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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À l'épicerie, le brigadier fit une arrivée triomphale en tenant haut la main du président.
- Je vous présente le héros du jour.
- Ha oui, pourquoi donc ? Moi aussi, je suis un héros, j'ai lu en vingt minutes un livre qui demande six ans de lecture aux meilleurs.
- Oui, et moi, j'ai ramené la voiture de police d'une main sans jamais ne renverser une goutte d'anti-peur sur monsieur le ministre qui était à côté de moi.
- Cocorico, moi, je suis le meilleur chanteur de l'aube, et j'ai été médaillé à plusieurs reprise, coco, c'est le best of des coqs.
- Hé bien mon Manu, je suis fier de toi. Moi, je suis le meilleur ami de Coco. Raconte-nous un peu tes exploits mon nunu. Et le général où est-il ?
- Hé bien, mon Totof, le général est parti se faire soigner à Sancoins. Cet idiot a failli faire rater toute l'affaire. Ceci dit, les malfaisants sont arrêtés et la paix est revenue.
Le président raconta toute l'histoire pendant que le brigadier fêtait l'événement bouteille en main avec le pape et sœur Mathilde. Coco lui reçut du grain en abondance et il en était ravi.
- Hé bien, vous êtes le héros de ce jour monsieur le président. Ça se fête même si ces hommes n'étaient pas armés, il fallait quand même le faire, honnêtement bravo. J'espère que le général ne s'est pas trop blessé à la jambe. Malgré sa rusticité et sa poésie extravagante, je suis sous le charme de ce bel homme.
L'information de fêter l'événement n'était pas tombée dans le vide et, la sœur avec le brigadier et le pape était en train de trinquer autant qu'ils le pouvaient à en briser les verres.
Le ministre, caressait Coco en lui donnant du grain et restait attentif au président. L'épicière écoutait aussi l'histoire que racontait le président.
- Oui, c'est mon deuxième fait d'armes figurez-vous. J'ai déjà fait arrêter des braqueurs de banque grâce à mon cheveu, lors de l'anniversaire de ma sœur. Et c'est d'ailleurs à cause de mon cheveu que je me suis retrouvé à la banque à cause de mon cheveu.
- Ha bon mon, Manu, tu ne me l'as jamais raconté celle-ci.
- Je suis curieuse de la connaitre aussi, pas vous ?
Les trois autres protagonistes, très occupés dans la mesure du vin n'écoutaient même plus. Du moins, ils étaient beaucoup moins attentif.
- Hé bien voilà, c'était le jour de l'anniversaire de ma sœur. Nous étions en train de préparer la salle. Ma mère me dit, écoute comme tu es fort en nœud grâce à ta bigloucherie, revêt tes lunettes et installe les ballons de baudruche. Déjà, j'ai commencé par gonfler les ballons. Sans le faire exprès à cause de mon cheveu, j'avais percé le tuyau et le gaz s'était rependu dans la pièce et ce fut hilarant. Nous avions tous une voix de robot à cause de l'hélium. Ma mère avait d'ailleurs filmé la scène et à revendu la bande une fortune au vidéo gogo, hihi. Le problème, c'est qu'en installant les ballons, mon cheveu les crevait et mon père dut aller en racheter. Il me dit comme ça, viens avec moi pendant ce temps-là, tu ne ferras pas des z au plafond à cause de ton cheveu. Arrivé chez le marchand, mon père en prend une quantité et s'en va pour payer. Le vendeur lui dit, désolé pas de billet de cinq cents francs, je ne les prends pas. C'est comme ça que je me suis retrouvé dans la banque en face pour faire de la monnaie en billet de cent. Une fois à l'intérieur, j'attendais mon tour en m'amusant à éclater mes boutons d'acné pour décorer les affiches publicitaires qui étaient au mur. Le directeur m'ayant vu me dit, hé petit con, tu veux un coup de main. Viens dans mon bureau que l'on s'explique. C'est pendant que j'étais à l'intérieur que les braqueurs avaient surgi et pris les clients en otages. C'est alors que l'un d'eux a pénétré dans le bureau. Le directeur me dit cache toi derrière la porte et appelle la police dès qu'ils m'auront pris en otage avec les autres. Le malfaiteur a ouvert la porte et j'ai légèrement passé la tête de l'autre côté. Mon cheveu à taper dans la tempe du bandit qui surpris à échappé sa mitraillette que le directeur a ramassé. C'est ainsi qu'il a mis l'homme en joue et que les deux autres se sont soumis. Une fois ligoté, le directeur a appelé la police. Autant te dire mon Totof que je suis passé pour un héros dans le quartier. Voilà l'histoire authentique de cette arrestation.
Le Pépère avait dû mal à se remettre de sa crise de chat-rire à cause de son maître qui était tombé.
Chatdore était reparti derrière le poète qui ramenait son chien à la maison.
Le pauvre Momo était juste devant et se demandait toujours qui était ce chat qui rôdait autour du chalet.
- Diantre, mais quel était donc cet olibrius qui était en ses contrées qui sont les miennes. Sûrement un disciple de ce brigand de Pépère. S'il était au fond du terrain avec ce canard et ce héron que je n'ai jamais vu, c'est qu'ils doivent préparer un mauvais coup. Mais qui sont ces ; mangent croquettes d'occasions faites de farine de bois de nez de Pinocchio. Mon maître arrive avec Bibou. Attendons ici, mon ami saura me renseigner avec précision. Mais que vois-je derrière, non je n'ai point la berlue, c'est Chatdore. Mais que va-t-il faire, tout cela est étrange, Momo, ouvre l'œil en grand.
Le Pépère tapait toujours de la patte, car il n'avait toujours pas de nouvelles de Chatdore.
- Mais que fait donc ce traîne-savate. Il a deux pattes gauches, ce n'est pas possible. À tous les coup, il est parti à la maison pour roupiller, quel pantouflard quand même.
- Toc toc toc, il ne peut peut-être pas appeler, toc toc toc, les Américains le surveillent, toc toc toc, nous sommes peut-être en danger, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme va revenir, fle fle fle, elle va nous défendre, fle fle fle.
- Déjà, elle va me ramener mes saucissons. Quand je pense que mes pauvres amours sont en soins intensifs et que personne, pas une dent même pas une canine ne veille sur eux. Cela me rend chagrin. Heureusement que mon comorien vendeur de banane au rhum a su me distraire avec son alcoolémie chronique. Mais, lui, il peut courir que je lui fasse des ski pour passer la clôture. Ha un appel de Chatdore, enfin, ce n'est pas possible, il s'est réveillé le pantouflard.
- Chef suprême, c'est moi Chatdore. Le poète marche difficilement. Il donne l'impression d'une pendule vu de dos. Bibou fait du slalom pour l'éviter, mais il va arriver à bon port. Momo est juste devant avec un casier de bouteille de vinasse pour son maître.
- Bon, tant qu'il boit, c'est qu'il va bien. Laisse le rentrer et rejoins nous devant chez Cookie. Nous allons bientôt ramener Avéame à Sancoins.
Voyez mes copains, c'est pour ça que bout de lin pour chat-costume précieux était là. Il a eu l'audace d'appeler Momo pour lui ramener une caisse de vinasse nucléaire du fourgon. C'est donc pour ça que cet aristochat était au fond du terrain. Je devrais me méfier, car il doit lui demander de me surveiller, c'est certain, faisons attention à ce que l'on dit devant lui maintenant. Mais c'est quand même honteux d'avoir appelé Momo pour sa vinasse. Certainement, qu'il a appelé le harnais, mais comme, il est en congé, il s'est retrouvé le bouchon dans le verre.
Chatdore n'avait pas pu s'empêcher d'arranger les faits à sa manière et le Pépère y avait crû.
- Toc toc toc, c'est quoi cette histoire de ski, toc toc toc, pour passer une clôture, toc toc toc.
- Fle fle fle, les petites pattes, elles n'ont pas ce souci là, elles volent par-dessus, fle fle fle.
- Hé bien des ski pour ma love n'aime pas l'eau. D'ailleurs, cela m'a valu du travail, mais c'était une idée de mon poireau transgénique arrosé au pastis coupé à l'uranium iranien.
- Toc toc toc, mais pourquoi as-tu fait des skis, toc toc toc.
- Fle fle fle, pour que ma love gendarme parte aux sports d'hiver donner du pain aux petites pattes sur la neige et les secourir, fle fle fle.
- Hé bien pas du tout mes amis, je vais vous raconter l'histoire. Voilà un soir, il me dit comme ça, Pépère, j'ai un service à te demander contre une bonne gamelle. Le salopard parlant à mon intelligence, sachant ma corde sensible, j'ai donc accepté. Le travail consistait à aller récupérer des sacs de coquilles d'huîtres vides dans les restaurants des environs. C'est comme ça que l'ont s'est retrouvé avec une meule de coquille à côté de la cabane. C'est aussi comme ça que ses voisins se sont cru à la mer à cause de l'odeur de la marée qu'imbibaient les coquilles et qu'ils ont ensuite porté plainte contre la mairie pour le fait d'avoir supprimé la mer de derrière chez eux. Enfin, une histoire de fou qui est vraie réelle authentique et pas fausse, le genre d'histoire qui ne s'invente pas tellement c'est énorme. Donc, deux jours plus tard, il revient me demander un nouveau service ce à quoi je lui ai répondu, et ma récompense soûlard, je ne vis pas que de boire moi et nous avons faim nous autres, moi et mon intelligence. Inutile de vous dire que je me suis fait avoir, car j'ai eu le droit aux croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne mélangée avec des cailloux. Oui le salopard pendant que je faisais du moulin à café, lui ramassait des cailloux.
- Toc toc toc, pourquoi un moulin à café, toc toc toc.
- Fle fle fle, pour faire de la poudre de café, fle fle fle ou de la poudre de pain pour les petites pattes fle fle fle.
- Non, rien de tout ça mes amis, il m'avait donné ce moulin pour réduire en poudre les coquilles d'huîtres. Ensuite, il m'a donné de la colle néoprène et avec ce mélange, j'ai fait à l'aide d'un moule des skis. Voilà, c'était pour ma maîtresse qui le soir descendant les marche à la brigade pour aller au ravitaillement à l'épicerie en face faisait trop de bruit avec ses talons. Oui, elle descendait l'escalier en crabe et c'était bruyant. Grâce à l'aide de ces skis, elle était plus vite en bas et c'était silencieux. Deuxième avantage, c'est qu'elle pouvait aller plus vite et faisait deux tours de ravitaillement.
- Toc toc toc, mais comment remontait-elle toc toc toc.
- Fle fle fle, avec les ailes des petites pattes, fle fle fle.
La suite demain.

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Cortisone

Maître Poète
#3
À l'épicerie, le brigadier fit une arrivée triomphale en tenant haut la main du président.
- Je vous présente le héros du jour.
- Ha oui, pourquoi donc ? Moi aussi, je suis un héros, j'ai lu en vingt minutes un livre qui demande six ans de lecture aux meilleurs.
- Oui, et moi, j'ai ramené la voiture de police d'une main sans jamais ne renverser une goutte d'anti-peur sur monsieur le ministre qui était à côté de moi.
- Cocorico, moi, je suis le meilleur chanteur de l'aube, et j'ai été médaillé à plusieurs reprise, coco, c'est le best of des coqs.
- Hé bien mon Manu, je suis fier de toi. Moi, je suis le meilleur ami de Coco. Raconte-nous un peu tes exploits mon nunu. Et le général où est-il ?
- Hé bien, mon Totof, le général est parti se faire soigner à Sancoins. Cet idiot a failli faire rater toute l'affaire. Ceci dit, les malfaisants sont arrêtés et la paix est revenue.
Le président raconta toute l'histoire pendant que le brigadier fêtait l'événement bouteille en main avec le pape et sœur Mathilde. Coco lui reçut du grain en abondance et il en était ravi.
- Hé bien, vous êtes le héros de ce jour monsieur le président. Ça se fête même si ces hommes n'étaient pas armés, il fallait quand même le faire, honnêtement bravo. J'espère que le général ne s'est pas trop blessé à la jambe. Malgré sa rusticité et sa poésie extravagante, je suis sous le charme de ce bel homme.
L'information de fêter l'événement n'était pas tombée dans le vide et, la sœur avec le brigadier et le pape était en train de trinquer autant qu'ils le pouvaient à en briser les verres.
Le ministre, caressait Coco en lui donnant du grain et restait attentif au président. L'épicière écoutait aussi l'histoire que racontait le président.
- Oui, c'est mon deuxième fait d'armes figurez-vous. J'ai déjà fait arrêter des braqueurs de banque grâce à mon cheveu, lors de l'anniversaire de ma sœur. Et c'est d'ailleurs à cause de mon cheveu que je me suis retrouvé à la banque à cause de mon cheveu.
- Ha bon mon, Manu, tu ne me l'as jamais raconté celle-ci.
- Je suis curieuse de la connaitre aussi, pas vous ?
Les trois autres protagonistes, très occupés dans la mesure du vin n'écoutaient même plus. Du moins, ils étaient beaucoup moins attentif.
- Hé bien voilà, c'était le jour de l'anniversaire de ma sœur. Nous étions en train de préparer la salle. Ma mère me dit, écoute comme tu es fort en nœud grâce à ta bigloucherie, revêt tes lunettes et installe les ballons de baudruche. Déjà, j'ai commencé par gonfler les ballons. Sans le faire exprès à cause de mon cheveu, j'avais percé le tuyau et le gaz s'était rependu dans la pièce et ce fut hilarant. Nous avions tous une voix de robot à cause de l'hélium. Ma mère avait d'ailleurs filmé la scène et à revendu la bande une fortune au vidéo gogo, hihi. Le problème, c'est qu'en installant les ballons, mon cheveu les crevait et mon père dut aller en racheter. Il me dit comme ça, viens avec moi pendant ce temps-là, tu ne ferras pas des z au plafond à cause de ton cheveu. Arrivé chez le marchand, mon père en prend une quantité et s'en va pour payer. Le vendeur lui dit, désolé pas de billet de cinq cents francs, je ne les prends pas. C'est comme ça que je me suis retrouvé dans la banque en face pour faire de la monnaie en billet de cent. Une fois à l'intérieur, j'attendais mon tour en m'amusant à éclater mes boutons d'acné pour décorer les affiches publicitaires qui étaient au mur. Le directeur m'ayant vu me dit, hé petit con, tu veux un coup de main. Viens dans mon bureau que l'on s'explique. C'est pendant que j'étais à l'intérieur que les braqueurs avaient surgi et pris les clients en otages. C'est alors que l'un d'eux a pénétré dans le bureau. Le directeur me dit cache toi derrière la porte et appelle la police dès qu'ils m'auront pris en otage avec les autres. Le malfaiteur a ouvert la porte et j'ai légèrement passé la tête de l'autre côté. Mon cheveu à taper dans la tempe du bandit qui surpris à échappé sa mitraillette que le directeur a ramassé. C'est ainsi qu'il a mis l'homme en joue et que les deux autres se sont soumis. Une fois ligoté, le directeur a appelé la police. Autant te dire mon Totof que je suis passé pour un héros dans le quartier. Voilà l'histoire authentique de cette arrestation.
Le Pépère avait dû mal à se remettre de sa crise de chat-rire à cause de son maître qui était tombé.
Chatdore était reparti derrière le poète qui ramenait son chien à la maison.
Le pauvre Momo était juste devant et se demandait toujours qui était ce chat qui rôdait autour du chalet.
- Diantre, mais quel était donc cet olibrius qui était en ses contrées qui sont les miennes. Sûrement un disciple de ce brigand de Pépère. S'il était au fond du terrain avec ce canard et ce héron que je n'ai jamais vu, c'est qu'ils doivent préparer un mauvais coup. Mais qui sont ces ; mangent croquettes d'occasions faites de farine de bois de nez de Pinocchio. Mon maître arrive avec Bibou. Attendons ici, mon ami saura me renseigner avec précision. Mais que vois-je derrière, non je n'ai point la berlue, c'est Chatdore. Mais que va-t-il faire, tout cela est étrange, Momo, ouvre l'œil en grand.
Le Pépère tapait toujours de la patte, car il n'avait toujours pas de nouvelles de Chatdore.
- Mais que fait donc ce traîne-savate. Il a deux pattes gauches, ce n'est pas possible. À tous les coup, il est parti à la maison pour roupiller, quel pantouflard quand même.
- Toc toc toc, il ne peut peut-être pas appeler, toc toc toc, les Américains le surveillent, toc toc toc, nous sommes peut-être en danger, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme va revenir, fle fle fle, elle va nous défendre, fle fle fle.
- Déjà, elle va me ramener mes saucissons. Quand je pense que mes pauvres amours sont en soins intensifs et que personne, pas une dent même pas une canine ne veille sur eux. Cela me rend chagrin. Heureusement que mon comorien vendeur de banane au rhum a su me distraire avec son alcoolémie chronique. Mais, lui, il peut courir que je lui fasse des ski pour passer la clôture. Ha un appel de Chatdore, enfin, ce n'est pas possible, il s'est réveillé le pantouflard.
- Chef suprême, c'est moi Chatdore. Le poète marche difficilement. Il donne l'impression d'une pendule vu de dos. Bibou fait du slalom pour l'éviter, mais il va arriver à bon port. Momo est juste devant avec un casier de bouteille de vinasse pour son maître.
- Bon, tant qu'il boit, c'est qu'il va bien. Laisse le rentrer et rejoins nous devant chez Cookie. Nous allons bientôt ramener Avéame à Sancoins.
Voyez mes copains, c'est pour ça que bout de lin pour chat-costume précieux était là. Il a eu l'audace d'appeler Momo pour lui ramener une caisse de vinasse nucléaire du fourgon. C'est donc pour ça que cet aristochat était au fond du terrain. Je devrais me méfier, car il doit lui demander de me surveiller, c'est certain, faisons attention à ce que l'on dit devant lui maintenant. Mais c'est quand même honteux d'avoir appelé Momo pour sa vinasse. Certainement, qu'il a appelé le harnais, mais comme, il est en congé, il s'est retrouvé le bouchon dans le verre.
Chatdore n'avait pas pu s'empêcher d'arranger les faits à sa manière et le Pépère y avait crû.
- Toc toc toc, c'est quoi cette histoire de ski, toc toc toc, pour passer une clôture, toc toc toc.
- Fle fle fle, les petites pattes, elles n'ont pas ce souci là, elles volent par-dessus, fle fle fle.
- Hé bien des ski pour ma love n'aime pas l'eau. D'ailleurs, cela m'a valu du travail, mais c'était une idée de mon poireau transgénique arrosé au pastis coupé à l'uranium iranien.
- Toc toc toc, mais pourquoi as-tu fait des skis, toc toc toc.
- Fle fle fle, pour que ma love gendarme parte aux sports d'hiver donner du pain aux petites pattes sur la neige et les secourir, fle fle fle.
- Hé bien pas du tout mes amis, je vais vous raconter l'histoire. Voilà un soir, il me dit comme ça, Pépère, j'ai un service à te demander contre une bonne gamelle. Le salopard parlant à mon intelligence, sachant ma corde sensible, j'ai donc accepté. Le travail consistait à aller récupérer des sacs de coquilles d'huîtres vides dans les restaurants des environs. C'est comme ça que l'ont s'est retrouvé avec une meule de coquille à côté de la cabane. C'est aussi comme ça que ses voisins se sont cru à la mer à cause de l'odeur de la marée qu'imbibaient les coquilles et qu'ils ont ensuite porté plainte contre la mairie pour le fait d'avoir supprimé la mer de derrière chez eux. Enfin, une histoire de fou qui est vraie réelle authentique et pas fausse, le genre d'histoire qui ne s'invente pas tellement c'est énorme. Donc, deux jours plus tard, il revient me demander un nouveau service ce à quoi je lui ai répondu, et ma récompense soûlard, je ne vis pas que de boire moi et nous avons faim nous autres, moi et mon intelligence. Inutile de vous dire que je me suis fait avoir, car j'ai eu le droit aux croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne mélangée avec des cailloux. Oui le salopard pendant que je faisais du moulin à café, lui ramassait des cailloux.
- Toc toc toc, pourquoi un moulin à café, toc toc toc.
- Fle fle fle, pour faire de la poudre de café, fle fle fle ou de la poudre de pain pour les petites pattes fle fle fle.
- Non, rien de tout ça mes amis, il m'avait donné ce moulin pour réduire en poudre les coquilles d'huîtres. Ensuite, il m'a donné de la colle néoprène et avec ce mélange, j'ai fait à l'aide d'un moule des skis. Voilà, c'était pour ma maîtresse qui le soir descendant les marche à la brigade pour aller au ravitaillement à l'épicerie en face faisait trop de bruit avec ses talons. Oui, elle descendait l'escalier en crabe et c'était bruyant. Grâce à l'aide de ces skis, elle était plus vite en bas et c'était silencieux. Deuxième avantage, c'est qu'elle pouvait aller plus vite et faisait deux tours de ravitaillement.
- Toc toc toc, mais comment remontait-elle toc toc toc.
- Fle fle fle, avec les ailes des petites pattes, fle fle fle.
La suite demain.

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Attention à cocorico car dans les campagnes il y a des pétitions contre les coqs qui chantent trop tôt lol...
J'ai eu une crise de chat-rire en vous lisant
A ce soir pour un grand moment de lecture
Amicalement
Gaby