Le Pépère était encore en train de rigoler de la chute du poète.
- Chat chat chat, la gamelle qu'il s'est ramassée, chat chat chat. Il a dû en vider des bouteilles depuis midi. S'il s'était brisé, vu le sac d'os, mon squelettor se serait démoli et il aurait pu casser le noyer juste en fasse, chat chat chat.
- Toc toc toc, que fait-il, il parle avec les Américains, toc toc toc. Si ça se trouve, il parle de toi, toc toc toc.
Le Pépère dans sa tête se disait, bla bla bla, cause toujours ça me fait de belles moustaches. Ça ne t'empêchera pas de picoler à la maison pour te remettre de ta déshydratation de la langue d'avoir trop parlé.
- Fle fle fle, l'arbre sur la cabane, fle fle fle, ça aurait été terrible, fle fle fle. Surtout si ma love gendarme avait été dessous donnant à manger aux petites pattes, fle fle fle.
- Toc toc toc, l'arbre serait tombé comme rongé par un castor, toc toc toc.
- Cela me rappelle l'histoire du ragoût d'os à la sauce de maïs.
- Toc toc toc, du ragoût avec des os toc toc toc, heureusement mon bec n'est pas un os toc toc toc.
- Fle fle fle, ça doit être très dure à manger, fle fle fle.
- Hé bien voilà, laissez vois vous expliquer l'histoire de cette recette, malheureusement inventée par Pépère. Heureusement aussi, car elle demeure toujours pour un cercle fermé. Je vous ai déjà parlé de la dentéose, la poussé subite des dents. En fait, ce virus est apparu au moyen-âge par ma faute sans que je ne le sache par de très jeunes enfants. Voilà, il faut savoir qu'à cette époque les gens devaient tout donner aux rois, les récolte et la viande, et éventuellement les poulets pour Pépère quand il était en mission dans les parages. Ceci dit les rois étant quand même généreux, ils leur redistribuaient les os et les résidus des récoltes de maïs à manger. Bon, c'était quand même hyper hard alors j'ai inventé une recette et suis reparti, car une mission m'attendait en Égypte. Je retourne six ans après et je constate qu'il n'y a presque plus d'arbres. Je me questionnais et je m'en vais voir les paysans qui me disaient tous qu'ils y avaient des castors invisibles qui cisaillent les arbres. J'ai alors mené mon enquête. En fait, c'étaient les jeunes enfants qui la nuit se levaient pour ronger les troncs, car ils avaient la dentéose et pour que leurs dents ne poussent pas, ils se les limaient comme des lapins. En fait, c'est mon invention de recette le ragoût d'os farci au détritus de maïs qui avait conduit les enfants à avoir une dentition à couper du fer et le maïs portait le virus. J'ai fait un vaccin après, contre la dentéose. Voilà mes copains, ceci étant le ragoût d'os farci au maïs est toujours très apprécié dans les plus grands restaurants.
Les quatre prisonniers étaient enfin en cellule, à la brigade de Sancoins. Chacun d'eux attendait d'être auditionné sur les faits.
Le général fut conduit chez le médecin et y fut laissé.
Cela faisait à peine dix minutes qu'il attendait, qu'il se leva en sautillant sur une jambe et parti voir la secrétaire.
- Dites moi brave vilaine, quand est-ce que le médecin va me recevoir ?
- Comment, m'avez-vous appelé ?
- Brave dame, sont exactement les termes que j'ai employés.
- C'est bizarre, j'ai écouté brave vilaine, soyez poli monsieur, le médecin vous recevra quand il aura fini sa visite.
- En plus d'être myope comme une baleine irakienne vous avez des problèmes auditifs. Bon passons ce n'est pas important. Je vous disais que je dois être soigné en priorité. Je suis une personnalité. Je peux vous assurer que si le cordon-bleu au cheveu frontal déboule dans votre officine, vous serez habillé pour l'hiver. Vous aurez tout loisir après de corriger vos yeux et vos oreilles. Je suis le général Picolle, chef des armées internationales et ami intime de Trompe et Proutine.
- Qui que vous soyez, je m'en moque le médecin vous prendra dès qu'il le peu, maintenait asseyez vous et laissez les gens tranquilles.
- Je vais m'occuper de toi la vilaine, tu vas en avoir du bouton rouge et de la chaise électrique à perpétuité.
Le général répartit s'asseoir, juste au moment où le médecin finissait sa consultation. Du coup, il fut pris entre deux patients devant l'écœurement des gens qui étaient arrivés avant lui.
- Vous les moules taisez vous. Toi vilaine, tu peux trembler, ce n'est pas parce que tu as insisté pour que le médecin finisse sa visite que je vais oublier l'affront.
Le médecin, eut du mal à calmer ce général qui malgré sa blessure était assez fougueux.
Il fit passer une radio à l'homme qui ne présentait qu'une légère foulure.
Le médecin se disait, hé bien pour un militaire, il est sacrément douillet la fifille, hihi.
- Stop, qu'est-ce que c'est que ça ?
- Que se passe-t-il Pépère ?
- Il se passe que je viens de lire, fifille. Tu n'es pas à la maison en train de manger un bison où en train de vider un fût de vinasse. Figure toi que tu parles à l'un des plus célèbres détectives et agents de la planète. Hé oui soûlard chacun sa médaille, toi celle du lever de coude, ta love ne boit pas d'eau du camouflage des saucissons à Pépère et moi médaillé pour des actions héroïques.
- Non mais c'est pour le général Picolle, de la part du médecin.
- Hé, toi la qui est en train d'écrire, respect au général Picolle. Tu vas avoir du bouton rouge et de la chaise électrique mon gaillard.
- Vous, occupez-vous de votre foulure, en tant qu'auteur, je peux vous faire disparaître à tout moment. Bon Pépère, je peux écrire à présent.
- Oui, vas-y soûlard, et lâche ce verre de vinasse.
Donc, le médecin se disait, hé bien pour un militaire, il est sacrément douillet la fifille, hihi.
Il dit au...
- Stop, j'ai oublié quelque chose.
- Qu'est-ce qu'il y a encore Pépère ?
- Hé bien voilà, ce soir quand je viendrai gratter à la porte de ton gourbi, pas la peine de mettre ta machine Android me disant, bouboule, arrête, bouboule ça suffit. Ça ne me fait pas peur figure toi. Si j'arrête, c'est simplement pour te faire croire que je suis parti pour pendant ce temps pisser contre la porte. Alors, ce soir pas la peine le bouboule tais toi, je terrasse une panthère au petit-déjeuner tous les jours, alors ce n'est pas ça qui va m'effrayer. Tu peux y aller...
- Oui, c'est long, j'ai besoin de soins, non mais ça va suff...
Donc, déjà, Picole, met la en veilleuse. Alors ; Le médecin se disait, hé bien pour un militaire il est sacrément douillet la fifille, hihi.
Malgré tout, il était assez étonné par une cicatrice qui faisait le tour du genou et une broche au tibia.
- Vous semblez, douillet monsieur Picolle, pourtant, vous avez subi une sacrée opération de la jambe, on dirait !
- Écoutez-moi, monsieur, Picolle n'est pas douillet. Je vais de refaire le dentier à l'électrocardiogramme et les rotules à coups de stéthoscope, et on verra qui est le plus douillet des deux.
- Calmez-vous, je disais ça comme cela, disons que vous avez dû avoir mal.
- Continue, le vers de terre, je vais te stéthoscoper les amygdales et tu vas ravaler ton toupet mon gaillard. Voilà comment cela m'est arrivé. Écoutez cette histoire authentique et oser me traiter de douillet après !
J'étais un jour au prise avec une bande de terroristes Irakiens en pleine nuit. Les hommes étaient armés de sabres et de torche imbibée de kérosène. L'un d'eux est arrivé à me couper une jambe. C'est alors qu'à cloche pied, je l'ai anéanti en ramassant la jambe au sol et m'en servant comme massue. Ensuite, toujours à cloche pied, je suis rentré au campement et je me suis écrié, préparer des tisons rougeoyants. C'est alors qu'avec les tisons, j'ai cautérisé la plaie. Ensuite, j'ai pris un sabre et j'ai cassé la lame en deux. Ce morceau que vous supposez être une broche est se bout de sabre. Ensuite, j'ai refilé la jambe sur cette broche de fortune et après, j'ai cautérisé la plaie tout le tour du genou avec une torche enflammée. Je suis reparti au combat trente minutes plus tard, oui monsieur trente minutes plus tard. Cette nuit-là, j'ai terrassé cinquante terroristes, et vous me traitez de douillet !
Dans la voiture, le Pépère attendait toujours que le poète soit hors d'état de vue.
- Toc toc toc, c'est incroyable, toc toc toc, rogner un arbre avec les dents, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète elle donne du pain aux petites pattes dans les arbres, fle fle fle. Ça aurait pu être un canard dinosaure comme celui que j'ai terrassé, moi canard premier, fle fle fle.
- Il n'y a plus de dinosaures, je les ai tous combattus, chat chat chat, c'est pour ça qu'un bouboule va t'en me fait rire des moustaches.
- Toc toc toc, tu as terrassé les dinosaures, toc toc toc.
- Fle fle fle, comme moi, j'ai combattu canard premier, fle fle fle.
- Oui, Coin-coin, enfin un peu différemment.
À l'époque j'avais un laboratoire et je travaillais à la recherche de nouveaux moyens de communication avec Mars qui avait déposé ces animaux qui étaient sur terre. C'était pour s'en débarrasser, bref. Mon laboratoire était constamment attaqué par des t-rex et j'en ai terrassé des centaines, ( alors bouboule va t'en, je chatrigole) c'était épuisant et puis ça retardait mes travaux avec mars. Un jour, j'ai eu une idée. J'ai créé un monstre avec des épines monstrueuses qui terrassaient les autres animaux. Le Nodosaure fut ma première création Android doté d'une intelligence artificielle hors norme. Ses épines envoyaient des faisceaux laser et des gaz mortels. Je l'avais expérimenté au Koweït avant en chalauréanant un modèle. Malheureusement, ils sont par là suite devenus dangereux et j'ai dû les démonter.
Bon, mon soûlard s'en va, c'est bon allons chercher Avéame et attendons le pantouflard de Chatdore.
- Chat chat chat, la gamelle qu'il s'est ramassée, chat chat chat. Il a dû en vider des bouteilles depuis midi. S'il s'était brisé, vu le sac d'os, mon squelettor se serait démoli et il aurait pu casser le noyer juste en fasse, chat chat chat.
- Toc toc toc, que fait-il, il parle avec les Américains, toc toc toc. Si ça se trouve, il parle de toi, toc toc toc.
Le Pépère dans sa tête se disait, bla bla bla, cause toujours ça me fait de belles moustaches. Ça ne t'empêchera pas de picoler à la maison pour te remettre de ta déshydratation de la langue d'avoir trop parlé.
- Fle fle fle, l'arbre sur la cabane, fle fle fle, ça aurait été terrible, fle fle fle. Surtout si ma love gendarme avait été dessous donnant à manger aux petites pattes, fle fle fle.
- Toc toc toc, l'arbre serait tombé comme rongé par un castor, toc toc toc.
- Cela me rappelle l'histoire du ragoût d'os à la sauce de maïs.
- Toc toc toc, du ragoût avec des os toc toc toc, heureusement mon bec n'est pas un os toc toc toc.
- Fle fle fle, ça doit être très dure à manger, fle fle fle.
- Hé bien voilà, laissez vois vous expliquer l'histoire de cette recette, malheureusement inventée par Pépère. Heureusement aussi, car elle demeure toujours pour un cercle fermé. Je vous ai déjà parlé de la dentéose, la poussé subite des dents. En fait, ce virus est apparu au moyen-âge par ma faute sans que je ne le sache par de très jeunes enfants. Voilà, il faut savoir qu'à cette époque les gens devaient tout donner aux rois, les récolte et la viande, et éventuellement les poulets pour Pépère quand il était en mission dans les parages. Ceci dit les rois étant quand même généreux, ils leur redistribuaient les os et les résidus des récoltes de maïs à manger. Bon, c'était quand même hyper hard alors j'ai inventé une recette et suis reparti, car une mission m'attendait en Égypte. Je retourne six ans après et je constate qu'il n'y a presque plus d'arbres. Je me questionnais et je m'en vais voir les paysans qui me disaient tous qu'ils y avaient des castors invisibles qui cisaillent les arbres. J'ai alors mené mon enquête. En fait, c'étaient les jeunes enfants qui la nuit se levaient pour ronger les troncs, car ils avaient la dentéose et pour que leurs dents ne poussent pas, ils se les limaient comme des lapins. En fait, c'est mon invention de recette le ragoût d'os farci au détritus de maïs qui avait conduit les enfants à avoir une dentition à couper du fer et le maïs portait le virus. J'ai fait un vaccin après, contre la dentéose. Voilà mes copains, ceci étant le ragoût d'os farci au maïs est toujours très apprécié dans les plus grands restaurants.
Les quatre prisonniers étaient enfin en cellule, à la brigade de Sancoins. Chacun d'eux attendait d'être auditionné sur les faits.
Le général fut conduit chez le médecin et y fut laissé.
Cela faisait à peine dix minutes qu'il attendait, qu'il se leva en sautillant sur une jambe et parti voir la secrétaire.
- Dites moi brave vilaine, quand est-ce que le médecin va me recevoir ?
- Comment, m'avez-vous appelé ?
- Brave dame, sont exactement les termes que j'ai employés.
- C'est bizarre, j'ai écouté brave vilaine, soyez poli monsieur, le médecin vous recevra quand il aura fini sa visite.
- En plus d'être myope comme une baleine irakienne vous avez des problèmes auditifs. Bon passons ce n'est pas important. Je vous disais que je dois être soigné en priorité. Je suis une personnalité. Je peux vous assurer que si le cordon-bleu au cheveu frontal déboule dans votre officine, vous serez habillé pour l'hiver. Vous aurez tout loisir après de corriger vos yeux et vos oreilles. Je suis le général Picolle, chef des armées internationales et ami intime de Trompe et Proutine.
- Qui que vous soyez, je m'en moque le médecin vous prendra dès qu'il le peu, maintenait asseyez vous et laissez les gens tranquilles.
- Je vais m'occuper de toi la vilaine, tu vas en avoir du bouton rouge et de la chaise électrique à perpétuité.
Le général répartit s'asseoir, juste au moment où le médecin finissait sa consultation. Du coup, il fut pris entre deux patients devant l'écœurement des gens qui étaient arrivés avant lui.
- Vous les moules taisez vous. Toi vilaine, tu peux trembler, ce n'est pas parce que tu as insisté pour que le médecin finisse sa visite que je vais oublier l'affront.
Le médecin, eut du mal à calmer ce général qui malgré sa blessure était assez fougueux.
Il fit passer une radio à l'homme qui ne présentait qu'une légère foulure.
Le médecin se disait, hé bien pour un militaire, il est sacrément douillet la fifille, hihi.
- Stop, qu'est-ce que c'est que ça ?
- Que se passe-t-il Pépère ?
- Il se passe que je viens de lire, fifille. Tu n'es pas à la maison en train de manger un bison où en train de vider un fût de vinasse. Figure toi que tu parles à l'un des plus célèbres détectives et agents de la planète. Hé oui soûlard chacun sa médaille, toi celle du lever de coude, ta love ne boit pas d'eau du camouflage des saucissons à Pépère et moi médaillé pour des actions héroïques.
- Non mais c'est pour le général Picolle, de la part du médecin.
- Hé, toi la qui est en train d'écrire, respect au général Picolle. Tu vas avoir du bouton rouge et de la chaise électrique mon gaillard.
- Vous, occupez-vous de votre foulure, en tant qu'auteur, je peux vous faire disparaître à tout moment. Bon Pépère, je peux écrire à présent.
- Oui, vas-y soûlard, et lâche ce verre de vinasse.
Donc, le médecin se disait, hé bien pour un militaire, il est sacrément douillet la fifille, hihi.
Il dit au...
- Stop, j'ai oublié quelque chose.
- Qu'est-ce qu'il y a encore Pépère ?
- Hé bien voilà, ce soir quand je viendrai gratter à la porte de ton gourbi, pas la peine de mettre ta machine Android me disant, bouboule, arrête, bouboule ça suffit. Ça ne me fait pas peur figure toi. Si j'arrête, c'est simplement pour te faire croire que je suis parti pour pendant ce temps pisser contre la porte. Alors, ce soir pas la peine le bouboule tais toi, je terrasse une panthère au petit-déjeuner tous les jours, alors ce n'est pas ça qui va m'effrayer. Tu peux y aller...
- Oui, c'est long, j'ai besoin de soins, non mais ça va suff...
Donc, déjà, Picole, met la en veilleuse. Alors ; Le médecin se disait, hé bien pour un militaire il est sacrément douillet la fifille, hihi.
Malgré tout, il était assez étonné par une cicatrice qui faisait le tour du genou et une broche au tibia.
- Vous semblez, douillet monsieur Picolle, pourtant, vous avez subi une sacrée opération de la jambe, on dirait !
- Écoutez-moi, monsieur, Picolle n'est pas douillet. Je vais de refaire le dentier à l'électrocardiogramme et les rotules à coups de stéthoscope, et on verra qui est le plus douillet des deux.
- Calmez-vous, je disais ça comme cela, disons que vous avez dû avoir mal.
- Continue, le vers de terre, je vais te stéthoscoper les amygdales et tu vas ravaler ton toupet mon gaillard. Voilà comment cela m'est arrivé. Écoutez cette histoire authentique et oser me traiter de douillet après !
J'étais un jour au prise avec une bande de terroristes Irakiens en pleine nuit. Les hommes étaient armés de sabres et de torche imbibée de kérosène. L'un d'eux est arrivé à me couper une jambe. C'est alors qu'à cloche pied, je l'ai anéanti en ramassant la jambe au sol et m'en servant comme massue. Ensuite, toujours à cloche pied, je suis rentré au campement et je me suis écrié, préparer des tisons rougeoyants. C'est alors qu'avec les tisons, j'ai cautérisé la plaie. Ensuite, j'ai pris un sabre et j'ai cassé la lame en deux. Ce morceau que vous supposez être une broche est se bout de sabre. Ensuite, j'ai refilé la jambe sur cette broche de fortune et après, j'ai cautérisé la plaie tout le tour du genou avec une torche enflammée. Je suis reparti au combat trente minutes plus tard, oui monsieur trente minutes plus tard. Cette nuit-là, j'ai terrassé cinquante terroristes, et vous me traitez de douillet !
Dans la voiture, le Pépère attendait toujours que le poète soit hors d'état de vue.
- Toc toc toc, c'est incroyable, toc toc toc, rogner un arbre avec les dents, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète elle donne du pain aux petites pattes dans les arbres, fle fle fle. Ça aurait pu être un canard dinosaure comme celui que j'ai terrassé, moi canard premier, fle fle fle.
- Il n'y a plus de dinosaures, je les ai tous combattus, chat chat chat, c'est pour ça qu'un bouboule va t'en me fait rire des moustaches.
- Toc toc toc, tu as terrassé les dinosaures, toc toc toc.
- Fle fle fle, comme moi, j'ai combattu canard premier, fle fle fle.
- Oui, Coin-coin, enfin un peu différemment.
À l'époque j'avais un laboratoire et je travaillais à la recherche de nouveaux moyens de communication avec Mars qui avait déposé ces animaux qui étaient sur terre. C'était pour s'en débarrasser, bref. Mon laboratoire était constamment attaqué par des t-rex et j'en ai terrassé des centaines, ( alors bouboule va t'en, je chatrigole) c'était épuisant et puis ça retardait mes travaux avec mars. Un jour, j'ai eu une idée. J'ai créé un monstre avec des épines monstrueuses qui terrassaient les autres animaux. Le Nodosaure fut ma première création Android doté d'une intelligence artificielle hors norme. Ses épines envoyaient des faisceaux laser et des gaz mortels. Je l'avais expérimenté au Koweït avant en chalauréanant un modèle. Malheureusement, ils sont par là suite devenus dangereux et j'ai dû les démonter.
Bon, mon soûlard s'en va, c'est bon allons chercher Avéame et attendons le pantouflard de Chatdore.
