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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À la brasserie, entre l'histoire du professeur Ourat et celle du président, les autres convives en restèrent bouche bée.
- Hé bien, professeur, votre femme dut être contente que vous lui fîtes nettoyer les dents, ha ha ha.
- Oui, si on peut dire, car elle me quitta par la suite.
- Ha, bon, elle vous quitta alors que vous lui sauviez les dents.
- Hé bien, oui monsieur bleu, je vais vous expliquer cela. Je vous dirais aussi qu'elle partit avec un milliardaire et je ne là revit plus jamais.
Pourtant elle était fort laide, mais que voulez-vous, c'est la vie.
- Tout cela paraît pittoresque monsieur le professeur, que vous en éveillassiez mon intérêt. Contez-m'en encore plus, je suis friand de ces histoires d'unions insensées, la belle et la bête, barbe bleue et ses superbes maîtresses, allez, dites moi.
- Hé bien, je l'ai rencontré dans mon laboratoire. Elle était mon assistante et mes virus avaient peur d'elle figurez-vous. Elle me plut de suite avec ses un mètre trente-deux et ses pieds en quarante-sept. Me disais-je même à l'époque, avec de tels pieds même par forte tempête elle ne risqua point de s'envoler.
Puis la passion me prit et je l'épousais. Donc, après cette histoire de dents jaunes, elle passait au tribunal et fut condamnée à dix minutes de travail d'intérêt général. La peine fut très lourde, vous le voyez vous-même. Elle dut un matin aider des enfants à traverser la route devant les écoles où elle passait à plus de cent tous les jours. Elle avait peur que les enfants soient traumatisés à vie. La veille, elle me dit avoir besoin de chaussures et comme elle n'avait plus de permis, je l'emmenais. C'est ainsi que j'appris qu'elle faisait à présent du trente-sept à la place du quarante-sept. Je me suis dit ses pieds ont rétréci, cela arrive, peut être les a-t-elle plongés dans de l'eau trop chaude.
Le lendemain, je l'emmène exécuter sa peine et rentre à la maison.
- Pour dix minutes, vous auriez pu l'attendre votre laideron.
- Oui, monsieur licorne, mais une amie devait la reconduire.
Donc, j'étais à table et je déjeunais avec des virus à moi. Nous parlions d'Ébola et de ses parents quand elle arriva. Je l'entendais parler avec son amie devant la porte puis elle rentra dans le salon et arriva à la cuisine. Hé bien, me dis-je elle est sacrément mignonne son amie.
J'avais réfléchis tout haut et me sentis gêné alors que mes virus d'un doigt sur la bouche me faisaient signe, chut.
C'est alors que j'entends, c'est à moi que tu parles. La voix ne trompe pas et c'est ma femme qui était devant moi.
- Elle était devenue belle ?
- Oui, et elle a fini miss univers ce n'est pas pour dire. C'est de ma faute, car quand j'ai trafiqué mon virus qui devait nettoyer ses dents, j'ai fait une erreur sur le dosage de l'ADN de la beauté de la dent. Et du coup, cet ADN s'occupait de son visage et son corps voilà, monsieur bleu, vous savez à présent.
Dans l'hélicoptère, la fille à Pépère était sous le charme de ses histoires.
Leïlanne ne disait rien et Liettuje était déjà en train d'attendre le retour de Coin-coin, Pêcheur et Choûanne.
- Hé bien, tu t'en es réchappé mon papa.
- Oui, mais c'est quand même honteux quand je pense l'avoir sauvé d'une panthère.
- Tu l'as sauvé d'une Panthère ?
- Oui ma fille, c'était un soir à la résidence de vacances à Lourdes. Elle attendait le président qui est un ami à elle. Oui, ils se sont rencontré à la grotte des moines où ils ont prié ensemble le jour du rôti justement.
- Mais d'où venait cette panthère ?
- Hé bien, elle était à un homme que love autel avait fait arrêter et la bête lui avait déclaré vengeance.
Donc, ce soir-là, j'étais à la cuisine et je préparais la ratatouille pour son invité. À force d'éplucher des légumes, j'ai failli avoir un décollement des griffes.
Donc, d'un seul coup l'interphone retenti et elle demande s'il y a quelqu'un.
Une voix répond, non, c'est l'interphone tout seul qui sonne pour essayer s'il marche bien, lol.
Ha, bon, qu'elle répond et se rassoit.
Nouvel appel, elle dit qui est-ce, l'interphone ?
- Non, c'est le président, je vous faisais une blague.
Montez qu'elle lui dit après avoir ouvert le sas.
Il arrive et ils commencent à parler ensemble. Puis il vint dans la cuisine derrière moi. C'est alors qu'elle était sortie qu'il s'est saisi du frigo qui disparut dans son ventre. Elle arrive en courant et lui dit que se passe-t-il. C'est alors qu'il lui répond, je suis Érèhtnap la panthère, tu te souviens de moi. C'est alors que la bête enleva son déguisement de président.
Je me suis interposé en montrant les dents et j'ai miaulé si fort que la bête est partie en courant jusqu'à premier aéroport pour repartir en Afrique, voilà ma fille et oui Pépère, n'est pas manchot.
Pendant ce temps dans l'univers, au-dessus de Pépère. Coin-coin et Pêcheur faisaient leur travail de guide à merveille et guidaient Choûanne.
Ils appelèrent Pépère tous ensemble.
- Allô, ici, Coin-coin, fle fle fle allô ici Coin-coin, Pépère est-ce que tu me reçois.
- Allô ici Pépère, je te reçois, que se passe-t-il.
- Allô, ici, Pêcheur, toc toc toc, nous avons en visuel la planète, toc toc toc.
- C'est génial et ma ma maman fée, où est-elle ?
- Allô, ici, Choûanne, mon Tigrou que j'aime, je suis vers toi d'ici peu. Nous arrivons sur Sumixorp. Nous voyons le bois où vous devez être, Liettuje est déjà sur place, à tout de suite mon love chat.
- Allô, ici, Leïlanne, économisez vos, batteries, je laisse seul Pépère avec sa fille et ses petits-enfants et la rejoins.
Du coup, Leïlanne partit vers le bois.
Pépère devant sa fille envoyait des bisous vers l'univers avec sa patte.
- Choûanne ma maman fée de l'espace, je t'aime, je t'aime.
- Regarde mon papa, tes petits enfants dorment tous.
- Oui ma fille, allons donc rejoindre Leïlanne et Liettuje pour accueillir ma love maman fée.
Ettesion laissa ses petits dormir et suivit Pépère qui commença à aller vers le bois. Au bout de dix mètres, il vit sur le sable passer devant lui un insecte qui ressemblait à une coccinelle.
Il eut la peur de sa vie et fit un bond sur le côté de deux mètres en l'air. Sa fille, qui le précédait, ne comprit pas ce qui se passait, car la petite bête était déjà loin, elle accourut à ses côtés.
- Que s'est-il passé mon papa ?
Il marchait en simulant une douleur sous la patte et il boitillait.
- Je me suis rentré une écharde sous la patte aieeeee aieeeee !
Il vit à côté de lui une écorce de chêne en pointe, que le vent où la mer avait déposé ici.
Étant donné que sa fille ne put la voir, il la ramassa discrètement et fit semblant de se la retirer de sous le talon.
- Aieeeee aieeeee ! Regarde, c'est un rail que j'avais dans le pied, ma fille.
Il repartit en boitant sur un mètre puis marcha normalement.
- Tu n'as déjà plus mal mon papounet.
- Non ne t'inquiète pas, je suis hyper résistant, une fois comme ça, j'ai reçu un morceau de réacteur d'avion qui avait été éjecté d'un concorde qui s'était écrasé en banlieue, une heure d'évanouissement et bien, tu me croiras où pas une heure après, je jouais au chauveteur des chats à proximité de l'accident.
- whaaaaaa mon papa tu es vraiment très résistant et fort.
Sa fille se sentait rassurée, Pépère marchait déjà très vite et elle n'en revenait pas vu la taille de l'écharde qu'il s'était lui-même retiré de la patte.
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#2
À la brasserie, entre l'histoire du professeur Ourat et celle du président, les autres convives en restèrent bouche bée.
- Hé bien, professeur, votre femme dut être contente que vous lui fîtes nettoyer les dents, ha ha ha.
- Oui, si on peut dire, car elle me quitta par la suite.
- Ha, bon, elle vous quitta alors que vous lui sauviez les dents.
- Hé bien, oui monsieur bleu, je vais vous expliquer cela. Je vous dirais aussi qu'elle partit avec un milliardaire et je ne là revit plus jamais.
Pourtant elle était fort laide, mais que voulez-vous, c'est la vie.
- Tout cela paraît pittoresque monsieur le professeur, que vous en éveillassiez mon intérêt. Contez-m'en encore plus, je suis friand de ces histoires d'unions insensées, la belle et la bête, barbe bleue et ses superbes maîtresses, allez, dites moi.
- Hé bien, je l'ai rencontré dans mon laboratoire. Elle était mon assistante et mes virus avaient peur d'elle figurez-vous. Elle me plut de suite avec ses un mètre trente-deux et ses pieds en quarante-sept. Me disais-je même à l'époque, avec de tels pieds même par forte tempête elle ne risqua point de s'envoler.
Puis la passion me prit et je l'épousais. Donc, après cette histoire de dents jaunes, elle passait au tribunal et fut condamnée à dix minutes de travail d'intérêt général. La peine fut très lourde, vous le voyez vous-même. Elle dut un matin aider des enfants à traverser la route devant les écoles où elle passait à plus de cent tous les jours. Elle avait peur que les enfants soient traumatisés à vie. La veille, elle me dit avoir besoin de chaussures et comme elle n'avait plus de permis, je l'emmenais. C'est ainsi que j'appris qu'elle faisait à présent du trente-sept à la place du quarante-sept. Je me suis dit ses pieds ont rétréci, cela arrive, peut être les a-t-elle plongés dans de l'eau trop chaude.
Le lendemain, je l'emmène exécuter sa peine et rentre à la maison.
- Pour dix minutes, vous auriez pu l'attendre votre laideron.
- Oui, monsieur licorne, mais une amie devait la reconduire.
Donc, j'étais à table et je déjeunais avec des virus à moi. Nous parlions d'Ébola et de ses parents quand elle arriva. Je l'entendais parler avec son amie devant la porte puis elle rentra dans le salon et arriva à la cuisine. Hé bien, me dis-je elle est sacrément mignonne son amie.
J'avais réfléchis tout haut et me sentis gêné alors que mes virus d'un doigt sur la bouche me faisaient signe, chut.
C'est alors que j'entends, c'est à moi que tu parles. La voix ne trompe pas et c'est ma femme qui était devant moi.
- Elle était devenue belle ?
- Oui, et elle a fini miss univers ce n'est pas pour dire. C'est de ma faute, car quand j'ai trafiqué mon virus qui devait nettoyer ses dents, j'ai fait une erreur sur le dosage de l'ADN de la beauté de la dent. Et du coup, cet ADN s'occupait de son visage et son corps voilà, monsieur bleu, vous savez à présent.
Dans l'hélicoptère, la fille à Pépère était sous le charme de ses histoires.
Leïlanne ne disait rien et Liettuje était déjà en train d'attendre le retour de Coin-coin, Pêcheur et Choûanne.
- Hé bien, tu t'en es réchappé mon papa.
- Oui, mais c'est quand même honteux quand je pense l'avoir sauvé d'une panthère.
- Tu l'as sauvé d'une Panthère ?
- Oui ma fille, c'était un soir à la résidence de vacances à Lourdes. Elle attendait le président qui est un ami à elle. Oui, ils se sont rencontré à la grotte des moines où ils ont prié ensemble le jour du rôti justement.
- Mais d'où venait cette panthère ?
- Hé bien, elle était à un homme que love autel avait fait arrêter et la bête lui avait déclaré vengeance.
Donc, ce soir-là, j'étais à la cuisine et je préparais la ratatouille pour son invité. À force d'éplucher des légumes, j'ai failli avoir un décollement des griffes.
Donc, d'un seul coup l'interphone retenti et elle demande s'il y a quelqu'un.
Une voix répond, non, c'est l'interphone tout seul qui sonne pour essayer s'il marche bien, lol.
Ha, bon, qu'elle répond et se rassoit.
Nouvel appel, elle dit qui est-ce, l'interphone ?
- Non, c'est le président, je vous faisais une blague.
Montez qu'elle lui dit après avoir ouvert le sas.
Il arrive et ils commencent à parler ensemble. Puis il vint dans la cuisine derrière moi. C'est alors qu'elle était sortie qu'il s'est saisi du frigo qui disparut dans son ventre. Elle arrive en courant et lui dit que se passe-t-il. C'est alors qu'il lui répond, je suis Érèhtnap la panthère, tu te souviens de moi. C'est alors que la bête enleva son déguisement de président.
Je me suis interposé en montrant les dents et j'ai miaulé si fort que la bête est partie en courant jusqu'à premier aéroport pour repartir en Afrique, voilà ma fille et oui Pépère, n'est pas manchot.
Pendant ce temps dans l'univers, au-dessus de Pépère. Coin-coin et Pêcheur faisaient leur travail de guide à merveille et guidaient Choûanne.
Ils appelèrent Pépère tous ensemble.
- Allô, ici, Coin-coin, fle fle fle allô ici Coin-coin, Pépère est-ce que tu me reçois.
- Allô ici Pépère, je te reçois, que se passe-t-il.
- Allô, ici, Pêcheur, toc toc toc, nous avons en visuel la planète, toc toc toc.
- C'est génial et ma ma maman fée, où est-elle ?
- Allô, ici, Choûanne, mon Tigrou que j'aime, je suis vers toi d'ici peu. Nous arrivons sur Sumixorp. Nous voyons le bois où vous devez être, Liettuje est déjà sur place, à tout de suite mon love chat.
- Allô, ici, Leïlanne, économisez vos, batteries, je laisse seul Pépère avec sa fille et ses petits-enfants et la rejoins.
Du coup, Leïlanne partit vers le bois.
Pépère devant sa fille envoyait des bisous vers l'univers avec sa patte.
- Choûanne ma maman fée de l'espace, je t'aime, je t'aime.
- Regarde mon papa, tes petits enfants dorment tous.
- Oui ma fille, allons donc rejoindre Leïlanne et Liettuje pour accueillir ma love maman fée.
Ettesion laissa ses petits dormir et suivit Pépère qui commença à aller vers le bois. Au bout de dix mètres, il vit sur le sable passer devant lui un insecte qui ressemblait à une coccinelle.
Il eut la peur de sa vie et fit un bond sur le côté de deux mètres en l'air. Sa fille, qui le précédait, ne comprit pas ce qui se passait, car la petite bête était déjà loin, elle accourut à ses côtés.
- Que s'est-il passé mon papa ?
Il marchait en simulant une douleur sous la patte et il boitillait.
- Je me suis rentré une écharde sous la patte aieeeee aieeeee !
Il vit à côté de lui une écorce de chêne en pointe, que le vent où la mer avait déposé ici.
Étant donné que sa fille ne put la voir, il la ramassa discrètement et fit semblant de se la retirer de sous le talon.
- Aieeeee aieeeee ! Regarde, c'est un rail que j'avais dans le pied, ma fille.
Il repartit en boitant sur un mètre puis marcha normalement.
- Tu n'as déjà plus mal mon papounet.
- Non ne t'inquiète pas, je suis hyper résistant, une fois comme ça, j'ai reçu un morceau de réacteur d'avion qui avait été éjecté d'un concorde qui s'était écrasé en banlieue, une heure d'évanouissement et bien, tu me croiras où pas une heure après, je jouais au chauveteur des chats à proximité de l'accident.
- whaaaaaa mon papa tu es vraiment très résistant et fort.
Sa fille se sentait rassurée, Pépère marchait déjà très vite et elle n'en revenait pas vu la taille de l'écharde qu'il s'était lui-même retiré de la patte.
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Qu'est-ce-qu'on peut rire avec Pépère ! Merci Daniel
 

Cortisone

Maître Poète
#3
À la brasserie, entre l'histoire du professeur Ourat et celle du président, les autres convives en restèrent bouche bée.
- Hé bien, professeur, votre femme dut être contente que vous lui fîtes nettoyer les dents, ha ha ha.
- Oui, si on peut dire, car elle me quitta par la suite.
- Ha, bon, elle vous quitta alors que vous lui sauviez les dents.
- Hé bien, oui monsieur bleu, je vais vous expliquer cela. Je vous dirais aussi qu'elle partit avec un milliardaire et je ne là revit plus jamais.
Pourtant elle était fort laide, mais que voulez-vous, c'est la vie.
- Tout cela paraît pittoresque monsieur le professeur, que vous en éveillassiez mon intérêt. Contez-m'en encore plus, je suis friand de ces histoires d'unions insensées, la belle et la bête, barbe bleue et ses superbes maîtresses, allez, dites moi.
- Hé bien, je l'ai rencontré dans mon laboratoire. Elle était mon assistante et mes virus avaient peur d'elle figurez-vous. Elle me plut de suite avec ses un mètre trente-deux et ses pieds en quarante-sept. Me disais-je même à l'époque, avec de tels pieds même par forte tempête elle ne risqua point de s'envoler.
Puis la passion me prit et je l'épousais. Donc, après cette histoire de dents jaunes, elle passait au tribunal et fut condamnée à dix minutes de travail d'intérêt général. La peine fut très lourde, vous le voyez vous-même. Elle dut un matin aider des enfants à traverser la route devant les écoles où elle passait à plus de cent tous les jours. Elle avait peur que les enfants soient traumatisés à vie. La veille, elle me dit avoir besoin de chaussures et comme elle n'avait plus de permis, je l'emmenais. C'est ainsi que j'appris qu'elle faisait à présent du trente-sept à la place du quarante-sept. Je me suis dit ses pieds ont rétréci, cela arrive, peut être les a-t-elle plongés dans de l'eau trop chaude.
Le lendemain, je l'emmène exécuter sa peine et rentre à la maison.
- Pour dix minutes, vous auriez pu l'attendre votre laideron.
- Oui, monsieur licorne, mais une amie devait la reconduire.
Donc, j'étais à table et je déjeunais avec des virus à moi. Nous parlions d'Ébola et de ses parents quand elle arriva. Je l'entendais parler avec son amie devant la porte puis elle rentra dans le salon et arriva à la cuisine. Hé bien, me dis-je elle est sacrément mignonne son amie.
J'avais réfléchis tout haut et me sentis gêné alors que mes virus d'un doigt sur la bouche me faisaient signe, chut.
C'est alors que j'entends, c'est à moi que tu parles. La voix ne trompe pas et c'est ma femme qui était devant moi.
- Elle était devenue belle ?
- Oui, et elle a fini miss univers ce n'est pas pour dire. C'est de ma faute, car quand j'ai trafiqué mon virus qui devait nettoyer ses dents, j'ai fait une erreur sur le dosage de l'ADN de la beauté de la dent. Et du coup, cet ADN s'occupait de son visage et son corps voilà, monsieur bleu, vous savez à présent.
Dans l'hélicoptère, la fille à Pépère était sous le charme de ses histoires.
Leïlanne ne disait rien et Liettuje était déjà en train d'attendre le retour de Coin-coin, Pêcheur et Choûanne.
- Hé bien, tu t'en es réchappé mon papa.
- Oui, mais c'est quand même honteux quand je pense l'avoir sauvé d'une panthère.
- Tu l'as sauvé d'une Panthère ?
- Oui ma fille, c'était un soir à la résidence de vacances à Lourdes. Elle attendait le président qui est un ami à elle. Oui, ils se sont rencontré à la grotte des moines où ils ont prié ensemble le jour du rôti justement.
- Mais d'où venait cette panthère ?
- Hé bien, elle était à un homme que love autel avait fait arrêter et la bête lui avait déclaré vengeance.
Donc, ce soir-là, j'étais à la cuisine et je préparais la ratatouille pour son invité. À force d'éplucher des légumes, j'ai failli avoir un décollement des griffes.
Donc, d'un seul coup l'interphone retenti et elle demande s'il y a quelqu'un.
Une voix répond, non, c'est l'interphone tout seul qui sonne pour essayer s'il marche bien, lol.
Ha, bon, qu'elle répond et se rassoit.
Nouvel appel, elle dit qui est-ce, l'interphone ?
- Non, c'est le président, je vous faisais une blague.
Montez qu'elle lui dit après avoir ouvert le sas.
Il arrive et ils commencent à parler ensemble. Puis il vint dans la cuisine derrière moi. C'est alors qu'elle était sortie qu'il s'est saisi du frigo qui disparut dans son ventre. Elle arrive en courant et lui dit que se passe-t-il. C'est alors qu'il lui répond, je suis Érèhtnap la panthère, tu te souviens de moi. C'est alors que la bête enleva son déguisement de président.
Je me suis interposé en montrant les dents et j'ai miaulé si fort que la bête est partie en courant jusqu'à premier aéroport pour repartir en Afrique, voilà ma fille et oui Pépère, n'est pas manchot.
Pendant ce temps dans l'univers, au-dessus de Pépère. Coin-coin et Pêcheur faisaient leur travail de guide à merveille et guidaient Choûanne.
Ils appelèrent Pépère tous ensemble.
- Allô, ici, Coin-coin, fle fle fle allô ici Coin-coin, Pépère est-ce que tu me reçois.
- Allô ici Pépère, je te reçois, que se passe-t-il.
- Allô, ici, Pêcheur, toc toc toc, nous avons en visuel la planète, toc toc toc.
- C'est génial et ma ma maman fée, où est-elle ?
- Allô, ici, Choûanne, mon Tigrou que j'aime, je suis vers toi d'ici peu. Nous arrivons sur Sumixorp. Nous voyons le bois où vous devez être, Liettuje est déjà sur place, à tout de suite mon love chat.
- Allô, ici, Leïlanne, économisez vos, batteries, je laisse seul Pépère avec sa fille et ses petits-enfants et la rejoins.
Du coup, Leïlanne partit vers le bois.
Pépère devant sa fille envoyait des bisous vers l'univers avec sa patte.
- Choûanne ma maman fée de l'espace, je t'aime, je t'aime.
- Regarde mon papa, tes petits enfants dorment tous.
- Oui ma fille, allons donc rejoindre Leïlanne et Liettuje pour accueillir ma love maman fée.
Ettesion laissa ses petits dormir et suivit Pépère qui commença à aller vers le bois. Au bout de dix mètres, il vit sur le sable passer devant lui un insecte qui ressemblait à une coccinelle.
Il eut la peur de sa vie et fit un bond sur le côté de deux mètres en l'air. Sa fille, qui le précédait, ne comprit pas ce qui se passait, car la petite bête était déjà loin, elle accourut à ses côtés.
- Que s'est-il passé mon papa ?
Il marchait en simulant une douleur sous la patte et il boitillait.
- Je me suis rentré une écharde sous la patte aieeeee aieeeee !
Il vit à côté de lui une écorce de chêne en pointe, que le vent où la mer avait déposé ici.
Étant donné que sa fille ne put la voir, il la ramassa discrètement et fit semblant de se la retirer de sous le talon.
- Aieeeee aieeeee ! Regarde, c'est un rail que j'avais dans le pied, ma fille.
Il repartit en boitant sur un mètre puis marcha normalement.
- Tu n'as déjà plus mal mon papounet.
- Non ne t'inquiète pas, je suis hyper résistant, une fois comme ça, j'ai reçu un morceau de réacteur d'avion qui avait été éjecté d'un concorde qui s'était écrasé en banlieue, une heure d'évanouissement et bien, tu me croiras où pas une heure après, je jouais au chauveteur des chats à proximité de l'accident.
- whaaaaaa mon papa tu es vraiment très résistant et fort.
Sa fille se sentait rassurée, Pépère marchait déjà très vite et elle n'en revenait pas vu la taille de l'écharde qu'il s'était lui-même retiré de la patte.
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Un nouvel épisode hilarant surtout le passage avec la femme du professeur
Bonne soirée
Amicalement
Gaby