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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À l'épicerie, le Pape, sœur Mathilde et le ministre n'en revenait pas de cette révélation.
Le président, épicier, cela les laissait pantois.
- Hé bien mon Manu, ça alors tu m'as coupé la signature sur la feuille d'agrégation, ha, ha, ha.
- Hé bien mon, Totof, oui je le remplaçais régulièrement en fait. J'étais le pro du rangement grâce à mon cheveu pince dont j'étais muni à l'époque.
- Hé bien, ça, c'est une drôle d'histoire. Sachez que moi-même avant d'être nonne, j'étais conductrice de rallye. J'ai gagné des centaines de courses avant de me lancer dans une autre voie. Oui, Dieu, m'avait donné la foi...
- Dieu m'a donné la foi, et tout au fond de moi, je rêve d'être dans ses draps, ce petit cœur là, qui titille encore mon os, Dieu m'a donné ce sacerdoce, et tout au fond de moi...
- Hé vieux caribou iranien élevé au maïs transgénique, tu pourrais t'éviter de me couper la parole. En plus pour chanter du Lafolie Winner, bref. Donc puisque tu parles musique, je vais t'en clouer le museau vieux sapajou. J'ai écrit pour sœur Dominique, hé oui, alors ça te coupe l'os ventral au-dessus de ton petit chœur vieux saligaud. Dominique, nique nique, qui partait en pique-nique, nique nique, c'est arrêté chez Patrick nique nique, pour boire du gin tonique nique nique et oui, c'est mathématique nique nique l'organisation d'un pique-nique nique nique. Alors, ça te bouche un coin fait en autant.
- Oui, bon, nous avons compris nous autres, tu veux toujours avoir le dernier mot.
Monsieur le Président, qu'est-ce donc que cette histoire de cheveu pince dont vous étiez équipé.
- Voulez-vous le savoir Monseigneur ?
- Oui, mon Manu raconte nous ça, c'est follement amusant.
- Oui mon Totof, je vais vous le raconter à tous. C'était à cause de mes deux jambes en plastique pvc.
- Ha bon, des jambes en plastique ! Mais c'est très étrange cette aventure.
- Oui monsieur le pape, c'est une drôle d'histoire. Que je vous en entretienne et vous allez tous comprendre.
Voilà sachez qu'avant d'être amputé de ce cheveu, différents traitements ont été testé sur moi. L'un d'eux fut, la bactérie carnivore, dévoreuse de cheveux.
- Une bactérie qui mange les cheveux, c'est à peine croyable !
- Hé bien, oui mon Totof, une bactérie carnivore, celle qui est responsable de la calvitie. Donc, un chercheur était arrivé à en dressé une pour qu'elle dévore les cheveux blancs. Il fit un essai qui fut un succès. Il la rappela pour qu'elle revienne au laboratoire après l'expérience afin de pouvoir lui présenter son mari bactérie. Le principe était simple, on inoculait le couple de bactéries qui faisait des enfants bactérie et les gardait en réserve. Ensuite, le couple partait en repérage et après avoir déterminé le nombre de cheveux blancs appelait la nurse bactérie en lui disant, il y a tant de cheveux à manger. Le résultat était spectaculaire, les cheveux blancs disparaissaient en quelques minutes. Monsieur kératine en semait à la place de nouveaux en couleur, voilà pour situer. Donc, il fut décidé de teindre mon cheveu frontal en blanc et de m'inoculer madame bactérie dans les jambes pour qu'elle aille en repérage. Malheureusement, quelque chose n'a pas marché et elle m'a dévoré les rotules. Du coup, mes jambes se pliaient à l'envers. C'est comme ça que l'on m'a enlevé mes deux jambes sous la rotule pour les réparer. En attendant, on m'avait greffé deux jambes en pvc. Malheureusement, le chirurgien était myope et s'était trompé dans ses mesures. Du coup, j'avais rétréci de quarante centimètres et je ne pouvais plus rien faire en hauteur.
Pendant que le président racontait son histoire, la cousine du brigadier arrivait enfin pour le récupérer. L'homme s'était recouché dans la voiture.
Quelques kilomètres devant, le Belge arrivait au stop à l'entrée de la ville de Sancoins. Le poète était juste devant et démarra en direction de la brigade.
Le Pépère qui était sous le coup du choc, était sorti de la voiture se rendant ainsi visible.
Le poète en passant devant intermarcher cru halluciner et s'arrêta quelques centaines de mètres plus loin pour téléphoner.
- Allô chérie, oui, tu ne devineras jamais ce que je viens de voir sur le parking d'intermarcher, la grosse tête à bouboule.
- Incroyable, moi aussi, la télévision a annoncé qu'une chatte robot était dans ta région et que Pépère était une de ses connaissances. Mais que se passe-t-il, c'est quoi ce film fantastique.
- Oui, c'est bizarre ça, la fifille à la télé, bon restons calme, je vais rejoindre la brigade, bisou chérie.
- Bisou cœur, et ne te laisse pas marcher sur les pieds.
- Oui, ne t'inquiète pas, mon cœur.
Le Belge suivit les traces du poète qui s'était de nouveau arrêté. Des feux d'artifices éclataient à l'autre bout de la ville.
- Hé bien, c'est une hallucination, c'est évident comme gras-double.
- Stop, ça va bientôt finir, ce flot d'insultes envers ma personne. Gras double, fifille, bouboule, grosse tête. Je te parle moi de ta grosse cuite salopard, étonne toi d'avoir des hallucinations après tout ce que tu ingères comme alcool. Si tu as encore soif, tu n'as qu'à fouillé dans les poches ventrales de ta love n'aime pas l'eau, tu trouveras du rhum. Non mais c'est quoi cette histoire, je suis en pleine détresse avec ma chatmoureuse à qui je tiens autant que René le poulet.
- Bon, Pépère, je peux écrire sans être coupé tout le temps.
- Tais toi soûlard et bois ta vinasse ça te passera le temps, non mais tu vas...
- Hé Pépère, c'est Isidore le citadin et la, je crie victoire, nous avons du poulet pour toi mon copain, une palette entière. Laisse le soûlard écrire, tu arriveras plus vite.
- Alors soûlard, tu vas poser cette bouteille de vinasse et écrire, nous avons faim nous autres.
- Oui, Pépère demain le poulet, tu en auras ne t'inquiète pas.
- Arrête de raconter ta vie et écrit mon histoire, mes poulets m'attendent déjà.
Donc, le Belge suivit les traces du poète qui s'était de nouveau arrêté. Des feux d'artifices éclataient à l'autre bout de la ville.
- Hé bien, c'est une hallucination, c'est évident comme gras-double.
L'homme repartit tandis que le Belge qui avait reconnu Pépère s'arrêta.
L'homme partit voir Pépère qui lui expliqua le souci avec sa chatmoureuse.
- Hé bien, n'empêche que c'est une escroquerie les Soubirou. C'est une honte n'est-ce pas, c'est un coup monté pour cacher le trafic de la gendarmerie avec les Soubirou. Pas plus tard que tantôt, dans l'auto, j'ai encore été victime de cette malveillance croyez moi, une fois. Je suis policier belge n'est-ce pas et je vais mener mon enquête.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Je lirai Pépère demain car trop prise ce soir
Désolée
Finalement j'à llumant et le cheveu pince et les jambes en pic m'ont bien fait rire.
Merci Daniel et à demain pour la suite
Amicalement
Gaby
 
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