, je faisais des poèmes sur mon Chatmsung. C'est alors que je vis en face de moi dans une autre cage un kangourou. Pour passer le temps, ayant déjà assez écris, je décidais de discuter avec lui. Déjà, il me dit être né en Corée du Nord et que ses parents étaient italiens. Pour un kangourou, je trouvais ça étrange. Ensuite, il me dit qu'il était broyeur de corne de bœuf.
- Broyeur de cornes de bœuf, mais qu'est-ce que c'est que ça ?
- Hé bien, Grisou, tu n'as jamais mangé du corned de bœuf. C'est une sorte de pâtée fabriquée avec des cornes de bœuf broyées, d'où son non de corned de bœuf. D'habitude les gens qui font ce métier ont un bras gros comme une jambe.
- Ha, bon, et pourquoi ça, c'est bizarre.
- Pas du tout, Toutblanc, les cornes tombent dans une sorte bassine géante avec une manivelle sur le côté. La personne qui broie la tourne à longueur de journée. Autant dire que c'est très physique et qu'à force ça fait quadrupler les muscles du bras. Ce fut ce qui me mit la puce sur le dos. Ses bras étaient tous maigres. J'avais même pensé que c'était un kangourou anorexique.
Puis je me suis rendu compte qu'il avait une montre télécommande au poignet. Je compris que c'était un terroriste kamikaze déguisé en kangourou. C'est alors que j'ai brisé ma cage et j'ai été le terrassé dans la sienne. Ensuite, j'ai fait un trou dans la carlingue à coup de moustaches et l'ai jeté dans le vide.
Ensuite, j'ai réparé ma cage et je fus interrogé concernant le trou. C'est alors que j'ai expliqué qu'il y avait un kangourou terroriste et que celui-ci voulant monter sur l'avion poser une bombe avait fait ce trou. Alors moi avec mon souffle ultra puissant qui peut atteindre deux cent cinquante kilomètres à l'heure, je l'ai soufflé par le trou.
Je fus d'ailleurs largement félicité.
C'est comme ça que mon pyromane refroidisseur de vin coréen avec des glaçons chauds, fut invité dans un restaurant Français. C'était d'ailleurs le seul qu'il y ait eu là-bas.
Nous allons donc ensemble dîner puisque j'étais son alibi.
C'est alors qu'il se commande une omelette aux cèpes. Le garçon arrive avec sa poêle qui contenait une omelette pour trente personnes. Mon Gargantua lui fait signe de laisser la poêle. Le garçon n'était pas très content. C'est comme ça qu'il là mangeât dans la poêle et dans sa frénésie se mit à lécher le fond. À force de la lécher, il fit un trou dans le métal. Le garçon voyant qu'il avait fini vint la récupérer. Oui, d'autres clients attendaient et le cuisinier en avait besoin. Dans l'empressement, on lava la poêle sans voir le trou. C'est ainsi que l'huile passa à travers et que les fourneaux finissaient en feu.
Le cuisinier comprenant que ça venait de la poêle se dépêcha de la récupérer avant que l'ensemble du restaurant fût évacué et qu'il prit feu.
C'est comme ça que mon ventre sur patte pour ne pas être accusé, mangea la poêle. Il là jeta en l'air, et gloup, dans son ventre de glouton.
C'est alors qu'il me dit, Pépère, il y a un poil de chat dans la tasse de café. Vite, fuyons à l'aéroport, nous rentrons.
C'est comme ça que passant les portiques à l'aéroport l'alarme se déclenchait. Oui, c'était à cause du métal dans son ventre. Du coup, ils pensaient que nous avions des explosifs dans le ventre. C'est comme ça que l'on a fini en prison. C'est love colis de France qui fit jouer ses appuis auprès de Macron qu'elle connaît intimement. C'est Belala en personne qui est venu remettre deux faux passeports diplomatiques. Nous avions échappé de passer cinquante ans de prison là-bas.



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Cortisone

Maître Poète
#2
Toutblanc n'en revenait pas de la révélation qu'avait fait, Pépère, sur son maître.
- Hé bien, c'est un drôle de phénomène ton maître, et il mange tout ce qui lui passe devant le nez à ce que je vois.
- Pourtant, il n'est pas bien épais, chat chat chat.
- Hé bien, oui, Grisou, il ne grossit pas, c'est désolant pour moi. Quand je pense que je dois faire très attention à tout ce que je mange, moi-même. Oui, je fais attention à ma ligne et j'y tiens. Après, on me traiterait de bouboule où de gros. Comme vous l'avez remarqué si je suis l'un des chats les plus sveltes de cette région, c'est que je surveille ma ligne.
- Pourtant, tu es assez gros, chat chat chat.
- Je ne suis pas gros, Toutblanc, mon ventre est une réserve d'intelligence. Oui, mon cerveau étant déjà extrêmement intelligent à un quotient intellectuel de six cents. Pour ne pas que celui-ci explose je stocke le reste de mon intelligence dans mon ventre. À savoir que même ma queue est une réserve d'intelligence comme mes oreilles et mes moustaches, chat chat chat.
Ce n'est pas dur mon surnom, c'est Chat-aubrillant ou Chatsanova.
- Hé bien, c'est exceptionnel ça, cette intelligence, chat chat chat.
- Oui, je suis aussi intelligent que mon maître mange tout ce qui lui passe devant le nez, hé bien, oui, Grisou, je suis le plus grand des chats.
- Au fait, tu penses qu'il en a pour longtemps avec ses courses ?
- Hé bien, Toutblanc, je pense que oui, et il n'est pas impossible de le voir revenir avec la Dacia et love colis.
Ha, bon, tu crois, Pépère ?
- J'en suis certain, Grisou, car il va en prendre le double. Puis il va en profiter pour aller à l'auberge des moines manger une vingtaine de crêpes après être passé à la boulangerie.
- Ha ce point-là, tu penses ?
- Oui, Toutblanc, je suis certain que si tu demandes à monsieur Google les horaires de la boulangerie Thauvin à Sancoins, tu auras comme réponse que c'est déjà fermé pour cause de rupture de stock.
Tu sais, une fois, je l'ai vu lire un poème sur mon chatmsung. Il était question de soupe au lard, et bien le gaillard en a mangé mon téléphone, ce n'est pas pour dire.
Oui, n'oubliez pas mes amis, c'est un glouton et il a des dents en titane dans le ventre. Sur sa carte d'identité, vous verrez une fausse civilité, Nom Poète, Prénom Rêveur, en fait, c'est Nom Ventre, Prénom, Surpatte, chat chat chat.
- Il est capable de manger du fer ?
- Oui, Grisou, et j'ai même été chatcarcéré en chat-prison avec lui, car nous étions soupçonnés de terrorisme. Hé bien, c'est à cause de son appétit, voilà l'homme tel qu'il est.
- En prison, pour avoir mangé, c'est étonnant.
- Hé bien, Grisou, c'est qu'il a mis le feu au restaurant.
- En mangeant, il a mis le feu au restaurant.
- Non, indirectement, Toutblanc, et c'est à cause de ça que nous avons été arrêté à l'aéroport et soupçonnés d'être des terroristes.
- C'est incompréhensible ton histoire, rajouta Lolo qui arrivait seulement de son coup de téléphone à sa chatmoureuse.
- je vais vous l'expliquer mes amis et vous allez tout comprendre.
Voilà, il avait besoin de moi pour aller en Irak et avoir un alibi. En réalité, il était parti là-bas pour acheter un stock d'armes de guerre. Il a fait faire un faux certificat vétérinaire par le torturien de Sancoins. Il avait mis dessus qu'ayant eu une forme grave de colza irakien, je devais aller en Irak justement pour prendre des bains de soleil.
C'est ainsi qu'il m'emmena à Orly dans une cage. Je me suis retrouvé dans la soute à bagages. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai sauvé l'équipage et les voyageurs d'un attentant.
J'étais donc dans ma cage à me morfondre. Pour passer le temps, je faisais des poèmes sur mon Chatmsung. C'est alors que je vis en face de moi dans une autre cage un kangourou. Pour passer le temps, ayant déjà assez écris, je décidais de discuter avec lui. Déjà, il me dit être né en Corée du Nord et que ses parents étaient italiens. Pour un kangourou, je trouvais ça étrange. Ensuite, il me dit qu'il était broyeur de corne de bœuf.
- Broyeur de cornes de bœuf, mais qu'est-ce que c'est que ça ?
- Hé bien, Grisou, tu n'as jamais mangé du corned de bœuf. C'est une sorte de pâtée fabriquée avec des cornes de bœuf broyées, d'où son non de corned de bœuf. D'habitude les gens qui font ce métier ont un bras gros comme une jambe.
- Ha, bon, et pourquoi ça, c'est bizarre.
- Pas du tout, Toutblanc, les cornes tombent dans une sorte bassine géante avec une manivelle sur le côté. La personne qui broie la tourne à longueur de journée. Autant dire que c'est très physique et qu'à force ça fait quadrupler les muscles du bras. Ce fut ce qui me mit la puce sur le dos. Ses bras étaient tous maigres. J'avais même pensé que c'était un kangourou anorexique.
Puis je me suis rendu compte qu'il avait une montre télécommande au poignet. Je compris que c'était un terroriste kamikaze déguisé en kangourou. C'est alors que j'ai brisé ma cage et j'ai été le terrassé dans la sienne. Ensuite, j'ai fait un trou dans la carlingue à coup de moustaches et l'ai jeté dans le vide.
Ensuite, j'ai réparé ma cage et je fus interrogé concernant le trou. C'est alors que j'ai expliqué qu'il y avait un kangourou terroriste et que celui-ci voulant monter sur l'avion poser une bombe avait fait ce trou. Alors moi avec mon souffle ultra puissant qui peut atteindre deux cent cinquante kilomètres à l'heure, je l'ai soufflé par le trou.
Je fus d'ailleurs largement félicité.
C'est comme ça que mon pyromane refroidisseur de vin coréen avec des glaçons chauds, fut invité dans un restaurant Français. C'était d'ailleurs le seul qu'il y ait eu là-bas.
Nous allons donc ensemble dîner puisque j'étais son alibi.
C'est alors qu'il se commande une omelette aux cèpes. Le garçon arrive avec sa poêle qui contenait une omelette pour trente personnes. Mon Gargantua lui fait signe de laisser la poêle. Le garçon n'était pas très content. C'est comme ça qu'il là mangeât dans la poêle et dans sa frénésie se mit à lécher le fond. À force de la lécher, il fit un trou dans le métal. Le garçon voyant qu'il avait fini vint la récupérer. Oui, d'autres clients attendaient et le cuisinier en avait besoin. Dans l'empressement, on lava la poêle sans voir le trou. C'est ainsi que l'huile passa à travers et que les fourneaux finissaient en feu.
Le cuisinier comprenant que ça venait de la poêle se dépêcha de la récupérer avant que l'ensemble du restaurant fût évacué et qu'il prit feu.
C'est comme ça que mon ventre sur patte pour ne pas être accusé, mangea la poêle. Il là jeta en l'air, et gloup, dans son ventre de glouton.
C'est alors qu'il me dit, Pépère, il y a un poil de chat dans la tasse de café. Vite, fuyons à l'aéroport, nous rentrons.
C'est comme ça que passant les portiques à l'aéroport l'alarme se déclenchait. Oui, c'était à cause du métal dans son ventre. Du coup, ils pensaient que nous avions des explosifs dans le ventre. C'est comme ça que l'on a fini en prison. C'est love colis de France qui fit jouer ses appuis auprès de Macron qu'elle connaît intimement. C'est Belala en personne qui est venu remettre deux faux passeports diplomatiques. Nous avions échappé de passer cinquante ans de prison là-bas.



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Toujours de nouvelles aventures un régal
Merci Daniel
Amicalement Gaby