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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Toublanc n'était pas loin de Sancoins à présent, mais il croisa la route de Knarf et son pilote allait si vite que les pauvres chats prirent plein de poussière dans les yeux.
- Lui aussi, mais c'est quoi cette région !
Qui est cet ivrogne, ce n'est pas possible à la fin !
- Oui, tu as raison Lolo, c'est un inconscient, soit qu'il est bu où qu'il conduise avec un problème de santé.
- Non, Toublanc, je pense plutôt qu'il avait bu tout simplement.
Il aurait bien besoin de croiser la route de Yonac Nartreb, c'est incroyable cette histoire.
Ou bien, il ne voit pas clair et a peut-être besoin de ce que j'ai inventé pour Jules César.
- Tu as connu Jules César, toi Lolo, mais où ça ?
- Hé bien, en mission avec Pépère J'ai été son enseignant à l'ENA
- Cette école existait déjà du temps de César, tu es sûr mon copain ?
- Non, mais je veux parler de l'école des névrosés Athéniens.
Oui, j'y étais enseignant et je lui ai appris la politique, car il était sans cesse sur Wikipedia pour telle ou telle chose de s'en tenir au courant.
D'ailleurs à ce propos Freud, m'a dit un jour que je m'y étais mal pris, bref.
Donc, à cette époque, on écrivait sur la pierre avec un burin. Il recevait des éclats dans les yeux et quand, il repartait avec son char que Pépère avait motorisé avec des panneaux solaires. Oui, c'était encore une idée de Nicolas, d'ailleurs ça avait toute une histoire avec Pépère, bref.
Donc, à cause de la poussière, il roulait dans tous les sens. Les gens le traitaient d'alcoolique et il était complètement dépassé. Il vient me voir un jour où je travaillais sur la création du Denier ( bien qu'il voulait imposer l'euro, bref) il me dit Lolo, toi l'inventeur de l'eau qui sèche le linge en le l'avant que pouvons-nous faire ?
J'ai inventé les lunettes de protection et par la suite les lunettes de vue, car il avait une cirrhose de l'œil gauche. Voilà Toublanc et comme tu vois les lunettes existes toujours.
Pendant ce temps, sur Xyron, tout le monde attendait des nouvelles de nos voyageurs avec impatience.
Les astronautes scrutaient l'ambre noire sans relâche. Leurs puissants appareils mesuraient avec précision toutes les fréquences qu'elle émettait.
Si un corps étranger passait dedans même sans le voir, grâce à sa fréquence et à l'aide d'un spectromètre, ils pouvaient le reconstituer sur l'écran.
Malheureusement, aucun signe des soucoupes.
De l'autre côté dans un univers parallèle, Choûanne ne s'était absolument pas échouée sur la même planète. Elle était tombée par chance sur un petit astéroïde qui gravitait au-dessus de la planète où s'étaient échoués ses amis.
Sur ce petit caillou vivait une tribut de miaou qui étaient de suite devenu ses amis. Elle était en train d'élaborer un plan avec eux pour retourner de l'autre côté de l'ambre noire.
C'est alors qu'elle apprit par l'un d'eux que le trou noir avait été traversé par cinq objets qui semblaient êtres des soucoupes. Elle fut rassurée, car quand Leïlanne était passée de l'autre côté avec elle, celle-ci ne l'avait pas suivie. Ce qu'elle pensait était le fait que Leïlanne par on ne sait quel mystère avait emprunter les couloirs du temps et elle était revenu bien avant d'être aspirée avec elle et elle avait dû rejoindre, Pépère, Ettesion, Coin-coin, Pêcheur et Liettuje qui devaient être ces visiteurs qui étaient passés à travers le trou noir. Enfin, elle avait espoir de tous les retrouver.
Sur la planète qui n'était pas très loin de cet astéroïde, nos compagnons effectuaient leurs recherches.
Leïlanne avançait avec prudence dans la forêt avec Ettesion sur son dos. Liettuje suivait à bonne distance prête à intervenir en cas d'urgence.
- Alors petit cuissot est-ce que tu es bien sur mes épaules ?
- Oui, c'est très bien comme ça, mes bébés ne sont pas trop secoués. Je peux te demander quelque chose, Leïlanne ?
- Bien sûr mon petit bonbon que tu peux, que veux tu ?
- Dans l'immédiat rien, si ce n'est que j'ai très soif. Je voulais te demander à notre retour sur terre si tu voulais être la marraine de mes petits. Puis autre chose, demander à mon Papa qu'il retrouve son savon, car il est très négligé, je trouve. Je n'ai pas osé le lui en parler, mais il a une drôle d'odeur sur lui, chat chat chat.
- Oui, je suis d'accord pour être la marraine de tes petits et je parlerai à Pépère ne t'inquiète pas.
La fée s'arrêta et fit apparaître une fontaine comme celle qu'ils avaient vu le long de la plage.
- Tiens, mon petit bouchon bois à volonté déjà.
- Alors la fontaine, s'était toi, fée Leïlanne, tu es géniale.
- Oui, chut, bois, c'est un secret.
Pépère revint du bois en courant aussi vite qu'il y était allé.
Une méchante odeur le suivait et tout le monde compris qu'il avait été faire ses affaires dans la forêt.
Personne ne lui en tint rigueur.
- Toc toc toc, quand partons nous toc toc toc. Vite, il faut retrouver Leïlanne, toc toc toc. Satané bec, je ne comprends pas comment j'ai fait, toc toc toc.
- Excusez-moi, j'ai dû courir pour éliminer une crampe sur mes griffes avant.
Ce qui est embêtant, c'est que je me suis accroché à la porte de l'appareil et elle est toute tordue.
- Fle fle fle, ce n'est pas grave, fle fle fle, il ne fait pas froid sur cette planète, fle fle fle.
- Toc toc toc, c'est vrai ça ne peut pas changer comme ça en un rien de temps, toc toc toc.
- Hé bien, détrompez-vous mes amis, écoutez cette histoire qu'il m'est arrivée à la brigade une fois.
- Toc toc toc, et nos recherches, toc toc toc.
- Oui, Pêcheur, nous partons après je vous raconte mon histoire, ça finira de passer ma crampe aux griffes.
Donc, il y a de ça environ un moment. Oui, c'est bien ça, un moment déjà, pour situer avec précision.
Donc, à ce moment-là, l'hiver arrivait et il faisait encore assez chaud. Puis en l'espace d'une dizaine de secondes, la température descendit à moins de cinquante degrés dans notre région.
Ce jour-là, j'étais chez love guêpe et elle regardait les informations. C'est alors que Poivrot annonçait cette baisse subite des températures que cela arriva alors qu'il n'avait même pas fini sa phrase. J'étais devant la fenêtre et je buvais un verre de lait. C'est alors que je reçus un glaçon sur la patte et que love télé m'emmena chez le tortionnaire de Sancoins. Je ne précise pas qu'ils en ont profité pour se visser le bouchon à grand coup de louche à spaghetti, pendant que mon plâtre séchait. Puis nous sommes rentrés à l'appartement et elle me dit, vite, allumons le radiateur. C'est alors qu'elle s'aperçoit qu'il ne marchait plus. Forcément, sa facture avait été payée d'une mauvaise somme, elle avait oublié quatre euros. Du coup comme elle est gendarme et qu'elle doit montrer l'exemple, ils lui avaient coupé. Je lui ai dit, et si on fermait la fenêtre. Oui, je précise qu'elle ne là ferme jamais pour cause de réchauffement intérieur à grand coup de lampées de rhum.
C'est alors que j'ai essayé de les fermer et que j'ai écroulé toute la façade. Oui, que je vous explique pourquoi. Ma tondeuse Argentine pour vignoble coréen avait soudé les gonds, car elle se plaignait qu'elles se fermaient toute seules.
Et voilà comment, je me suis retrouvé à faire le maçon par moins cinquante degrés avec un pied dans le plâtre. Sans compter que j'étais réduit à lécher la glace autant dire sans boire. Elle s'écriait, vas-y Pépère encore un parpaing.
Et puis une fois fini, je fus mis sur un vélo pour activer une génératrice pour produire du courant, vas-y Pépère pédale qu'elle me disait, moi pauvre miséreux un pied dans le plâtre.
Donc, voyez le temps peut changer très vite.


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Cortisone

Maître Poète
#2
Toublanc n'était pas loin de Sancoins à présent, mais il croisa la route de Knarf et son pilote allait si vite que les pauvres chats prirent plein de poussière dans les yeux.
- Lui aussi, mais c'est quoi cette région !
Qui est cet ivrogne, ce n'est pas possible à la fin !
- Oui, tu as raison Lolo, c'est un inconscient, soit qu'il est bu où qu'il conduise avec un problème de santé.
- Non, Toublanc, je pense plutôt qu'il avait bu tout simplement.
Il aurait bien besoin de croiser la route de Yonac Nartreb, c'est incroyable cette histoire.
Ou bien, il ne voit pas clair et a peut-être besoin de ce que j'ai inventé pour Jules César.
- Tu as connu Jules César, toi Lolo, mais où ça ?
- Hé bien, en mission avec Pépère J'ai été son enseignant à l'ENA
- Cette école existait déjà du temps de César, tu es sûr mon copain ?
- Non, mais je veux parler de l'école des névrosés Athéniens.
Oui, j'y étais enseignant et je lui ai appris la politique, car il était sans cesse sur Wikipedia pour telle ou telle chose de s'en tenir au courant.
D'ailleurs à ce propos Freud, m'a dit un jour que je m'y étais mal pris, bref.
Donc, à cette époque, on écrivait sur la pierre avec un burin. Il recevait des éclats dans les yeux et quand, il repartait avec son char que Pépère avait motorisé avec des panneaux solaires. Oui, c'était encore une idée de Nicolas, d'ailleurs ça avait toute une histoire avec Pépère, bref.
Donc, à cause de la poussière, il roulait dans tous les sens. Les gens le traitaient d'alcoolique et il était complètement dépassé. Il vient me voir un jour où je travaillais sur la création du Denier ( bien qu'il voulait imposer l'euro, bref) il me dit Lolo, toi l'inventeur de l'eau qui sèche le linge en le l'avant que pouvons-nous faire ?
J'ai inventé les lunettes de protection et par la suite les lunettes de vue, car il avait une cirrhose de l'œil gauche. Voilà Toublanc et comme tu vois les lunettes existes toujours.
Pendant ce temps, sur Xyron, tout le monde attendait des nouvelles de nos voyageurs avec impatience.
Les astronautes scrutaient l'ambre noire sans relâche. Leurs puissants appareils mesuraient avec précision toutes les fréquences qu'elle émettait.
Si un corps étranger passait dedans même sans le voir, grâce à sa fréquence et à l'aide d'un spectromètre, ils pouvaient le reconstituer sur l'écran.
Malheureusement, aucun signe des soucoupes.
De l'autre côté dans un univers parallèle, Choûanne ne s'était absolument pas échouée sur la même planète. Elle était tombée par chance sur un petit astéroïde qui gravitait au-dessus de la planète où s'étaient échoués ses amis.
Sur ce petit caillou vivait une tribut de miaou qui étaient de suite devenu ses amis. Elle était en train d'élaborer un plan avec eux pour retourner de l'autre côté de l'ambre noire.
C'est alors qu'elle apprit par l'un d'eux que le trou noir avait été traversé par cinq objets qui semblaient êtres des soucoupes. Elle fut rassurée, car quand Leïlanne était passée de l'autre côté avec elle, celle-ci ne l'avait pas suivie. Ce qu'elle pensait était le fait que Leïlanne par on ne sait quel mystère avait emprunter les couloirs du temps et elle était revenu bien avant d'être aspirée avec elle et elle avait dû rejoindre, Pépère, Ettesion, Coin-coin, Pêcheur et Liettuje qui devaient être ces visiteurs qui étaient passés à travers le trou noir. Enfin, elle avait espoir de tous les retrouver.
Sur la planète qui n'était pas très loin de cet astéroïde, nos compagnons effectuaient leurs recherches.
Leïlanne avançait avec prudence dans la forêt avec Ettesion sur son dos. Liettuje suivait à bonne distance prête à intervenir en cas d'urgence.
- Alors petit cuissot est-ce que tu es bien sur mes épaules ?
- Oui, c'est très bien comme ça, mes bébés ne sont pas trop secoués. Je peux te demander quelque chose, Leïlanne ?
- Bien sûr mon petit bonbon que tu peux, que veux tu ?
- Dans l'immédiat rien, si ce n'est que j'ai très soif. Je voulais te demander à notre retour sur terre si tu voulais être la marraine de mes petits. Puis autre chose, demander à mon Papa qu'il retrouve son savon, car il est très négligé, je trouve. Je n'ai pas osé le lui en parler, mais il a une drôle d'odeur sur lui, chat chat chat.
- Oui, je suis d'accord pour être la marraine de tes petits et je parlerai à Pépère ne t'inquiète pas.
La fée s'arrêta et fit apparaître une fontaine comme celle qu'ils avaient vu le long de la plage.
- Tiens, mon petit bouchon bois à volonté déjà.
- Alors la fontaine, s'était toi, fée Leïlanne, tu es géniale.
- Oui, chut, bois, c'est un secret.
Pépère revint du bois en courant aussi vite qu'il y était allé.
Une méchante odeur le suivait et tout le monde compris qu'il avait été faire ses affaires dans la forêt.
Personne ne lui en tint rigueur.
- Toc toc toc, quand partons nous toc toc toc. Vite, il faut retrouver Leïlanne, toc toc toc. Satané bec, je ne comprends pas comment j'ai fait, toc toc toc.
- Excusez-moi, j'ai dû courir pour éliminer une crampe sur mes griffes avant.
Ce qui est embêtant, c'est que je me suis accroché à la porte de l'appareil et elle est toute tordue.
- Fle fle fle, ce n'est pas grave, fle fle fle, il ne fait pas froid sur cette planète, fle fle fle.
- Toc toc toc, c'est vrai ça ne peut pas changer comme ça en un rien de temps, toc toc toc.
- Hé bien, détrompez-vous mes amis, écoutez cette histoire qu'il m'est arrivée à la brigade une fois.
- Toc toc toc, et nos recherches, toc toc toc.
- Oui, Pêcheur, nous partons après je vous raconte mon histoire, ça finira de passer ma crampe aux griffes.
Donc, il y a de ça environ un moment. Oui, c'est bien ça, un moment déjà, pour situer avec précision.
Donc, à ce moment-là, l'hiver arrivait et il faisait encore assez chaud. Puis en l'espace d'une dizaine de secondes, la température descendit à moins de cinquante degrés dans notre région.
Ce jour-là, j'étais chez love guêpe et elle regardait les informations. C'est alors que Poivrot annonçait cette baisse subite des températures que cela arriva alors qu'il n'avait même pas fini sa phrase. J'étais devant la fenêtre et je buvais un verre de lait. C'est alors que je reçus un glaçon sur la patte et que love télé m'emmena chez le tortionnaire de Sancoins. Je ne précise pas qu'ils en ont profité pour se visser le bouchon à grand coup de louche à spaghetti, pendant que mon plâtre séchait. Puis nous sommes rentrés à l'appartement et elle me dit, vite, allumons le radiateur. C'est alors qu'elle s'aperçoit qu'il ne marchait plus. Forcément, sa facture avait été payée d'une mauvaise somme, elle avait oublié quatre euros. Du coup comme elle est gendarme et qu'elle doit montrer l'exemple, ils lui avaient coupé. Je lui ai dit, et si on fermait la fenêtre. Oui, je précise qu'elle ne là ferme jamais pour cause de réchauffement intérieur à grand coup de lampées de rhum.
C'est alors que j'ai essayé de les fermer et que j'ai écroulé toute la façade. Oui, que je vous explique pourquoi. Ma tondeuse Argentine pour vignoble coréen avait soudé les gonds, car elle se plaignait qu'elles se fermaient toute seules.
Et voilà comment, je me suis retrouvé à faire le maçon par moins cinquante degrés avec un pied dans le plâtre. Sans compter que j'étais réduit à lécher la glace autant dire sans boire. Elle s'écriait, vas-y Pépère encore un parpaing.
Et puis une fois fini, je fus mis sur un vélo pour activer une génératrice pour produire du courant, vas-y Pépère pédale qu'elle me disait, moi pauvre miséreux un pied dans le plâtre.
Donc, voyez le temps peut changer très vite.


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Encore de belles aventures
Merci Daniel
Amicalement
Gaby