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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le long de la mare à Coin-coin les chats virent la troupe d'amis de sœur Mathilde repartir vers la brasserie du cul roux.
Le pape était un peu fâché après la sœur qui avait ridiculisé l'église, en s'affichant ivre en public.
- Hé bien vieille salade espagnole cultivée en Sibérie, on peut dire que tu en as fait des belles. Tu te rends compte que tu semblais avoir été arrosé avec du vin marocain produit en Israël. Et en plus arrosé par un jardinier alcoolique ayant bu de l'alcool de tomate chinoise poussé dans de l'engrais de maïs Serbe cultivée en Corse. Tu as déshonoré l'église en te montrant habillée en sœur. Tu t'es crue à la fête foraine des nains de jardin du village des boit-sans-soif.
- Tais-toi espèce de vieux mammouth irakien élevé au vin de messe saoudien. Ça arrive à tout le monde d'avoir trop bu un jour. Occupe-toi de ton théâtre Vaticanteux et de ton élevage de mille-pattes.
- Bon, ne nous façons pas ainsi, le principal étant que nous n'ayons pas été visités par le cacao minus.
- Hé bien, Professeur, était-il parti lui aussi à la fête foraine dont nous parlait le pape.
- C'est drôle, Monsieur le Pape, votre histoire de fête foraine. Ça me rappelle une histoire où j'y étais et avoir créé un deuxième, Hiroshima.
- Vous, monsieur bleu premier, mais vous n'êtes pas militaire. J'espère que ce n'était pas de la désobéissance civile et un cas de terrorisme avéré, sinon je vous colle dix ans de bouton rouge, non d'un militaire en tutu violet.
- Hé bien, en fait ce ne fut qu'une vilaine bêtise d'enfants, savez-vous, mon général.
- Mais raconter nous donc cette histoire monsieur le président.
- Oui, Monsieur le Professeur, mais ne la racontez pas après à vos virus, ha ha ha.
Hé bien voilà cette bêtise enfantine, monsieur Ourat.
Un été, nous étions en vacances en Bretagne dans un lieu très isolé, mais alors vraiment très isolé.
Un matin, mon père voit à l'épicerie du village qu'une fête foraine était donnée sur un espace sauvage, quelque vingt kilomètres plus loin.
Quand je vous dis que c'était vraiment isolé, c'est vraiment le cas. Les villages pour situer étant éloignés les uns des autres d'au moins vingt kilomètres. Et encore des villages d'une dizaine voir d'une vingtaine d'habitants maximum.
C'est alors que mon père me dit, fiston allons-y avec ta mère cet après-midi même.
C'est ce que nous fîmes. Donc, nous prîmes la route et quelque cinq kilomètres après le départ nous rencontrons un véhicule en panne. Le pauvre bougre s'était arrêté et ne pouvait plus redémarrer. C'est alors que mon père proposa mes services. À l'aide de mon cheveu, je fis la génératrice.
- Ha bon, monsieur bleu premier, mais comment cela est-il possible ?
- Voilà, Monsieur le Pape, en tenant la masse d'une main et posant la pointe du cheveu sur le plus de la batterie. À l'aide de mon cheveu, je fis la génératrice.
Puis nous avons repris la route en direction de la fête foraine.
C'est alors qu'en route, je n'arrêtais pas de jouer avec le poste et les feux de la voiture dès que mon père n'y faisait attention. Arrivés sur place, nous nous garons et mon père partit voir avec ma mère si l'endroit où nous étions était autorisé au stationnement. Oui en Bretagne la legislation routière était différente à cette époque un stationnement gênant pouvait entraîner un emprisonnement de dix ans.
Moi pendant ce temps, je jouais avec le poste, les feux, la radio, les clignotants, la ventilation, tout en chantant, je suis le survolté, j'ai de l'électricité, à revendre, où à prendre.
C'est comme ça que je mis la batterie à plat.
Autant vous dire que mon père était furax que j'aie vidé ainsi la batterie de l'auto.
Il me dit, pour la peine, tu iras aux autos tamponneuses et tu te chargeras en électricité avec le grillage métallique qui est au-dessus.
C'est donc ce que je fis et j'en fis des tours et des tours. L'attraction fut mon cheveu qui faisait des étincelles sur le grillage. Cela attira énormément de monde et le gérant du manège vit les gains qu'ils auraient s'il m'encourageait.
C'est ainsi qu'il se mit à nous faire des lancers de ballons de baudruche. Moi, j'étais survolté et je les crevais avec mon cheveu en roulant. J'en crevais ainsi des centaines. Oui, le gérant me lança, un défit, si j'en crevais plus de cent durant le tour du manège, je gagnais un tour. Ce fut comme ça que je fis au moins mille tours dans la journée.
Puis, le soir, je redémarrais avec regret la voiture de mon père et nous sommes partis.
L'endroit où était la fête foraine fut abandonné pour la nuit de la part de tous.
Oui, il n'y avait aucun risque pour la nuit qu'un voleur ne vint en cet endroit. Puis comme vous le savez en Bretagne la nuit les températures sont à moins soixante-dix degrés.
C'est dans la nuit que nous avons écouté une énorme explosion et que nous ressentîmes un souffle énorme.
Ce fut le matin en écoutant les informations que nous apprîmes qu'un avion avait atterri à Paris les ailes à moitié carbonisées et qu'un cratère de soixante mètres de profondeur pour vingt de large se fut créé à l'endroit où était la fête foraine.
Mon père dû remboursé l'avion et tous les manèges détruis. Voyez-vous une bêtise d'enfant de quelques millions de francs à l'époque.
- Mais que s'était-il passé ?
- Hé bien voilà professeur, les ballons que j'avais crevés tout l'après-midi contenaient de l'hélium et celui-ci s'était aggloméré dans le chapiteau.
Ce fut alors que l'avion passait à cet endroit et que le commandant de bord jeta un mégot de cigarette par le hublot et que celui-ci rencontrait l'hélium et qu'un deuxième site Hiroshima existe en Bretagne depuis ce jour.
Le Pépère avait vu l'information du petit Fripouillet, mais il ne vit que le titre.
C'est comme ça qu'il envoyait Lolo vers Cookie pour savoir si elle en savait un peu plus.
- Alors, brigadier Lolo, au rapport que savez-vous ?
- Écoute Pépère, déjà Fripouillet était bien à Lourdes.
Il a été retrouvé vers le soûlard en guenille après un terrible accident de la route à vélo avec son chat.
Le soûlard a été arrêté sur place et love colis avait encore une bouteille de rhum à la main. Elle déclara qu'au moment de l'accident cette bouteille avait été jeté d'une fenêtre.
D'après ce que j'ai compris, il risque soixante ans de prison incompressible. Pour défense, il a dit être handicapé et que la bouteille était une fiole d'eau de Lourdes qui s'étaitttransformé en whisky semble-t-il d'une façon miraculeuse.
Au début, il a été cru, car on pensait que c'était de l'eau jusqu'à ce que l'on analyse le liquide. Ils avaient dix grammes de sang par litre d'alcool de surcharge pondérale.
Voilà chef suprême de l'univers à vos ordres mon génér.... Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, car il entendait la sonnerie de son SMS et ça faisait ( c'est ta chattelove qui te smesse) alors il partit en courant pour vite répondre à Sybage.
Le Pépère était consterné de le voir partir en plein rapport.
- Ce chat est un mythomane, il raconte n'importe quoi.

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Pièces jointes

Cortisone

Maître Poète
#2
Le long de la mare à Coin-coin les chats virent la troupe d'amis de sœur Mathilde repartir vers la brasserie du cul roux.
Le pape était un peu fâché après la sœur qui avait ridiculisé l'église, en s'affichant ivre en public.
- Hé bien vieille salade espagnole cultivée en Sibérie, on peut dire que tu en as fait des belles. Tu te rends compte que tu semblais avoir été arrosé avec du vin marocain produit en Israël. Et en plus arrosé par un jardinier alcoolique ayant bu de l'alcool de tomate chinoise poussé dans de l'engrais de maïs Serbe cultivée en Corse. Tu as déshonoré l'église en te montrant habillée en sœur. Tu t'es crue à la fête foraine des nains de jardin du village des boit-sans-soif.
- Tais-toi espèce de vieux mammouth irakien élevé au vin de messe saoudien. Ça arrive à tout le monde d'avoir trop bu un jour. Occupe-toi de ton théâtre Vaticanteux et de ton élevage de mille-pattes.
- Bon, ne nous façons pas ainsi, le principal étant que nous n'ayons pas été visités par le cacao minus.
- Hé bien, Professeur, était-il parti lui aussi à la fête foraine dont nous parlait le pape.
- C'est drôle, Monsieur le Pape, votre histoire de fête foraine. Ça me rappelle une histoire où j'y étais et avoir créé un deuxième, Hiroshima.
- Vous, monsieur bleu premier, mais vous n'êtes pas militaire. J'espère que ce n'était pas de la désobéissance civile et un cas de terrorisme avéré, sinon je vous colle dix ans de bouton rouge, non d'un militaire en tutu violet.
- Hé bien, en fait ce ne fut qu'une vilaine bêtise d'enfants, savez-vous, mon général.
- Mais raconter nous donc cette histoire monsieur le président.
- Oui, Monsieur le Professeur, mais ne la racontez pas après à vos virus, ha ha ha.
Hé bien voilà cette bêtise enfantine, monsieur Ourat.
Un été, nous étions en vacances en Bretagne dans un lieu très isolé, mais alors vraiment très isolé.
Un matin, mon père voit à l'épicerie du village qu'une fête foraine était donnée sur un espace sauvage, quelque vingt kilomètres plus loin.
Quand je vous dis que c'était vraiment isolé, c'est vraiment le cas. Les villages pour situer étant éloignés les uns des autres d'au moins vingt kilomètres. Et encore des villages d'une dizaine voir d'une vingtaine d'habitants maximum.
C'est alors que mon père me dit, fiston allons-y avec ta mère cet après-midi même.
C'est ce que nous fîmes. Donc, nous prîmes la route et quelque cinq kilomètres après le départ nous rencontrons un véhicule en panne. Le pauvre bougre s'était arrêté et ne pouvait plus redémarrer. C'est alors que mon père proposa mes services. À l'aide de mon cheveu, je fis la génératrice.
- Ha bon, monsieur bleu premier, mais comment cela est-il possible ?
- Voilà, Monsieur le Pape, en tenant la masse d'une main et posant la pointe du cheveu sur le plus de la batterie. À l'aide de mon cheveu, je fis la génératrice.
Puis nous avons repris la route en direction de la fête foraine.
C'est alors qu'en route, je n'arrêtais pas de jouer avec le poste et les feux de la voiture dès que mon père n'y faisait attention. Arrivés sur place, nous nous garons et mon père partit voir avec ma mère si l'endroit où nous étions était autorisé au stationnement. Oui en Bretagne la legislation routière était différente à cette époque un stationnement gênant pouvait entraîner un emprisonnement de dix ans.
Moi pendant ce temps, je jouais avec le poste, les feux, la radio, les clignotants, la ventilation, tout en chantant, je suis le survolté, j'ai de l'électricité, à revendre, où à prendre.
C'est comme ça que je mis la batterie à plat.
Autant vous dire que mon père était furax que j'aie vidé ainsi la batterie de l'auto.
Il me dit, pour la peine, tu iras aux autos tamponneuses et tu te chargeras en électricité avec le grillage métallique qui est au-dessus.
C'est donc ce que je fis et j'en fis des tours et des tours. L'attraction fut mon cheveu qui faisait des étincelles sur le grillage. Cela attira énormément de monde et le gérant du manège vit les gains qu'ils auraient s'il m'encourageait.
C'est ainsi qu'il se mit à nous faire des lancers de ballons de baudruche. Moi, j'étais survolté et je les crevais avec mon cheveu en roulant. J'en crevais ainsi des centaines. Oui, le gérant me lança, un défit, si j'en crevais plus de cent durant le tour du manège, je gagnais un tour. Ce fut comme ça que je fis au moins mille tours dans la journée.
Puis, le soir, je redémarrais avec regret la voiture de mon père et nous sommes partis.
L'endroit où était la fête foraine fut abandonné pour la nuit de la part de tous.
Oui, il n'y avait aucun risque pour la nuit qu'un voleur ne vint en cet endroit. Puis comme vous le savez en Bretagne la nuit les températures sont à moins soixante-dix degrés.
C'est dans la nuit que nous avons écouté une énorme explosion et que nous ressentîmes un souffle énorme.
Ce fut le matin en écoutant les informations que nous apprîmes qu'un avion avait atterri à Paris les ailes à moitié carbonisées et qu'un cratère de soixante mètres de profondeur pour vingt de large se fut créé à l'endroit où était la fête foraine.
Mon père dû remboursé l'avion et tous les manèges détruis. Voyez-vous une bêtise d'enfant de quelques millions de francs à l'époque.
- Mais que s'était-il passé ?
- Hé bien voilà professeur, les ballons que j'avais crevés tout l'après-midi contenaient de l'hélium et celui-ci s'était aggloméré dans le chapiteau.
Ce fut alors que l'avion passait à cet endroit et que le commandant de bord jeta un mégot de cigarette par le hublot et que celui-ci rencontrait l'hélium et qu'un deuxième site Hiroshima existe en Bretagne depuis ce jour.
Le Pépère avait vu l'information du petit Fripouillet, mais il ne vit que le titre.
C'est comme ça qu'il envoyait Lolo vers Cookie pour savoir si elle en savait un peu plus.
- Alors, brigadier Lolo, au rapport que savez-vous ?
- Écoute Pépère, déjà Fripouillet était bien à Lourdes.
Il a été retrouvé vers le soûlard en guenille après un terrible accident de la route à vélo avec son chat.
Le soûlard a été arrêté sur place et love colis avait encore une bouteille de rhum à la main. Elle déclara qu'au moment de l'accident cette bouteille avait été jeté d'une fenêtre.
D'après ce que j'ai compris, il risque soixante ans de prison incompressible. Pour défense, il a dit être handicapé et que la bouteille était une fiole d'eau de Lourdes qui s'étaitttransformé en whisky semble-t-il d'une façon miraculeuse.
Au début, il a été cru, car on pensait que c'était de l'eau jusqu'à ce que l'on analyse le liquide. Ils avaient dix grammes de sang par litre d'alcool de surcharge pondérale.
Voilà chef suprême de l'univers à vos ordres mon génér.... Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, car il entendait la sonnerie de son SMS et ça faisait ( c'est ta chattelove qui te smesse) alors il partit en courant pour vite répondre à Sybage.
Le Pépère était consterné de le voir partir en plein rapport.
- Ce chat est un mythomane, il raconte n'importe quoi.

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Encore de belles péripéties
Heureusement que c'est Pépère sinon on n'y croirait pas
Merci Daniel
Amicalement
Gaby