Le poète arriva à la brigade pour porter plainte.
Il fut très mal accueilli par le planton.
- Bonjour, je venais pour porter plainte.
- Une plainte pour quel motif ?
- Un pare-brise cassé par un jet de pierre.
L'homme regardant l'écran de surveillance qui était devant la brigade vit la xsara avec le capot blanc et le pare-brise cassé. Il sortit un moment sans rien demander au poète et revint vers lui.
- C'est la carriole avec le capot blanc votre voiture ?
- Ha, bon, c'est étrange, j'ai entendu parler d'une plainte en cours pour utilisation d'une voiture grise avec un capot blanc. Bref, ce n'est pas le moment de faire du képi sur-mesure à un gendarme, alors, demain, demain, vos histoires de verre cassé.
- Mais c'est votre collègue à Mornay qui l'ont cassé en tapant dans un mur en projetant une pierre de celui-ci. Attendez, je demande à l'homme derrière vous, ce qu'il veut.
Derrière le poète, le Belge et le conducteur Hollandais attendaient pour signaler Tatouvu.
- Hé bien, plainte moi vouloir donner. L'homme gendarme sur route, il est ivre.
- D'accord, d'accord, un Iranien ça commence bien et vous là que voulez-vous ?
- Je suis citoyen Belge n'est pas et policier. Je viens poser plainte comme l'homme qui est là n'est-ce pas. C'est un gouda, tulipe n'est-ce pas, pas un Iranien. J'aurai voulu, une fois, des informations sur l'arrestation d'un chat n'est-ce pas et savoir...
- Stop, bon les frères siamois ça va aller comme ça, quarante-huit heures de garde à vue.
L'homme appela ses collègues et le Belge et le Hollandais furent emmenés alors qu'ils protestaient énergiquement tous les deux.
- C'est bon mon maréchal, ils sont au frais avec les quatre zozos jaunes. Nous n'avons plus de cellules du coup. Vous avez encore besoin de moi ?
- Non, c'est bon, je vais m'occuper du troisième de la bande d'une autre manière.
Alors, vous écoutez moi bien, nous avons un tir d'artifice sauvage, un vol de palette, un vol de caravane, le brigadier Tatouvu agressé, sa voiture cassée, un mur qui a embouti une de nos voitures, une chatte robot à arrêter, des extraterrestres à retrouver, le toit d'intermarcher qui s'est envolé, des vols de viande de la boucherie parisienne par un chat commis derrière, quatre zozos jaunes à auditionner et vous osez venir ici pour du verre cassé. Ton compte est bon mon gaillard, utilisation d'un capot blanc pouvant gêner les autres usagers, un pare-brise cassé sans avoir fait de déclaration ça fera cent quatre-vingts euros d'amende mon gaillard.
Le Pépère reçut un message d'Ainos. Il lui raconta ce qu'il avait lu dans Voichat sur le net.
- Comment, je vais faire mon love bouboule, je ne veux pas te perdre.
- Hé soûlard, tu es certain que ma chatmoureuse m'appelle bouboule ?
- Comment, je vais faire mon love roudoudou, je ne veux pas te perdre.
- Là, c'est mieux tu peux continuer, et lâche ce verre de vin.
- Écoute moi ma love roudoudoune, tu vas faire semblant d'être malade. Tes maîtres vont appeler l'Allemand de Sancoins qui verra que tu es une vraie chatte. Surtout, ne sors pas de chez-toi. Si personne ne te voit, tu ne crains rien. J'ai une urgence ici, une palette d'alimentation à partager avec ma moyenne compensée pour éviter que mes amis ne soient en danger de mort.
- Je te love mon gros moustachu, je te chat love, fait vite mon love crapouillot.
- Moi aussi ma love roudoudoune je te chat love et t'envoie plein de bisous chatmoureux.
Le Pépère raccrocha et partit vers la voiture où l'attendait, Pêcheur, Coin-coin et Avéame.
- C'est bizarre qu'elle m'est appelé crapouillot. Si ça se trouve, casier à rhum sur pattes est passée là voir et lui a posé des questions sur moi. Je n'ose même pas imaginer le nombre d'horreurs qu'elle a pu raconter sur moi. Allons retrouver mes amis et allons voir cette palette d'amour qui m'attend.
Le Pépère posa ses deux pattes sur le volant.
- Toc toc toc, qu'allons nous faire, toc toc toc, nous allons vers le canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais voir ma mare, fle fle fle. Ma gendarme poète est là-bas fle fle fle elle va faire des bisous sur mon bec fle fle fle.
- Comment vas-tu faire pour ta chatmoureuse ?
Je suis contente de retrouver mon Fripouille.
- Nous allons au canal et après vers la mare. Ma chatmoureuse n'est plus en danger, j'ai un plan. En plus, le policier Belge est parti enquêter à la gendarmerie. Quant à ma maîtresse, elle est à Mornay, je suppose qu'elle a interrogé ma chatmoureuse. D'ailleurs, elle ne s'est pas privée pour lui raconter un flot d'insultes à mon sujet. Mais elle ne perd rien pour attendre.
Le Pépère reprit la route et arrivant vers la gendarmerie vit son maître qui montait en voiture. Il fut obligé de se pousser pour laisser une voiture reculer et referma la porte et perdit l'équilibre et tomba à côté de la voiture.
Le Pépère ralentit et s'arrêta pour regarder la scène.
- Toc toc toc que faisons nous, toc toc toc.
- Fle fle fle, il y a le maître à Pépère plus loin, fle fle fle.
- C'est bon, nous ne sommes plus très loin de mon chatmoureux.
Le Pépère fixait son maître qui était enfin remonté dans sa voiture. Il partit en direction du café de la paix boire un café pour décompresser.
- Hé bien canne à sucre d'Afrique occidentale complètement cramé au rhum blanc, tu hallucines, tu n'as qu'à moins picoler, je te prends en flagrant délit, pendant ce temps, je dois enquêter seul pour sauver ma chatmoureuse. J'envoie un selfi à Lolo, Chatdore et Turbo qu'ils constatent ton état espèce de fil de fez Ukrainien destructeur de capsule de bière. Tiens ta moitié n'est pas là, ne cherche pas Pépère elle doit certainement manger tes pauvres amours revenus de soins intensifs.
Le Pépère reprit sa route derrière le poète. Celui-ci, était déjà au bar devant un café que le Pépère fut bloqué dans la circulation. Les gendarmes avaient barré l'accès au canal.
- Toc toc toc, que se passe-t-il, toc toc toc.
- Nous sommes coincés, je gare la voiture, pour aller voir ce que fait mon rabougri coréen imbibé de Ricard turc.
- Fle fle fle, regarde si tu ne vois pas ma love gendarme, fle fle fle.
- Je vais appeler Fripouille pour le prévenir, vas-y Pépère nous t'attendons ici.
Le Pépère partit vers le bar et arrivé devant vit son maître derrière la vitre.
Il n'osait pas bouger de peur de se faire repérer sur le trottoir. Une femme passant avec une poussette le regardant dit tout haut.
- Hé bien Lolou d'où viens-tu, je ne t'ai jamais vu dans la rue, ton maître t'a abandonné pour aller boire.
- Ça te regarde la vilaine, tu ferais mieux de t'occuper de ton gozilla en couche qui est en train de manger sa tétine. C'est une plastivore ta drôlesse chat chat chat. Ça ne m'étonne pas qu'elle n'ait plus de dents. Alors comme ça, tu lui apprends à téter le goulot à son âge puis à quinze ans, tu t'étonneras qu'elle lampe de la villageoise. Regarde à l'intérieur, tu as l'exemple vivant de ce que sera ta fille, oui, c'est mon maître.
La femme se baissa pour le caresser.
Le poète sortit au même instant et le Pépère s'enfonça derrière la poussette pour ne pas être surpris.
Le pauvre Pépère était toujours couvert de boue et la femme lui dit.
- Hé bien mon loulou, tu as peur de moi ? Tu sens une drôle d'odeur, tu vis dehors, tu es sdf.
- Oui, j'ai le syndrome de la faim parfaitement, madame ( je ferais mieux de prendre rendez-vous chez le dentiste) tes dents sont toutes porteuses de fils de haricots et en même temps consulte un spécialiste pour ta future poivrote. La femme se releva et dit à la petite fille qui était dans la poussette ne le caresse pas chérie, il put et il est plein de boue.
- Hé, la vilaine occupe-toi de la couche de ta morveuse qui doit être déjà pleine de déchet de grappe de vin. Non mais Pépère ce héros, révérence où je vais m'énerver. Il se tourna les fesses face à la poussette et envoya un jet d'urine dessus et partit en courant sans même faire attention aux voitures.
Il fut très mal accueilli par le planton.
- Bonjour, je venais pour porter plainte.
- Une plainte pour quel motif ?
- Un pare-brise cassé par un jet de pierre.
L'homme regardant l'écran de surveillance qui était devant la brigade vit la xsara avec le capot blanc et le pare-brise cassé. Il sortit un moment sans rien demander au poète et revint vers lui.
- C'est la carriole avec le capot blanc votre voiture ?
- Ha, bon, c'est étrange, j'ai entendu parler d'une plainte en cours pour utilisation d'une voiture grise avec un capot blanc. Bref, ce n'est pas le moment de faire du képi sur-mesure à un gendarme, alors, demain, demain, vos histoires de verre cassé.
- Mais c'est votre collègue à Mornay qui l'ont cassé en tapant dans un mur en projetant une pierre de celui-ci. Attendez, je demande à l'homme derrière vous, ce qu'il veut.
Derrière le poète, le Belge et le conducteur Hollandais attendaient pour signaler Tatouvu.
- Hé bien, plainte moi vouloir donner. L'homme gendarme sur route, il est ivre.
- D'accord, d'accord, un Iranien ça commence bien et vous là que voulez-vous ?
- Je suis citoyen Belge n'est pas et policier. Je viens poser plainte comme l'homme qui est là n'est-ce pas. C'est un gouda, tulipe n'est-ce pas, pas un Iranien. J'aurai voulu, une fois, des informations sur l'arrestation d'un chat n'est-ce pas et savoir...
- Stop, bon les frères siamois ça va aller comme ça, quarante-huit heures de garde à vue.
L'homme appela ses collègues et le Belge et le Hollandais furent emmenés alors qu'ils protestaient énergiquement tous les deux.
- C'est bon mon maréchal, ils sont au frais avec les quatre zozos jaunes. Nous n'avons plus de cellules du coup. Vous avez encore besoin de moi ?
- Non, c'est bon, je vais m'occuper du troisième de la bande d'une autre manière.
Alors, vous écoutez moi bien, nous avons un tir d'artifice sauvage, un vol de palette, un vol de caravane, le brigadier Tatouvu agressé, sa voiture cassée, un mur qui a embouti une de nos voitures, une chatte robot à arrêter, des extraterrestres à retrouver, le toit d'intermarcher qui s'est envolé, des vols de viande de la boucherie parisienne par un chat commis derrière, quatre zozos jaunes à auditionner et vous osez venir ici pour du verre cassé. Ton compte est bon mon gaillard, utilisation d'un capot blanc pouvant gêner les autres usagers, un pare-brise cassé sans avoir fait de déclaration ça fera cent quatre-vingts euros d'amende mon gaillard.
Le Pépère reçut un message d'Ainos. Il lui raconta ce qu'il avait lu dans Voichat sur le net.
- Comment, je vais faire mon love bouboule, je ne veux pas te perdre.
- Hé soûlard, tu es certain que ma chatmoureuse m'appelle bouboule ?
- Comment, je vais faire mon love roudoudou, je ne veux pas te perdre.
- Là, c'est mieux tu peux continuer, et lâche ce verre de vin.
- Écoute moi ma love roudoudoune, tu vas faire semblant d'être malade. Tes maîtres vont appeler l'Allemand de Sancoins qui verra que tu es une vraie chatte. Surtout, ne sors pas de chez-toi. Si personne ne te voit, tu ne crains rien. J'ai une urgence ici, une palette d'alimentation à partager avec ma moyenne compensée pour éviter que mes amis ne soient en danger de mort.
- Je te love mon gros moustachu, je te chat love, fait vite mon love crapouillot.
- Moi aussi ma love roudoudoune je te chat love et t'envoie plein de bisous chatmoureux.
Le Pépère raccrocha et partit vers la voiture où l'attendait, Pêcheur, Coin-coin et Avéame.
- C'est bizarre qu'elle m'est appelé crapouillot. Si ça se trouve, casier à rhum sur pattes est passée là voir et lui a posé des questions sur moi. Je n'ose même pas imaginer le nombre d'horreurs qu'elle a pu raconter sur moi. Allons retrouver mes amis et allons voir cette palette d'amour qui m'attend.
Le Pépère posa ses deux pattes sur le volant.
- Toc toc toc, qu'allons nous faire, toc toc toc, nous allons vers le canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais voir ma mare, fle fle fle. Ma gendarme poète est là-bas fle fle fle elle va faire des bisous sur mon bec fle fle fle.
- Comment vas-tu faire pour ta chatmoureuse ?
Je suis contente de retrouver mon Fripouille.
- Nous allons au canal et après vers la mare. Ma chatmoureuse n'est plus en danger, j'ai un plan. En plus, le policier Belge est parti enquêter à la gendarmerie. Quant à ma maîtresse, elle est à Mornay, je suppose qu'elle a interrogé ma chatmoureuse. D'ailleurs, elle ne s'est pas privée pour lui raconter un flot d'insultes à mon sujet. Mais elle ne perd rien pour attendre.
Le Pépère reprit la route et arrivant vers la gendarmerie vit son maître qui montait en voiture. Il fut obligé de se pousser pour laisser une voiture reculer et referma la porte et perdit l'équilibre et tomba à côté de la voiture.
Le Pépère ralentit et s'arrêta pour regarder la scène.
- Toc toc toc que faisons nous, toc toc toc.
- Fle fle fle, il y a le maître à Pépère plus loin, fle fle fle.
- C'est bon, nous ne sommes plus très loin de mon chatmoureux.
Le Pépère fixait son maître qui était enfin remonté dans sa voiture. Il partit en direction du café de la paix boire un café pour décompresser.
- Hé bien canne à sucre d'Afrique occidentale complètement cramé au rhum blanc, tu hallucines, tu n'as qu'à moins picoler, je te prends en flagrant délit, pendant ce temps, je dois enquêter seul pour sauver ma chatmoureuse. J'envoie un selfi à Lolo, Chatdore et Turbo qu'ils constatent ton état espèce de fil de fez Ukrainien destructeur de capsule de bière. Tiens ta moitié n'est pas là, ne cherche pas Pépère elle doit certainement manger tes pauvres amours revenus de soins intensifs.
Le Pépère reprit sa route derrière le poète. Celui-ci, était déjà au bar devant un café que le Pépère fut bloqué dans la circulation. Les gendarmes avaient barré l'accès au canal.
- Toc toc toc, que se passe-t-il, toc toc toc.
- Nous sommes coincés, je gare la voiture, pour aller voir ce que fait mon rabougri coréen imbibé de Ricard turc.
- Fle fle fle, regarde si tu ne vois pas ma love gendarme, fle fle fle.
- Je vais appeler Fripouille pour le prévenir, vas-y Pépère nous t'attendons ici.
Le Pépère partit vers le bar et arrivé devant vit son maître derrière la vitre.
Il n'osait pas bouger de peur de se faire repérer sur le trottoir. Une femme passant avec une poussette le regardant dit tout haut.
- Hé bien Lolou d'où viens-tu, je ne t'ai jamais vu dans la rue, ton maître t'a abandonné pour aller boire.
- Ça te regarde la vilaine, tu ferais mieux de t'occuper de ton gozilla en couche qui est en train de manger sa tétine. C'est une plastivore ta drôlesse chat chat chat. Ça ne m'étonne pas qu'elle n'ait plus de dents. Alors comme ça, tu lui apprends à téter le goulot à son âge puis à quinze ans, tu t'étonneras qu'elle lampe de la villageoise. Regarde à l'intérieur, tu as l'exemple vivant de ce que sera ta fille, oui, c'est mon maître.
La femme se baissa pour le caresser.
Le poète sortit au même instant et le Pépère s'enfonça derrière la poussette pour ne pas être surpris.
Le pauvre Pépère était toujours couvert de boue et la femme lui dit.
- Hé bien mon loulou, tu as peur de moi ? Tu sens une drôle d'odeur, tu vis dehors, tu es sdf.
- Oui, j'ai le syndrome de la faim parfaitement, madame ( je ferais mieux de prendre rendez-vous chez le dentiste) tes dents sont toutes porteuses de fils de haricots et en même temps consulte un spécialiste pour ta future poivrote. La femme se releva et dit à la petite fille qui était dans la poussette ne le caresse pas chérie, il put et il est plein de boue.
- Hé, la vilaine occupe-toi de la couche de ta morveuse qui doit être déjà pleine de déchet de grappe de vin. Non mais Pépère ce héros, révérence où je vais m'énerver. Il se tourna les fesses face à la poussette et envoya un jet d'urine dessus et partit en courant sans même faire attention aux voitures.
