Un peu plus haut que les nuages portent l'aile de l'hirondelle, là où les anges sèment la blanche neige, une soucoupe filait à toute allure.
La fée Chouânne se dirigeait vers Xyron.
Elle venait de Mercure où elle était passée en vitesse. Elle était partie de Sancoins laissant le Père Mike sur l'estrade et s'était empressée d'aller chercher, Ainos, la chatmoureuse à Pépère.
Il n'était pas au courant et sera agréablement surpris de la retrouver sur Xyron se disait-elle. Ainsi elle n'était plus en danger sur cette planète où les Charniens étaient déjà à sa recherche.
Pendant que Pépère racontait ses histoires sa love chatte approchait de la planète aux deux soleils.
La fée Chouanne arrivait enfin à la surface de la planète.
Ainos fut surprise par la couleur du ciel. L'azur était couvert de nuages qui semblaient être des fleurs et des papillons géants, prêt à s'élancer vers l'univers comme si celui-ci lui ouvrait ses bras.
Les habitants de la planète étaient réunis devant l'horizon où brillaient deux soleils. L'un était de couleur orangé et l'autre tirait sur le violet. Chouânne donna une paire de lunettes de soleil en lui disant.
- Ma jolie petite minette, il est l'heure que je te quitte un peu.
- Mais où vas-tu ? Est-ce que Pépère est déjà ici ?
- Je dois aller voir les fées pour savoir où en est la situation sur les papillons nuage.
Non, ton chatmoureux arrivera plus tard avec la fée Leïlanne.
Je vais rejoindre les fées qui m'attendent là-bas et je te laisse ces lunettes pour admirer les deux astres qui vont s'unir avec un nouveau jour qui commence.
La minette resta toute seule posa les lunettes et se mit à regarder les deux soleils. Ils se rapprochaient l'un de l'autre tout doucement tandis que dessous les nuages étaient comme aspirés par les rayons qui en émanaient. Les deux astres finirent par entrer l'un dans l'autre et ne firent plus qu'un seul de couleur ocre. L'azur montait vers ce nouvel objet et ce fut très rapide. L'astre absorba les nuages et il se retrouva avec des ailes et disparut dans le vide sous ses yeux. La nuit se fit brusquement et les étoiles apparurent. Un système d'éclairage au sol se fit et une lumière partielle permettait de voir distinctement autour de soi.
La fée revint assez vite et se posa à son poste de pilotage.
- Où allons-nous, jolie fée ?
- Je dois aller voir la montagne aux papillons.
- Qu'est-ce que c'est la montagne aux papillons ?
- Hé bien, c'est un mont qui fait plus de sept mille mètres de hauteur. Il crache des vapeurs qui font naître des nuages. Ceux-ci se transforment en papillons qui avec leurs ailes régulent la température au sol. C'est pour ça qu'il fait beaucoup plus chaud en ce moment, car le virus tue ces papillons qui régulant la température au sol empêche l'un des soleil d'être aspiré par la gravité de la planète. Ça serait un peu compliqué de te l'expliquer.
Je vais aller voir cette montagne pour enregistrer le nombre d'émissions de vapeur durant l'arrêt des deux soleils.
Sur le champ à Sancoins, Pépère finissait son histoire.
Pêcheur, Dranac et Coin-coin avaient mangé leurs poissons.
Ettesion regardait Pépère qui pour lui faire plaisir fit apparaître une brioche.
La petite s'en saisit et se mit à la manger avec gourmandise.
Le président n'en revenait pas et il lui dit.
- Hé bien, vous avez un bon appétit à ce que je vois et vous nous privez de dessert, lol.
Ettesion finit d'absorber la brioche et Pêcheur, Coin-coin et Dranac mangeaient les miettes.
Écoutez, Monsieur le Président, Brigitte m'a affirmé que vous aviez du cholestérol.
- Bon, c'est possible, mais votre père ?
- Ma love maîtresse m'a dit qu'il ne pouvait pas en manger car cela était contre-indiqué avec les médicaments qu'il prend pour sa hanche, chat chat chat.
C'est à cet instant que Pépère fut averti par la fée Liettuje de la situation qui se préparait pour lui et ses amis.
- Monsieur le Président-je vais sûrement aller dans l'espace pour rejoindre une autre planète pour la recherche du remède au cacao minus.
- Vous allez où, sur Mars, ha ha ha.
Le Pépère ne rigolait pas et répondit sur un ton très énervé.
- Hé bien, même si c'était sur Mars, sachez que je parle le Martien.
- Ha, bon, ne vous fâchez pas. Vous parlez le Martien, c'est impressionnant.
- Oui, c'est comme ça que j'ai sauvé un pauvre chat récemment.
- Ha bon, mais que s'était il passé.
Hé bien, Monsieur le Président un jour j'ai été kidnappé par des Martiens.
Ils étaient de passage et ils m'avaient pris pour leur chat de compagnie.
- Vous auriez dû prévenir le général Picolle, c'est un spécialiste des Martiens et il a même dirigé une de leur armée dans le passé, c'est lui-même qui me l'a dit.
-Hé bien, sachez monsieur le président que je n'aurais pas eu besoin de lui.
En effet, j'ai étudié les langues dans plus de trente universités différentes et je parle couramment le Martien.
Je leur ai expliqué le comique de la situation et ils m'ont ramené sur Terre vers le monument aux morts à Mornay.
C'est alors que j'ai enquêté sur la disparition de leur minou.
La pauvre bête avait été rendu malade par la vilaine qui travaille à l'épicerie proche du monument.
Elle est assez étrange et au début de loin, j'avais cru que c'était Fripouille à cause de ses cheveux rouillés. Puis de près, j'ai vu qu'elle avait du barbelé sur les dents et que ce n'était pas lui. En entrant, j'ai constaté une odeur pestilentielle et me suis dis que la bougresse devait avoir des flatulences. Puis j'ai compris en trouvant la pauvre bête sous une étagère. La vilaine lui avait donné un bocal de cassoulet qui était périmé depuis dix ans et la bête avait la colique. Du coup, je lui ai fait une grimace en lui disant, Pépère ne vous remercie pas. J'ai ensuite ramené la bête à ses maîtres voilà l'histoire monsieur le président.
Pendant ce temps, sur Xyron la fée Chouânne décollait.
À peine eut elle pris de l'altitude que sa soucoupe fut aspirée dans l'espace.
Elle était attirée par un énorme trou noir dons le champ gravitationnel était perturbé par les hausses de température de Xyron.
La pauvre fée n'arrivait plus à diriger sa soucoupe.
Son amie Leïlanne, arriverait-elle à temps avec Pépère, mais qu'allait, elle devenir avec Ainos...
La fée Chouânne se dirigeait vers Xyron.
Elle venait de Mercure où elle était passée en vitesse. Elle était partie de Sancoins laissant le Père Mike sur l'estrade et s'était empressée d'aller chercher, Ainos, la chatmoureuse à Pépère.
Il n'était pas au courant et sera agréablement surpris de la retrouver sur Xyron se disait-elle. Ainsi elle n'était plus en danger sur cette planète où les Charniens étaient déjà à sa recherche.
Pendant que Pépère racontait ses histoires sa love chatte approchait de la planète aux deux soleils.
La fée Chouanne arrivait enfin à la surface de la planète.
Ainos fut surprise par la couleur du ciel. L'azur était couvert de nuages qui semblaient être des fleurs et des papillons géants, prêt à s'élancer vers l'univers comme si celui-ci lui ouvrait ses bras.
Les habitants de la planète étaient réunis devant l'horizon où brillaient deux soleils. L'un était de couleur orangé et l'autre tirait sur le violet. Chouânne donna une paire de lunettes de soleil en lui disant.
- Ma jolie petite minette, il est l'heure que je te quitte un peu.
- Mais où vas-tu ? Est-ce que Pépère est déjà ici ?
- Je dois aller voir les fées pour savoir où en est la situation sur les papillons nuage.
Non, ton chatmoureux arrivera plus tard avec la fée Leïlanne.
Je vais rejoindre les fées qui m'attendent là-bas et je te laisse ces lunettes pour admirer les deux astres qui vont s'unir avec un nouveau jour qui commence.
La minette resta toute seule posa les lunettes et se mit à regarder les deux soleils. Ils se rapprochaient l'un de l'autre tout doucement tandis que dessous les nuages étaient comme aspirés par les rayons qui en émanaient. Les deux astres finirent par entrer l'un dans l'autre et ne firent plus qu'un seul de couleur ocre. L'azur montait vers ce nouvel objet et ce fut très rapide. L'astre absorba les nuages et il se retrouva avec des ailes et disparut dans le vide sous ses yeux. La nuit se fit brusquement et les étoiles apparurent. Un système d'éclairage au sol se fit et une lumière partielle permettait de voir distinctement autour de soi.
La fée revint assez vite et se posa à son poste de pilotage.
- Où allons-nous, jolie fée ?
- Je dois aller voir la montagne aux papillons.
- Qu'est-ce que c'est la montagne aux papillons ?
- Hé bien, c'est un mont qui fait plus de sept mille mètres de hauteur. Il crache des vapeurs qui font naître des nuages. Ceux-ci se transforment en papillons qui avec leurs ailes régulent la température au sol. C'est pour ça qu'il fait beaucoup plus chaud en ce moment, car le virus tue ces papillons qui régulant la température au sol empêche l'un des soleil d'être aspiré par la gravité de la planète. Ça serait un peu compliqué de te l'expliquer.
Je vais aller voir cette montagne pour enregistrer le nombre d'émissions de vapeur durant l'arrêt des deux soleils.
Sur le champ à Sancoins, Pépère finissait son histoire.
Pêcheur, Dranac et Coin-coin avaient mangé leurs poissons.
Ettesion regardait Pépère qui pour lui faire plaisir fit apparaître une brioche.
La petite s'en saisit et se mit à la manger avec gourmandise.
Le président n'en revenait pas et il lui dit.
- Hé bien, vous avez un bon appétit à ce que je vois et vous nous privez de dessert, lol.
Ettesion finit d'absorber la brioche et Pêcheur, Coin-coin et Dranac mangeaient les miettes.
Écoutez, Monsieur le Président, Brigitte m'a affirmé que vous aviez du cholestérol.
- Bon, c'est possible, mais votre père ?
- Ma love maîtresse m'a dit qu'il ne pouvait pas en manger car cela était contre-indiqué avec les médicaments qu'il prend pour sa hanche, chat chat chat.
C'est à cet instant que Pépère fut averti par la fée Liettuje de la situation qui se préparait pour lui et ses amis.
- Monsieur le Président-je vais sûrement aller dans l'espace pour rejoindre une autre planète pour la recherche du remède au cacao minus.
- Vous allez où, sur Mars, ha ha ha.
Le Pépère ne rigolait pas et répondit sur un ton très énervé.
- Hé bien, même si c'était sur Mars, sachez que je parle le Martien.
- Ha, bon, ne vous fâchez pas. Vous parlez le Martien, c'est impressionnant.
- Oui, c'est comme ça que j'ai sauvé un pauvre chat récemment.
- Ha bon, mais que s'était il passé.
Hé bien, Monsieur le Président un jour j'ai été kidnappé par des Martiens.
Ils étaient de passage et ils m'avaient pris pour leur chat de compagnie.
- Vous auriez dû prévenir le général Picolle, c'est un spécialiste des Martiens et il a même dirigé une de leur armée dans le passé, c'est lui-même qui me l'a dit.
-Hé bien, sachez monsieur le président que je n'aurais pas eu besoin de lui.
En effet, j'ai étudié les langues dans plus de trente universités différentes et je parle couramment le Martien.
Je leur ai expliqué le comique de la situation et ils m'ont ramené sur Terre vers le monument aux morts à Mornay.
C'est alors que j'ai enquêté sur la disparition de leur minou.
La pauvre bête avait été rendu malade par la vilaine qui travaille à l'épicerie proche du monument.
Elle est assez étrange et au début de loin, j'avais cru que c'était Fripouille à cause de ses cheveux rouillés. Puis de près, j'ai vu qu'elle avait du barbelé sur les dents et que ce n'était pas lui. En entrant, j'ai constaté une odeur pestilentielle et me suis dis que la bougresse devait avoir des flatulences. Puis j'ai compris en trouvant la pauvre bête sous une étagère. La vilaine lui avait donné un bocal de cassoulet qui était périmé depuis dix ans et la bête avait la colique. Du coup, je lui ai fait une grimace en lui disant, Pépère ne vous remercie pas. J'ai ensuite ramené la bête à ses maîtres voilà l'histoire monsieur le président.
Pendant ce temps, sur Xyron la fée Chouânne décollait.
À peine eut elle pris de l'altitude que sa soucoupe fut aspirée dans l'espace.
Elle était attirée par un énorme trou noir dons le champ gravitationnel était perturbé par les hausses de température de Xyron.
La pauvre fée n'arrivait plus à diriger sa soucoupe.
Son amie Leïlanne, arriverait-elle à temps avec Pépère, mais qu'allait, elle devenir avec Ainos...
