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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À l'épicerie à Mornay, le pape, fut le premier accueilli par la gérante qui lui fit signe de rentrer.
Le président et sœur Mathilde suivirent et la brave épicière refermant la porte à clef lueur dit ;
- Vous tombez bien tous les trois, j'ai un travail pour vous.
Le président qui venait juste d'être de corvée pour débourber la voiture, regrettait d'être venu ici à présent.
- Écoutez, ma brave vilaine, oups châtelaine, je viens déjà d'être mis à rude épreuve pour nous sortir d'une mauvaise situation. Tout ceci étant à cause d'un conducteur du dimanche qui n'a pas fait attention où il mettait ses roues. Le pire, c'est que l'ignorant des règles de conduite nous a en plus avoué ne pas voir clair. C'est honteux, ce traîne patin aurait pu nous accidenter, nous venons de Sancoins savez vous.
- Tu vois vieux cep de vigne détruis de la feuille, je ne suis pas la seule à penser que tu es une catastrophe au volant. Bon, ce n'est pas tout ça, où sont les verres nous avons soif.
- Tais-toi, tu fais honte à l'église, tu ne penses qu'à boire. Quant à vous monsieur, cordon-bleu, je vous prierai à l'avenir de me respecter. Moi au moins je n'ai pas un cheveu bleu en plein milieu du front. La brave dame vous dit qu'elle a besoin d'un service. Étant donné que vous êtes déjà chaud, car vous venez de débourber notre auto, aller donc lui rendre service. J'oubliais, soyez meilleur à la tâche qu'avec une pelle, car vous êtes incompétent en travaux publics, lol. Bon ce n'est pas tout ça, où sont les bouteilles de vins à déboucher pour rendre service à la dame.
- Écoutez, sœur Mathilde et monsieur l'os ventral, je m'en cogne les amygdales à grands coups de pelle à tarte de vos remarques. Nous sommes ici pour une mission. Mon brave laideron, oups, patron du commerce, nous sommes à la recherche de Pépère, ne l'auriez vous pas vu dans le secteur, à tout hasard.
- Écoutez, monsieur cheveu, je ne suis ni laideron ni vilaine, châtelaine ou patron, alors un peu de respect.
Votre Pépère, c'est un sacré dégoûtant, bien sûr que je l'ai vu. Le saligaud est passé derrière dans la rôtissoire et m'a emporté un poulet. Oui, il était déguisé, mais il y a une chose qu'il ne peut déguiser, c'est sa grosse tête et sa vilaine odeur de caca et je l'ai reconnu. La rôtissoire est à terre et j'ai besoin d'aide pour la relever, allez monsieur bleu, au travail, c'est un ordre.
Saturne restait admiratif devant les histoires à Pépère. Celui-ci malgré qu'on l'attendait à Sancoins ne semblait pas pressé. En fait il avait encore mal au ventre et ne voulait pas le dire à son frère.
- Hé bien mon Frérot que faisons-nous à présent, nous y allons ?
- Attends, je dois vérifier quelque chose avant.
Il sortit de son chat-ventre un catalogue de la boucherie et le regarda avec admiration.
Il le rangea dans le chat-ventre et s'écria, en restera-t-il.
- De quoi parles-tu ?
- Hé bien, de ces délicieux mets que sont mes amours. Figure toi qu'une bande sévit dans les parages.
- Ha bon, une bande comme les boulangeries. Le gang des boucheries charcuteries.
- Hé bien, il faut faire arrêter les coupables.
- Je connais le coupable, mais malgré tout, les rapines vont continuer gaiement.
- Ha, bon, tu as déjà fait ton enquête ?
- Non, c'est ma fille Ettesion qui a enquêté avec l'aide de la cousine à Isidore.
- Ettesion ne pouvait pas enquêter elle-même ?
- Si elle en a les capacités, mais c'est dans une autre région et la cousine d'Isidore y est sous les ordres de mon cousin, Erèpép.
- Ha, bon, c'est lui qui t'en a informé ?
- Non, c'est ma fille, j'ai été la voir avant de partir.
- Mais nous étions ensemble et je ne t'ai pas vu y aller.
- C'est bien normal, car j'avais arrêté le temps dans la voiture pendant ce temps. Étant donné que je la chapote je devais me renseigner sur ses enquêtes en cours et c'est là que j'ai appris l'enquête du gang des boucheries charcuteries.
- Ha bon, mon frérot, mais comment est-elle arrivée à savoir, hors région où était le coupable ?
- Hé bien, c'est un peu par hasard en analysant l'odeur de la fréquence du téléphone du coupable.
- Ha, bon, je ne comprends pas.
- Hé bien, j'avais donné l'ordre à Ettesion d'analyser l'odeur de la fréquence du portable du coupable, sans que je sache d'ailleurs qu'il le fut. Elle devait chercher dans la fréquence s'il n'y avait pas une odeur pour déterminer si la personne n'avait pas ingéré quelque chose qui m'appartient.
C'est en analysant la fréquence de l'odeur du téléphone de mon soûlard saoudien buveur de vin turc qu'elle a retrouvé la fréquence de l'odeur des charcuteries du musée de la viande. Cela devait être confirmé et c'est comme ça qu'Erèpép fut contacté par ses soins et qu'il a mis Erodisi la cousine d'Isidore sur l'affaire.
L'inspectrice, Erodisi, c'est déguisé en chatte mondaine et à traîner vers un établissement que le suspect affectionne. C'est alors qu'elle s'est présentée comme ayant les mêmes centre d'intérêt pour la musique et ce lieu. C'est comme ça qu'Erodisi fut invité chez la personne et qu'elle vit un plein congélateur de viande venant du Cher. Après avoir enregistré discrètement la fréquence de l'odeur elle l'a envoyée à Erèpép qui l'a transmise à Ettesion. C'est comme ça qu'elle a eu la preuve. Elle s'est ensuite trouvé prisonnière et qu'elle s'est retrouvée avec une indigestion pour avoir mangé des briques et une corde.
- C'est compliqué ton histoire, mon frérot.
- Mais non, laisse moi t'expliquer en détail et tu vas comprendre.
Je viens de te dire qu'Ettesion devait analyser une fréquence téléphonique et rechercher une odeur dedans.
Voilà mon frérot, la personne en question, c'est love colis.
C'était pour savoir si elle n'avait pas mangé mes saucissons, tu comprends. Donc c'est comme ça qu'a été retrouvé l'odeur des charcuteries du musée dans la fréquence du téléphone de ma love n'aime pas l'eau. Donc, Erodisi, c'est présentée à la grotte et a prétendu à colis adorer la musique des curés et la grotte. Elle a rajouté adorer l'une de ses meilleures amies madame Uedruob. Classe qu'elle lui répond et l'invite chez elle. Erodisi, ayant découvert la viande dans le congélateur, s'est dite, partons à présent. C'est alors qu'elle lui dit, je dois rentrer chez moi à présent. Malheureusement, love colis lui répond, non. Elle lui dit, écoute, j'ai un chat qui est une merveille de grâce et de beauté personnifié et en plus extraordinairement intelligent et d'une propreté exemplaire. Donc, je te retiens ici et il va t'accoupler et je vais avoir une minette aussi belle que sa première fille Ettesion.
C'est alors qu'après s'être couché complètement imbibé, love colis s'endormit aussitôt. C'est à ce moment-là qu'Erodisi à décidé de s'enfuir. Pour passer par-dessus le balcon, elle a pris des briques. Elle les avait trouvées dans son sac à main, puis une corde trouvée au même endroit. Voilà, tu comprends à présent.
- Pas vraiment mon copain, pourquoi a-t-elle eu une indigestion.
- Hé bien les briques, c'étaient des pains de viande hachée et la corde une saucisse de dix mètres de long. Oui, c'était le reste du vol de Sancoins qu'elle ne pouvait pas sortir devant Erodisi sans éveiller de soupçon.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire.


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