À Sancoins dans la brasserie, s'était la consternation.
Le père Mike était introuvable et personne ne savait ce qu'il était devenu.
- Dis-moi, vielle brebis plutôt que de te gratter les tétines pour voir si tu as du vin pour tes nabots, tu ferrais mieux d'essayer de contacter le père Mike. Je ne comprends pas, tu as toujours l'Ipomme à la main et tu n'es même pas capable d'essayer de le joindre.
-Hé bien, je te répondrai déjà que tu pourrais être poli avec moi. Vous êtes témoin monsieur bleu, ce vieux bouc pour berger d'Alaska est un homme méchant. Bien sûr que je lui aie envoyé un message qu'est-ce que tu crois. Tu pensais peut-être que j'allais m'adresser à Dieu. À cette heure, il dort avec une blonde ou une brune alors frontons lui la paix. Oui, monsieur, moi, j'utilise les technologies actuelles.
- Écoutez, nous sortons un peu du débat sur le cacao minus, il me semble.
- Oui, vous avez raison professeur et c'est l'insécurité qui demeure.
- Vous avez raison Thomas, il n'y a que le vieux rhinocéros qui ne s'en rend pas compte. Au fait, monsieur cordon, avez-vous des nouvelles de Chatdore et du remède.
- Oui, il a commencé ses travaux dès qu'il a été informé de la nomination de Jean Cassetête. Concernant la sécurité, j'ai l'idée d'un bon ministre pour ce poste, Dupont Martini.
- C'est un drôle de nom.
- Oui, vous avez raison Thomas.
- Je me demande son origine ?
- Hé bien, c'est mon père qui lui trouva ce nom lors d'une soirée où je fis le réchauffe vin, car son vrai nom est, Donpud Itterom. Oui, c'est d'origine plutonienne, il nous vient de Pluton.
- Ha oui, c'est étonnant ça, mais racontez nous ça monsieur le président.
- Hé bien voilà, je l'ai connu alors que j'étais dans ma seizième année. Nous avions été avec mon père à une cérémonie et après avons été à une réception où il nous fut servi du vin chaud. Mon père quelque temps plus tôt avait été accusé à tort d'un vol de banane. Oui, lors de courses avec ma mère, arrivée à la caisse, elle se rendit compte qu'elle avait oublié de prendre des bananes. Mon père retourna les chercher et arrivé à la caisse la caissière lui dit qu'il manque une banane. C'est comme ça que les gendarmes vinrent le chercher et qu'il fit soixante-douze heures de garde à vue avant comparution immédiate. Jugé en première instanc, il prit six années de prison. Autant vous dire que son avocat était carrément nul. C'est comme ça que par l'entremise de Brigitte qui n'était pas encore mon épouse mon père fut défendu une seconde fois par un jeune avocat qui était l'un de ses amis, le jeune Itterom. Elle me le recommanda comme ayant fait la meilleure fac qu'il y ait sur Pluton. Oui, mon père avait fait appel. C'est ainsi que ce jeune diplômé réussit à avoir sa grâce. Donc c'est tout naturellement qu'il fut invité à cette cérémonie. Arrivés sur place, nous apprenons qu'une panne de gaz fait que le vin chaud doit être annulé. Mon père me regarde et me dit, est-ce que tu peux faire chauffer ce vin avec ton cheveu. Bien sûr, lui dis-je et c'est ainsi qu'à l'aide d'une fourchette, je me branchais sur une prise et transmormais mon cheveu en résistance.
Malheureusement, je le fis trop chauffer et ça devint du Martini. Le jeune avocat de mon père qui était friand de vin chaud en but immodérément. Il se mit alors à danser sur les tables une chorégraphie de Bad époustouflante. Mon père n'arrêtait pas de lui lancer, hé Dupont la joie, Martini. Et c'est ainsi que le nom resta, puisque c'était plus facile de dire Dupont Martini que Donpud Itterom. Sur la planète Pluton, le changement d'état-civil étant possible, il choisit ce nom, voilà maintenant vous savez.
Pendant ce temps, proche ou loin de Xyron selon que l'on se place dans l'univers, la fée Leïlanne continuait sa progression avec la petite Ettesion.
- Alors, est-ce que tu es bien reposée et as-tu bu assez ma petite minette.
- Ho, oui Leïlanne et cette eau était très bonne. Ça me rappelle quand j'ai sauvé ma maîtresse d'une fontaine diabolique.
- Toi Ettesion, tu as sauvé ta maîtresse ?
- Oui, jolie fée laisse moi te raconter l'histoire. Un matin, où j'étais parti rendre visite à Cookie, je rencontre en route mon chamoureux, Chatdore. Il me dit que ma maîtresse avait besoin d'aide pour une enquête. Malheureusement, Pépère était en Irak et mon chamoureux devait partir aux États-Unis pour une autre mission.
C'est comme ça que ce jour-là, je pris l'hélicoptère et que j'ai rejoint ma love maîtresse que j'aime.
Elle était à Sancoins proche de la mare à Coin-coin où un monstre d'eau était venu y séjourner. C'est alors que l'eau de la mare est sortie de son lit et s'est élevé le monstre fontaine devant ma maîtresse et qu'il essaya de la capturer.
Très vite, j'ai été cherché un morceau de ficelle un bâton et des allumettes.
Avec la ficelle, j'ai fait un lasso et j'ai saisi le monstre à la nuque. Ensuite, avec le bâton, je l'ai assommé. Ensuite, j'ai fait un feu avec les allumettes et il s'est évaporé. Pour me remercier ma maîtresse m'a invité au restaurant et j'ai mangé un bon poulet. Coin-coin était là aussi et il a mangé du poisson en donnant des morceaux de pain à des petites pattes qui étaient venus avec ma maîtresse.
- Hé bien, tu es aussi forte que ton papa, ma petite Ettesion.
- Oui, Leïlanne et j'ai les même Nike, chat chat chat.
Plus loin, le long du bois Pépère avait enfin repris tous ses esprits. Juste en face dans le bois, il vit des arbres à moitié déracinés et des branches partout. Il se rendit compte qu'il avait eu beaucoup de chance de retomber sur l'arbre. Cet animal avait une force phénoménale. En repartant vers le bois, il s'était cogné dans la porte de l'hélicoptère. Du coup, celle-ci s'était redressée. Pépère s'en aperçut de loin, mais ne dit rien aux autres.
- Toc toc toc, tu as eu beaucoup de chance, vu comme il t'a éjecté en l'air, toc toc toc.
- Hé bien, oui et non, pourquoi tu as tout vu ?
- Fle fle fle, nous n'avons rien vu, fle fle fle tu étais derrière nous. La seule chose que j'ai vu c'est des petites pattes, fle fle fle.
- Toc toc toc, moi aussi, je t'ai vu faire l'hélicoptère, mais je n'ai pas vu la bataille, toc toc toc. Il y a un sacré chantier dans le bois.
- Oui, ce fut une sacrée peur pour lui surtout.
- Fle fle fle, mais que dis-tu, fle fle fle.
- Je vais vous expliquer ce qui s'est passé, puisque vous n'avez rien vu, vous autres.
Voilà après votre envol, je me suis retourné et j'ai vu le monstre arrivé. Peut-être n'avez vous pas vu, mais il avait en guise de griffes des crochets de scorpion. Puis il était muni de dents de crocodile en titane et avait une corne en métal entre les deux yeux. Je me suis donc retourné et toutes griffes dehors, j'ai miaulé extrêmement fort. D'ailleurs, regardez ces arbres cassés et ces branches au sol. Ils sont le résultat de mon cri qui a provoqué un tremblement de terre local autour de moi d'une magnitude d'au moins trente sur l'échelle du Robert. Regardez l'hélicoptère, c'est la deuxième preuve, vous voyez la porte est redressée, car l'appareil est tombé sur le côté par la secousse du sol. Terrorisé, il commença à claquer des dents si fort que ça faisait vibrer la carlingue de l'hélicoptère. C'est alors que je lui ai donné un coup de moustache pour le terrasser et un coup de queue pour l'achever. Puis, je l'ai soulevé et fait tournoyer à bout de patte avant de le jeter. C'est en le lançant que sa corne a accroché la sangle du chat-ventre et que je me suis retrouvé à faire l'hélicoptère dans l'arbre, après avoir été éjecté. Voilà maintenant vous savez ce terrible combat, vous autres qui n'avez rien vu.
Le père Mike était introuvable et personne ne savait ce qu'il était devenu.
- Dis-moi, vielle brebis plutôt que de te gratter les tétines pour voir si tu as du vin pour tes nabots, tu ferrais mieux d'essayer de contacter le père Mike. Je ne comprends pas, tu as toujours l'Ipomme à la main et tu n'es même pas capable d'essayer de le joindre.
-Hé bien, je te répondrai déjà que tu pourrais être poli avec moi. Vous êtes témoin monsieur bleu, ce vieux bouc pour berger d'Alaska est un homme méchant. Bien sûr que je lui aie envoyé un message qu'est-ce que tu crois. Tu pensais peut-être que j'allais m'adresser à Dieu. À cette heure, il dort avec une blonde ou une brune alors frontons lui la paix. Oui, monsieur, moi, j'utilise les technologies actuelles.
- Écoutez, nous sortons un peu du débat sur le cacao minus, il me semble.
- Oui, vous avez raison professeur et c'est l'insécurité qui demeure.
- Vous avez raison Thomas, il n'y a que le vieux rhinocéros qui ne s'en rend pas compte. Au fait, monsieur cordon, avez-vous des nouvelles de Chatdore et du remède.
- Oui, il a commencé ses travaux dès qu'il a été informé de la nomination de Jean Cassetête. Concernant la sécurité, j'ai l'idée d'un bon ministre pour ce poste, Dupont Martini.
- C'est un drôle de nom.
- Oui, vous avez raison Thomas.
- Je me demande son origine ?
- Hé bien, c'est mon père qui lui trouva ce nom lors d'une soirée où je fis le réchauffe vin, car son vrai nom est, Donpud Itterom. Oui, c'est d'origine plutonienne, il nous vient de Pluton.
- Ha oui, c'est étonnant ça, mais racontez nous ça monsieur le président.
- Hé bien voilà, je l'ai connu alors que j'étais dans ma seizième année. Nous avions été avec mon père à une cérémonie et après avons été à une réception où il nous fut servi du vin chaud. Mon père quelque temps plus tôt avait été accusé à tort d'un vol de banane. Oui, lors de courses avec ma mère, arrivée à la caisse, elle se rendit compte qu'elle avait oublié de prendre des bananes. Mon père retourna les chercher et arrivé à la caisse la caissière lui dit qu'il manque une banane. C'est comme ça que les gendarmes vinrent le chercher et qu'il fit soixante-douze heures de garde à vue avant comparution immédiate. Jugé en première instanc, il prit six années de prison. Autant vous dire que son avocat était carrément nul. C'est comme ça que par l'entremise de Brigitte qui n'était pas encore mon épouse mon père fut défendu une seconde fois par un jeune avocat qui était l'un de ses amis, le jeune Itterom. Elle me le recommanda comme ayant fait la meilleure fac qu'il y ait sur Pluton. Oui, mon père avait fait appel. C'est ainsi que ce jeune diplômé réussit à avoir sa grâce. Donc c'est tout naturellement qu'il fut invité à cette cérémonie. Arrivés sur place, nous apprenons qu'une panne de gaz fait que le vin chaud doit être annulé. Mon père me regarde et me dit, est-ce que tu peux faire chauffer ce vin avec ton cheveu. Bien sûr, lui dis-je et c'est ainsi qu'à l'aide d'une fourchette, je me branchais sur une prise et transmormais mon cheveu en résistance.
Malheureusement, je le fis trop chauffer et ça devint du Martini. Le jeune avocat de mon père qui était friand de vin chaud en but immodérément. Il se mit alors à danser sur les tables une chorégraphie de Bad époustouflante. Mon père n'arrêtait pas de lui lancer, hé Dupont la joie, Martini. Et c'est ainsi que le nom resta, puisque c'était plus facile de dire Dupont Martini que Donpud Itterom. Sur la planète Pluton, le changement d'état-civil étant possible, il choisit ce nom, voilà maintenant vous savez.
Pendant ce temps, proche ou loin de Xyron selon que l'on se place dans l'univers, la fée Leïlanne continuait sa progression avec la petite Ettesion.
- Alors, est-ce que tu es bien reposée et as-tu bu assez ma petite minette.
- Ho, oui Leïlanne et cette eau était très bonne. Ça me rappelle quand j'ai sauvé ma maîtresse d'une fontaine diabolique.
- Toi Ettesion, tu as sauvé ta maîtresse ?
- Oui, jolie fée laisse moi te raconter l'histoire. Un matin, où j'étais parti rendre visite à Cookie, je rencontre en route mon chamoureux, Chatdore. Il me dit que ma maîtresse avait besoin d'aide pour une enquête. Malheureusement, Pépère était en Irak et mon chamoureux devait partir aux États-Unis pour une autre mission.
C'est comme ça que ce jour-là, je pris l'hélicoptère et que j'ai rejoint ma love maîtresse que j'aime.
Elle était à Sancoins proche de la mare à Coin-coin où un monstre d'eau était venu y séjourner. C'est alors que l'eau de la mare est sortie de son lit et s'est élevé le monstre fontaine devant ma maîtresse et qu'il essaya de la capturer.
Très vite, j'ai été cherché un morceau de ficelle un bâton et des allumettes.
Avec la ficelle, j'ai fait un lasso et j'ai saisi le monstre à la nuque. Ensuite, avec le bâton, je l'ai assommé. Ensuite, j'ai fait un feu avec les allumettes et il s'est évaporé. Pour me remercier ma maîtresse m'a invité au restaurant et j'ai mangé un bon poulet. Coin-coin était là aussi et il a mangé du poisson en donnant des morceaux de pain à des petites pattes qui étaient venus avec ma maîtresse.
- Hé bien, tu es aussi forte que ton papa, ma petite Ettesion.
- Oui, Leïlanne et j'ai les même Nike, chat chat chat.
Plus loin, le long du bois Pépère avait enfin repris tous ses esprits. Juste en face dans le bois, il vit des arbres à moitié déracinés et des branches partout. Il se rendit compte qu'il avait eu beaucoup de chance de retomber sur l'arbre. Cet animal avait une force phénoménale. En repartant vers le bois, il s'était cogné dans la porte de l'hélicoptère. Du coup, celle-ci s'était redressée. Pépère s'en aperçut de loin, mais ne dit rien aux autres.
- Toc toc toc, tu as eu beaucoup de chance, vu comme il t'a éjecté en l'air, toc toc toc.
- Hé bien, oui et non, pourquoi tu as tout vu ?
- Fle fle fle, nous n'avons rien vu, fle fle fle tu étais derrière nous. La seule chose que j'ai vu c'est des petites pattes, fle fle fle.
- Toc toc toc, moi aussi, je t'ai vu faire l'hélicoptère, mais je n'ai pas vu la bataille, toc toc toc. Il y a un sacré chantier dans le bois.
- Oui, ce fut une sacrée peur pour lui surtout.
- Fle fle fle, mais que dis-tu, fle fle fle.
- Je vais vous expliquer ce qui s'est passé, puisque vous n'avez rien vu, vous autres.
Voilà après votre envol, je me suis retourné et j'ai vu le monstre arrivé. Peut-être n'avez vous pas vu, mais il avait en guise de griffes des crochets de scorpion. Puis il était muni de dents de crocodile en titane et avait une corne en métal entre les deux yeux. Je me suis donc retourné et toutes griffes dehors, j'ai miaulé extrêmement fort. D'ailleurs, regardez ces arbres cassés et ces branches au sol. Ils sont le résultat de mon cri qui a provoqué un tremblement de terre local autour de moi d'une magnitude d'au moins trente sur l'échelle du Robert. Regardez l'hélicoptère, c'est la deuxième preuve, vous voyez la porte est redressée, car l'appareil est tombé sur le côté par la secousse du sol. Terrorisé, il commença à claquer des dents si fort que ça faisait vibrer la carlingue de l'hélicoptère. C'est alors que je lui ai donné un coup de moustache pour le terrasser et un coup de queue pour l'achever. Puis, je l'ai soulevé et fait tournoyer à bout de patte avant de le jeter. C'est en le lançant que sa corne a accroché la sangle du chat-ventre et que je me suis retrouvé à faire l'hélicoptère dans l'arbre, après avoir été éjecté. Voilà maintenant vous savez ce terrible combat, vous autres qui n'avez rien vu.
